Exemple de fiche RP :: Bellatrix Black [ X ][Ancien Admin]

« Allons ensemble
C'est un joli soir pour mourir
Et si ta main tremble
Dis-toi qu'il faut juste partir »

La nuit. Le noir. Le silence. Tant d’éléments propices à une histoire sanglante. Pas un chat dans les couloirs de Poudlard, même la lune qui se cachait derrière les nuages semblait pressentir les terribles évènements qui allaient se produire. Et dans toute cette ombre, une silhouette bien plus sombre encore, si ténébreuse que même la nuit paraissait lumineuse à ses côtés. Elle glissait, rapide et furtive, sur les murs glacés de la vieille bâtisse. Son déplacement n’émettait pas un bruit, elle passait tel un coup de vent meurtrier prêt à embrasser de sa bise glaciale le premier malheureux qui se trouverait sur son chemin. Malgré la noirceur totale des lieux, la silhouette n’avait pas de difficulté pour voir, ses yeux étaient aussi efficaces que ceux d’un rapace nocturne. Elle continuait sa course, sans s’arrêter, se laissant guider par son instinct maléfique à la recherche de sang. Au loin, le clocher d’une église sonna la troisième heure du matin et les chauves souris de la Tour Est du lycée anglais s’envolèrent, heureuses de pouvoir partir loin du futur massacre. C’était un soir froid d’hiver, un soir qui sentait la peur et le malheur.

Dans son lit, Bellatrix dormait paisiblement. Ca faisait maintenant six mois qu’elle avait atterri à cette époque après avoir bu une potion de Severus. C’était une très belle jeune femme, même si elle ne ressemblait pas vraiment à ce qu’elle avait autrefois été. Sa chevelure avait gardé sa teinte brune mais bouclait naturellement à présent. Pas de ces gros tire-bouchons qui n’en finissent pas, non, ses cheveux avaient un léger mouvement naturel qui tirait sur le bouclé. Il lui arrivait de les attacher ou des les lisser mais, quoi qu’elle fasse, ils ne perdaient pas en beauté. Sa peau était douce et légèrement hâlée, quel contraste par rapport à l’époque où elle croupissait à Azkaban ! Sa bouche était immense et bien qu’elle ne sourit pas très souvent, ses lèvres fournies aimaient découvrir des dents très blanches et parfaitement alignées. Ses yeux, d’un vert presque jaune, étaient figés en une expression glaciale et provocatrice. On ne supportait en général pas qu’elle pose son regard sur les autres, celui-ci était insoutenable. Son corps était élancé et ses formes généreuses étaient très souvent mises en valeur. La verte et argent était un peu un fantasme ambulant, elle le savait, et s’en servait à son avantage. Elle se tourna doucement dans ses couvertures, une expression sereine sur son visage de prédatrice.

La silhouette continuait sa progression sans un bruit. Soudain, elle se figea. Un bruit venait de retentir dans l’allée des armures. Il n’était pas rare que les vieilles cuirasses rouillées se mettent à grincer mais en ce moment, le son n’avait rien d’un grincement. Ca ressemblait à des pas, des pas précipités et légers. L’ombre se concentra et attendit que la petite personne pressée se rapproche. Le bruit se fit plus proche, il venait à elle avec une rapidité déconcertante. Quelqu’un était donc si pressé de mourir ? Quand les pas furent en face d’elle, la concentration de ténèbres fonça sur la victime dont le cœur battait à tout rompre. Elle la saisit dans une seule main et lui tordit le cou. Ce n’était qu’un gros rat. A l’aide de ses ongles, le meurtrier arracha la tête de l’animal, lui ouvrit le ventre, sortit son cœur de sa poitrine et le dévora à pleines dents. Du sang coula sur les dalles composant le sol, la silhouette se remit en route et laissa derrière elle un tas de boyaux, d’organes, de poils et d’os ensanglantés ainsi qu’une tête solitaire à la bouche grande ouverte.

« Comme un soleil de fin de siècle
Qui se couche entre tes bras
Demain je m'en irai peut-être
Si tu viens avec moi »

Bella frémit sous sa couette en plumes et son dos se couvrit de frissons. Ses paupières se crispèrent mais bien vite, son expression de sérénité retrouva sa place sur ses traits fins, gracieux et endormis. Il était si rare de la voir si inoffensive, si calme, si sage. Elle qui avait toujours un sarcasme ou un rire mauvais au bout des lèvres ! Son arrogance naturelle était sans limite et la voir ainsi endormie avec un air presque sympathique la métamorphosait totalement. La Serpentard avait la réputation, ici comme dans le Poudlard de sa génération, d’être une meneuse sadique, cruelle, imbue de sa personne et provocatrice. Une pure Black en somme. Et malgré cette étiquette de « snobe tortionnaire », les élèves ne pouvaient s’empêcher de la respecter, voir de l’admirer. C’était un peu la fille populaire qui faisait baver tous les adolescents mais qui restait inaccessible et atrocement froide et méchante. Une parfaite petite peste. Le plus étonnant était sans doute son aisance dans les duels. On ne trouvait pas meilleur qu’elle ! C’était une autre raison de l’effacement d’autrui quand elle était là, personne ne voulait goûter à ses sortilèges. Elle semblait aussi comme marquée par une sorte de traumatisme mental, comme si elle avait vécu de terribles épreuves dans sa courte vie qui n’était pas si courte que ça. Parfois, elle avait des réactions étranges et parlait comme une adulte accomplie ayant parcouru la vie et ses difficultés de long en large. Et là, avec ses cheveux étalés sur son tendre coussin, elle ressemblait à une petite fille ignorante et tranquille. Cette femme était si mystérieuse… On l’avait sans doute soupçonné plusieurs fois d’être l’auteur des horribles évènements qui se produisaient actuellement à Poudlard mais lorsqu’on l’avait retrouvée étendue dans un couloir, tous les soupçons s’étaient dissipés. Comme quoi, en plus d’être une loyale adepte de la magie noire, elle était bonne comédienne ! Elle se retourna dans son lit et passa sa langue sur ses lèvres.

La silhouette meurtrière était à présent à proximité de la salle commune de Serpentard. A son passage, les quelques torches qui éclairaient les cachots humides et poisseux s’éteignirent. Des gouttes d’eau tombaient à intervalle régulier sur le sol froid, créant une mélodie stressante qui alourdissait l’atmosphère. C’est alors que la mystérieuse ombre perçut la présence d’un humain à proximité. Elle entendait ses pensées, elle ne les comprenait pas mais elle les entendait. Il se rapprochait doucement. Sans doute un élève qui avait eu un petit creux et qui s’était rendu aux cuisines. Quand il ne fut plus qu’à une quinzaine de mètres d’elle, elle sut clairement lire dans ses pensées. Il se nommait Gregory Holt, était en cinquième année à Serpentard et passait sa vie à manger. Il passerait sa mort à maigrir ! Il avançait à pas lourds et maladroits, les bras chargés de petits gâteaux. Greg en fit tomber un, s’arrêta un instant et s’abaissa pour le ramasser. Soudain, il eut froid. Pourtant il avait revêtu un pyjama molletonné et un peignoir ! Mais le froid qui le parcourait n’était pas dû à la température, non, la chaire de poule qui naissait sur ses bras et dans son dos était l’œuvre de la peur. Mais la peur de quoi ? Peut-être du souffle chaud qu’il sentait dans sa nuque, une haleine qui sentait le sang ? Ou peut-être la peur de la main glacée qui s’abattit sur sa bouche collante ? Ou peut-être encore la peur du contact des ongles aiguisés qui s’enfonçaient dans le gras de son ventre ? Il ne savait pas, il ne savait plus et ne voulait pas vraiment comprendre ce qui lui arrivait. Il sentit des gouttes de sueur perler sur son front gras et fut pris d’une bouffée de chaleur. Son cœur se mit à palpiter et ses membres à trembler. Il lâcha ses pâtisseries qui roulèrent sur le sol…

« Moi j'irai tuer mon père
Non je ne suis pas un ange
S'il faut toucher la lumière
En ces jours étranges »

La septième année se mit à sourire dans son lit. Elle rêvait sans doute. Il était rare de voir des élèves rêver paisiblement avec les temps qui courraient. La plupart se droguaient à la potion « sans rêves », d’autres restaient éveillés jusqu’à ce que leurs paupières soient trop lourdes et leur rétine brûlante. En vérité, Bellatrix ne rêvait que très rarement. En général, elle faisait des cauchemars, voyait son Maître l’appeler et lui dire qu’elle avait été une mauvaise Mangemorte, qu’il la reniait et qu’elle n’avait plus qu’à mourir comme son horrible cousin. Elle voyait ensuite les détraqueurs qui l’attrapaient par les bras et la conduisaient dans sa cellule à Azkaban. Là-bas, elle voyait Rogue et le Maître en train de tuer ce sale morveux de Potter qui ne cessait de ressusciter grâce à Dumbledore. Harry se tournait ensuite vers elle pour lui lancer un sortilège Doloris et elle lui disait : « Il faut vraiment vouloir la souffrance de l'autre, Potter ! Et y prendre plaisir. La juste et sainte colère n'aura pas beaucoup d'effet sur moi. Laisse-moi te montrer comment faire, d'accord ? Je vais te donner une leçon. » Un éclair rouge sortait de sa baguette et le balafré s’effondrait en l’aspergeant d’une potion qui la transformait en Sirius Black. Elle tombait alors derrière un voile dans une salle du département des mystères et se réveillait en sursaut, toute transpirante. Elle n’acceptait toujours pas le fait qu’elle avait failli à son devoir et qu’elle avait été rejetée par Lord Voldemort. Sa loyauté envers lui était immortelle et s’il avait fallu qu’elle soit torturée comme elle avait torturé les Londubat par le passé pour revenir aux côtés du Seigneur des Ténèbres, elle se serait laissée malmenée. Cette nuit, les fantômes de son passé la laissaient en paix…

L’assassin colla Holt contre un mur, lui écrasant la moitié du visage. Un petit rire cruel fendit le silence et la victime se mit à gémir. Que lui arrivait-il ? Après avoir sentit l’étreinte de la chose ténébreuse, cette dernière l’avait violemment jeté par terre et l’avait ensuite relevé en le tirant par les cheveux. Elle lui écrasait maintenant la moitié du visage contre les pierres humides et froides d’un des murs des couloirs des cachots. Il saignait et sentait ce doux nectar tiède lui couler du nez et de la tempe droite, celle qui était peu à peu broyée contre le mur. La pression était de plus en plus forte et bientôt les ongles de son agresseur maléfique creusèrent des sillons dans sa joue gauche. On entendit des craquements et l’élève tenta d’hurler mais la douleur le laissa sans voix. Des nerfs venaient d’être écrasés dans la partie droite de son visage joufflu. La douleur était si forte qu’il avait l’impression que son crâne allait exploser. Une lumière apparut, comme sortie de nulle part et Greg aperçut le visage de son agresseur qui était en fait une jeune femme. Bellatrix Black. La fille arrivée récemment et la plus populaire déjà de toute l’école. Le fantasme de tous les garçons de son âge et le sien aussi. Cette verte et argent qui lui avait causé de nombreuses éjaculations nocturnes. Cette adolescente qui était plus froide que la mort et plus terrifiante qu’un mort vivant. Il vit qu’elle s’éclairait elle-même, peut-être pour qu’il voie à qui il avait affaire. Il lui fallu un certain temps avant de vraiment la reconnaître car des larmes lui brouillaient la vue. Une expression sadique et psychotique déformait les traits de la belle Serpentard et quand elle éteignit la lumière qui brillait au bout de sa baguette, il comprit qu’il venait de voir le dernier visage de son existence. Il tenta de crier à l’aide mais à peine eut-il ouvert la bouche que ses nerfs écrasés le firent souffrir atrocement. Il laissa alors libre cours à ses larmes, comme un gros bébé, et à son angoisse en tremblant comme un malade de Parkinson. Bella le saisit par le col et le teint face à elle. Il sentit du métal s’incruster profondément dans le coin droit de sa bouche, puis, la lame traversa doucement toute sa joue droite jusqu’à son oreille. Sa peau fut inondée de sang tout comme les mains aux longs doigts de pianiste de l’ancienne Mangemorte. Cette dernière souriait d’un rictus carnassier et semblait prendre plaisir à lui transpercer la joue de son poignard d’argent. Elle réserva le même sort à l’autre joue et le cinquième année réussit enfin à crier de douleur. Il ressemblait maintenant à un gros clown dont le sourire écarlate dégoulinait sur son peignoir. Trouvant que le maquillage n’était pas terminé, la jeune femme enfonça son couteau dans l’arcade sourcilière gauche de son condisciple et lui fendit l’œil en deux. Toute cette colère qu’elle gardait en elle ressortait enfin. C’était dans ces moments qu’elle libérait sa rage et qu’elle faisait honneur à son Maître. Elle laissa tomber son arme par terre et se colla au jeune homme. Elle passa alors sensuellement ses mains sur son torse et lui ôta son pantalon. Elle vit alors qu’il avait une érection. Elle éclata d’une rire moqueur et terrifiant et en une fraction de seconde dégaina sa baguette et la pointa sur la verge toute dure. Elle utilisa un sortilège informulé qui eut pour effet de malaxer le pénis, comme si elle le caressait de ses mains. Sur le visage horrifié et mutilé de Gregory passa une expression de plaisir. Mais il avait tellement mal que même ce plaisir ne le satisfaisait pas. Son cœur s’accéléra encore ainsi que l’action du sortilège sur son sexe. Il sentait déjà l’éjaculation arriver et son souffle se fit plus bruyant. Soudain, les massages s’arrêtèrent et un jet de flammes sortit de la baguette de la jeune femme. Son pénis se mit à brûler sous son unique œil embué et il lorsqu’il tenta de mettre ses mains sur lui pour l’éteindre, deux clous les lui transpercèrent et les clouèrent contre le mur. Bellatrix lui arracha les bourses à l’aide d’un sort et du sang coula le long de ses jambes qui s’écroulèrent sous son poids et son stress. Il se retrouva donc pendu par les mains. Il venait de subir la plus grande humiliation de sa vie et aspirait plus que tout en finir. Il souffrait tellement qu’il ne désirait plus qu’une chose : qu’elle l’achève vite. Cette épreuve était aussi bien une torture physique que mentale. Elle lui enleva sa chemise et son peignoir afin qu’il soit totalement nu. Elle le dévisagea, dégoûtée, laissa naître un silence oppressant et consentit enfin, au bout d’une minute qui parut interminable, à prendre la parole.

Bella- « Tu es gros et gras mon garçon… Je suppose que tu le sais ? Et ça te fait sourire en plus ? Il va falloir vider tout ça… Videntraille ! »

L’ancienne madame Lestrange pointa sa baguette sur sa victime et son ventre grassouillet explosa, le vidant littéralement de ses boyaux et organes. Ses côtes s’écartelèrent et se brisèrent et sa peau craqua de tous les côtés dans un bruit de déchirure. La jubilation se marquait sur le visage de la tortionnaire et elle ne put empêcher un petit sourire satisfait. Après quelques secondes d’agonie, Gregory Holt mourut, cloué par ses deux mains sur un mur, nu et émasculé. Elle aurait pu lui arracher les ongles, le scarifier, lui faire manger ses yeux, lui couper les oreilles ou les doigts mais elle avait décidé de rester propre ce soir. Au fond de son être, elle entendit une voix inquiétante résonner de contentement. Sethys. Cet esprit qui avait pris possession de son corps depuis une poignée de semaines. Elle s’entendait bien avec lui car ils partageaient la même folie sanguinaire. Il connaissait tout d’elle, de son passé, et appréciait la dévotion qu’elle avait pour Lord Voldemort. Il aimait sont corps et son âme cruelle et glaciale et ne faisait que lui suggérer quelques atroces barbaries, il n’avait pas besoin de la contrôler totalement, elle se chargeait elle-même d’être un parfait bourreau. Des quatre Âmes Damnées, elle était sans doute la plus terrible et sadique. Bellatrix regarda pendant un bref instant son œuvre d’art, ramassa son poignard, se lança un sortilège de nettoyage et reprit la route de son dortoir dans un parfait silence. Elle soupira presque de contentement et de sérénité.

« En totale soumission
en total don de toi-même
fais monter l'excitation
pour l'amour et la haine »

La Serpentard s’agita dans ses draps, commença à remuer dans tous les sens et se réveilla en sursaut. Son front n’était pas couvert de sueur et la peur ne déformait pas ses traits. Elle secoua la tête, leva les yeux vers l’horloge magique et vit qu’il était quatre heures trente du matin. Elle se sentait toute bizarre, toute légère, et sa tête lui faisait étonnamment mal. C’était toujours comme ça quand elle faisait des rêves prémonitoires. Un autre don qu’elle avait acquit grâce à Sethys. Elle sentit qu’il avait envie d’aller faire un tour au fond d’elle. Elle se leva, enfila un chic peignoir de soie au dessus de son mini short et de son top et descendit à la salle commune. Elle était déserte. Elle s’assit dans un fauteuil de cuir, ferma les yeux et tâcha de se remémorer son rêve. C’était épuisant de voir dans le futur et elle avait l’impression d’avoir passer une nuit blanche. Ses idées étaient confuses, son esprit embrouillé par les derniers symptômes du sommeil. La porte de l’antre des serpents s’ouvrit et elle regarda un jeune garçon grassouillet y pénétrer avec quelques gâteaux dans les mains. Il lui adressa un sourire timide et elle vit très bien son regard de pourceau traîner sur sa généreuse poitrine. Le souffle de la jeune femme se stoppa net, sa tête se mit à tourner et elle vit une faux s’abattre sur la tête du vert et argent. L’image était saccadée, comme dans les films d’horreur lorsque les créatures s’approchent. L’ombre encapuchonnée qui tenait la faux se tourna vers elle et l’ex servante du Seigneur des Ténèbres se reconnu sous cette robe noire. La vision disparut et les sens de l’Âme Damnée se remirent à fonctionner. Elle retrouva d’abord la vue et vit que l’imbécile était toujours planté devant elle, bien vivant. Se fut ensuite le retour de l’ouïe et du goût, puis du toucher. Enfin son corps se remit en fonction et elle respira d’une façon rauque. Tout ça n’avait duré qu’une seconde mais la tête de Bella était sur le point de se fendre en deux tant elle avait mal. D’abord le rêve prémonitoire puis la vision. Elle observa Gregory Holt qui remontait dans son dortoir, serein, la main déjà dans son caleçon. Il ne se doutait pas qu’il allait se masturber en pensant à elle pour la dernière fois, qu’il avait pu regarder ses seins pour la dernière fois et que demain soir, elle serait là, à l’attendre et à l’observer comme il prenait plaisir à la dénuder du regard lui-même…

« Le jour s'est levé
Sur une étrange idée
Je crois que j'ai rêvé
Que ce soir je mourrais
Le jour s'est levé
Plein de perplexité
Si ce n'était pas un rêve
Qu'il faille s'en aller »

Questions Hors Jeu

Nom/Prénom :: Black Bellatrix

Âge du personnage :: 17 ans

Âge hors RP :: 16 ans

Où avez-vous connu le forum? :: Dans mon esprit Rolling Eyes

Comment trouvez-vous le forum? :: Cool

Star sur votre avatar? :: Evangeline Lilly

Avez-vous lu le règlement? :: What a Face

J'ai déplacé la fiche de Bellatrix dans le sujet souvenirs car elle n'est plus présente, mais je ne voulais pas la supprimer malgré tout.

Cette fiche est sublime, et ce forum l'oeuvre de son auteur, alors elle restera sur Impero. Je suis certain qu'en la lisant, vous aurez des frissons ^^

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