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| A travers le Miroir, et ce qu'Alice y trouva... | PV Tsuki | | |
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Sherkane L. Aberkane Serpentard
Nombre de messages : 55 Age : 34 Année et âge du perso : || 16 ans || Sixième année || Maison : Serpentard Coeur ? : Aussi fragile et acéré que la glace, seuls les plus habiles sauront ne pas s'entailler dessus... Date d'inscription : 16/09/2007
Feuille de personnage Citation - dicton: Cher, seras-tu mon lapin blanc ? Joindras-tu la reine de coeur dans son thé de fous ? Relations: Dons: Ne jamais mentir. Il n'y a que la vérité qui blesse...
| Sujet: A travers le Miroir, et ce qu'Alice y trouva... | PV Tsuki | Sam 20 Oct - 21:00 | |
| Mort. Folie. Désespoir. Méfiance. Tels étaient les maux qui s'étaient abattus sur l'école de sorcellerie de Poudlard, métamorphosant ce haut lieu de la culture et de l'érudition habituellement si calme et rassurant en une véritable prison meurtrière, un huis clos d'où peu parviendraient à s'échapper. Sherkane ignorait la raison et la cause de ce sinistre phénomène qui avait souillé l'antique château. Cette sixième année à Poudlard s'était pourtant annoncée comme semblable aux autres, entre cours à suivre, professeurs barbants et rares amis dignes de cette appellation. Le premier soir, tout s'était en apparence déroulé normalement: de la nourriture sur la table, les enseignants assis à la leur comme à l'habitude... Qui aurait pu se douter qu'ils avaient en réalité été sauvagement assassinés ?... Personne. Et pourtant, le fait était là: au petit matin, après le déjeuner quotidien, les portes des salles de classe ne s'étaient pas ouvertes. Plus aucun adulte n'avait été vu dans le château, et, aussi surpris que les élèves, les fantômes ne semblaient pas avoir été témoins de quoi que ce soit. Au début, les plus stupides parmi les étudiants de Poudlard s'étaient réjouis de cet arrêt impromptu des cours, pensez qu'il y avait de quoi: tout un vaste château et ses environs livrés à leurs seuls soins, sans les leçons rébarbatives. Mais la verte et argent ne s'était pas réjouie comme ses camarades ; comment faire la fête comme les autres face à un phénomène si inhabituel ?
Il était aberrant d'imaginer que les adultes de l'école aient pu abandonner l'ancien et précieux bâtiment aux mains d'une horde d'adolescents effrénés avides de faire la fête et de s'amuser - comprendre: de tout saccager. Seule une source d'état d'alerte importante aurait pu les y inciter. De là s'ensuivaient deux options: soit l'origine du problème se trouvait à l'extérieur... soit elle était interne. Quoi qu'il en soit, cette constatation ne changeait pas la donne: ils étaient enfermés dans un immense château truffé de salles piégées, sans savoir ce qu'il se passait au-dehors des portes du bâtiment, sans savoir ce qu'il était advenu des responsables de l'établissement, et sans même avoir connaissance de la cause de cette situation d'ugence. Y avait-il de quoi rire et plaisanter ? Puis, les meurtres avaient commencé. Le premier corps avait été retrouvé dans la forêt, juste à l'orée des arbres, par un élève imprudent qui s'y était aventuré. Il s'agissait d'une jeune fille, sauvagement mutilée et violée. Sherkane n'avait pas aperçu le cadavre, mais les rumeurs circulent vite, à Poudlard bien plus qu'ailleurs. Mais encore, si cela s'était arrêté là. "Ca" avait continué. Depuis, les corps sans vie, immobiles, s'amassaient dans les coins sombres, et les étudiants privés de liberté craignaient de s'aventurer dans les couloirs mal éclairés de peur d'apercevoir dans un sursaut d'effroi une main inanimée tâchée de pourpre... ou la source des mystérieux meurtres.
Le plus effrayant en soi aux yeux de la charmante vipère n'était pas même que des élèves se fassent cruellement assassiner au détour des couloirs, mais bel et bien l'identité des responsables. Si les adultes avaient fui ou si les criminels s'en étaient débarrassés, quelle option restait-il ?... Eux. Tous les autres. Des élèves. Des adolescents. Ou, du moins, des êtres matures placés dans des enveloppes corporelles de jeunes. Car, quel étudiant de Poudlard - ce qui donnait une tranche d'âge de onze à dix-sept ans - disposerait d'assez de tripes pour commettre un acte aussi profondément contre-nature ? Pour déchirer son âme de la sorte ? Outre les sociopathes en puissance, personne parmi la masse de brebis bêlantes qui constituait la majeure population de l'école de sorcellerie n'en aurait été capable.
Et c'était là l'inquiétant. Avec ces atrocités régulièrement commises, comment savoir de quoi était encore capable les uns et les autres ? C'était ceci qui effrayait le plus Sherkane, et non la crainte d'être tuée. Bien sûr, la Mort la terrorrisait. Mais quoi de plus facile à manipuler et à décimer qu'une masse inculte, encore jeune et craintive ? Pour les meurtriers, les élèves de Poudlard devaient être la pâte par excellence, aisée à tromper, à façonner. C'était grâce à ce degré d'influence des esprits que, progressivement, s'étaient installés cette atmosphère lourde et pesante, ce subtil parfum de Mort, cette amère aura de désespoir qui pesaient à présent sur Poudlard. Comme de juste, les élèves tentaient de se défendre avec leurs maigres moyens. Méfiants, ils s'évitaient entre eux, car à qui faire encore confiance en ces temps troublés ? Certains devenaient fous ; psychologiquement torturés, sous pression, ils perdaient toute clarté d'esprit jusqu'à éclater en de spectaculaires crises d'angoisse: ils étaient perpétuellement sous pression, tendus ; paranoïaques, ils finissaient par se suicider en silence, et leurs cris de terreur se taisaient enfin, soulageant quelque peu les nerfs éprouvés de leurs camarades. Parfois, Sherkane en venait presque à songer qu'il était meilleur pour le bien de tous qu'ils se taisent, sans quoi le reste des étudiants encore relativement sains d'esprit aurait fini par les étrangler pour les faire taire. Les plus faibles devaient mourir. Dans l'esprit de la verte et argent, dans le fond, ceci était dans l'ordre des choses. De la nature.
Parmi la foule de ceux qui cherchaient des raisons à cette tuerie, Sherkane avait remarqué tous ceux qui, faisant preuve d'une optimisme proche de la stupidité, s'évertuaient à envoyer des messages à leurs proches. Leurs lettres leur revenaient parfois, intactes, ou bien, lorsque le courrier des proches arrivait, ils ne semblaient pas du tout y prendre la pleine mesure de... la démesure, justement. Ou bien, les missives ne revenaient pas du tout, tout simplement. Ces quelques constatations avaient fait conclure à la jeune vipère que, si l'on ne s'inquiétait pas de leur sort au Ministère ou même à Pré-au-Lard pourtant tout proche, c'était sans doute que des nouvelles falsifiées parvenaient aux bienheureux parents. Dans le cas contraire, Sherkane ne doutait pas le moins du monde que son gros et gras père, Alastar Aberkane, serait venu la chercher à grand fracas, avec tout son argent derrière lui. Puis il y avait les autres, des Serdaigle le plus souvent, qui quêtaient en vain une explication brillamment logique à tous ces évènements. Une raison valable qui aurait pu justifier leur enfermement, en somme. Ils ne comprenaient pas que l'unique chose à redouter dans tout ça, ce n'était pas que ces meurtres aient une raison, mais précisément qu'ils n'en aient pas. Car le massacre frappait tout le monde, ou presque. Sang Purs, Sang de Bourbe, Serpentard, Gryffondor, tout le monde, au hasard et sans le moindre raisonnement. C'était précisément ce qui motivait la terreur ambiante: il n'y avait pas d'élus, pas de condamnés. Ils étaient tous des proies. Au bout d'un certain temps, elle avait pu assister à la constitution d'un petit groupe d'élèves résistants, dont la vocation semblait être de lutter contre les meurtriers. Classique. Dès qu'une puissance du mal s'élevait, une autre grandissait dans le camp du "bien". Mathématique.
Sherkane, elle, n’avait jamais possédé cette lumineuse aura particulière, propre à certaines personnes qui paraissent parfois rayonner comme des soleils, illuminant leur entourage d’ondes positives. Non ; dès l’enfance elle avait été tâchée, consciente de n’être qu’une figurante dans la comédie du monde qui se jouait autour d’elle. Et après ? Elle avait un rôle, et elle le jouait bien. Elle voulait vivre, simuler d’autres émotions dans cette large pièce à échelle humaine qu’était la vie – la sienne, tout autant que celle des autres. Et si elle voulait vivre dans ce Poudlard désenchanté, terni par un Mal latent, profondément enraciné, il n’existait pas une infinité de moyens. Bien entendu, elle aurait pu choisir de faire partie de ces êtres braves et combatifs qui avaient pour ambition de résister, de ne pas céder au brouillard pollué, à la chape de noirceur qui semblait s’abattre sur l’école de sorcellerie, étouffant les élèves dans leur lit, oppressant leur cœur de terreur. Elle aurait pu. Pourtant, elle avait beau être fière, elle n’en demeurait pas moins lucide : elle n’avait jamais été courageuse, de ceux qui se battent à la loyale. Ce n’était pas pour rien qu’elle avait été envoyée dans la maison des verts et argent : elle était un serpent, un être animé par la ruse et l’ambition. Afin de survivre, elle devrait se rallier à ces forces ténébreuses qui assaillaient Poudlard. Aucune autre échappatoire dans cette prison dorée mais maudite, sinon de laisser s’infiltrer en elle le poison qui rongeait l’illustre château dans une lente agonie. Comment dans ces conditions entretenir encore la moindre illusion aussitôt défaite ?
Dernière édition par le Sam 20 Oct - 21:12, édité 3 fois | |
| | | Sherkane L. Aberkane Serpentard
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| Sujet: Re: A travers le Miroir, et ce qu'Alice y trouva... | PV Tsuki | Sam 20 Oct - 21:01 | |
| Ainsi, Sherkane avait entrepris de se nourir de cette épaisse fumée malsaine, de ce délicat arôme de pourriture qui hantait la moindre salle du château. Petite Alice perdue au pays des cauchemards. Tout valait mieux plutôt que de se laisser gagner par cette exaspérante mollesse, ce désespoir et cette folie progressive qu'elle dédaignait tant chez les autres. La plupart des élèves demeuraient passifs, attendant comme du bétail que l'on vienne les conduire à l'abattoir. Les plus naïfs s'imaginaient qu'en évitant les endroits mal éclairés, en restant dans leur salle commune respective et en ne se séparant jamais de leur précieux bout de bois magique, ils parviendraient à survivre un peu plus longtemps. Fumisteries, tout ça. Les étudiants décédés avaient sans doute dû penser la même chose juste avant de mourir dans une ultime fontaine de liquide écarlate. Les tueurs occupaient le corps d'adolescents, donc, ils étaient tous en danger potentiel. Aucun d'eux n'était à l'abri, et surtout pas ceux qui se pensaient stupidement en sécurité. Seule la méfiance et une constante vigilance pourraient les préserver, et leur permettre de voir encore se lever une journée de plus.
Enfin, au moins, le meurtre des professeurs permettait à la verte et argent de consacrer plus de temps à ses recherches et ses explorations. Après tout, elle finirait bien par les trouver un jour, ces tueurs. Ils n'allaient de toutes façons pas la fuir bien longtemps. Ils étaient sa seule manière sûre d'être épargnée, de vivre. En tous cas, cela serait toujours plus utile que d'attendre bêtement la mort en se pensant en sûreté. Pour cela, elle évitait la plupart du temps d'errer seule ou même en groupe trop nombreux. Qu'il était aisé de frapper dans une foule immense, une salle bondée. Non, malgré le camp auquel elle avait choisi de se rallier, elle ne faciliterait pas pour autant la tâche aux esprits maudits qu ravagaient le château. Pourtant, ce soir-là, c'était bien seule qu'elle se promenait. Un nouveau cadavre avait été découvert, pourrissant déjà dans la salle servant de fumoir aux élèves qui s'adonnaient à cette pratique. Un autre des avantages ironiques de la disparition des professeurs était que l'ensemble des habituelles restrictions physiques et morales s'était vu supprimé dans un accord tacite entre chaque membre de la communauté des étudiants. Ainsi, Sherkane ne s'étonnait plus d'observer des élèves fumer n'importe où, errer sans leur uniforme à des heures qui auraient fait tomber en syncope le concierge, ou même, plus rarement, des jeunes gens forniquant discrètement entre eux. Mais à vrai dire, rien de tout cela ne la choquait réellement.
Le résultat de tout ceci était que la verte et argent ne parvenait pas à s'endormir, guettant le rythme des ronflements de ses camarades de dortoir. N'importe laquelle d'entre elles pouvait tout aussi bien faire partie des meurtriers. Sherkane avait à l'occasion déjà entendu certains élèves se plaindre de troubles de la mémoire, ou d'une voix féminine résonnant dans leur tête... Des manifestations d'une étrangeté qui portait à la suspicion. Mais, pour l'heure, la jeune vipère ne s'en inquiétait pas plus que ce qui était nécessaire. Si l'une de ces petites sottes s'en prenait à elle, la cadette des Aberkane s'en débarrasserait sans sourciller, prônant la légitime dégense. Personne ne se soucierait de la vie sans intérêts de l'une de ces filles insignifiantes. Lorsqu'elle comprit enfin que le sommeil était bien décidé à la fuir comme la peste, Sherkane quitta son lit sans un mot et se chaussa simplement de ses pantoufles de satin. Pourquoi prendre la peine de s'habiller ? Plus aucun adulte n'était présent pour lui adresser le moindre reproche. Dans un froissement du tissu de sa longue chemise de nuit - qui ressemblait d'ailleurs davantage à une longue robe de velours bleu tout en voiles qu'à un vêtement fait pour le sommeil -, la jeune femme abandonna silencieusement le dortoir, s'arrêtant durant quelques secondes pour goûter la suspension des souffles dans la pièce. Nombre de ses camarades l'avaient soupçonnée, pour son comportement fier et hautain, de faire partie des fauteurs de trouble. Théorie dont elles auraient rapidement révélé la stupidité si seulement elles avaient eu le bon sens de l'analyser plus en détail. La porte du dortoir des filles de Serpentard se referma dans un grincement sinistre.
Sherkane frissonna doucement lorsqu'elle quitta la pièce commune, déserte, des verts et argent. Dès que l'on quittait l'espace clos, faussement rassurant et agréablement tiède réservé aux serpents, on ne pouvait qu'être frappé par le froid qui glaçait jusqu'aux os et par l'omniprésence de l'humidité dans les couloirs des cachots. Quoi de plus commun pour un endroit que l'on soupçonnait situé sous le lac, ou non loin de là. Pourtant, la vipère aux cheveux noirs semblait y évoluer avec aisance, sans paraître dérangée par l'odeur de moisissure et de putréfaction qui emplissait l'atmosphère. Sherkane ne suivait pas un chemin particulier, laissant ses pieds la diriger d'eux-même vers sa destination inconsciente. Les couloirs étaient apparemment vides et obscurs, à peine agités par les mouvements des personnages figés dans les portraits, témoins silencieux des atrocités commises entre les murs du château. Les yeux de la verte et argent se fermèrent doucement, avec soin, tandis qu'elle inspirait profondément, goûtant l'absence bénie de sons. Lorsque ses paupières se rouvrirent, la vipère distingua dans la semi-obscurité une mystérieuse porte, dont elle avait jusque-là ignoré l'existence, bien qu'elle reconnût un couloir du quatrième étage. Poussée par une sourde curiosité, Sherkane attarda sa main sur la poignée, la caressa doucement, avant de pousser le battant de bois.
Lentement, comme si la pièce elle-même avait voulu lui ménager une délicate surprise, la porte s'ouvrit dans un grincement aussi sinistre que sonore. La salle aux vastes dimensions, soutenue par quatre puissants piliers, semblait vide, exceptée la forme blanche qui trônait au milieu. Si elle avait été mobile, Sherkane aurait laissé échapper un léger rire moqueur: elle avait entendu parler de ces prétendus fantômes, silhouettes évanescentes recouvertes d'un drap blanc, auxquels croyaient les petits enfants moldus durant leur enfance. Toutefois, l'objet ou la statue, en résumé ce qui était dissimulé sous la toile blanche, ne bougeait pas. Sherkane s'en approcha à pas lents, précautionneux, tout en tirant sa baguette. L'expérience de cinq années à Poudlart lui avait appris que s'approcher d'un objet non identifié sans moyen de riposte correspondait à peu de choses près à disposer du quotien intellectuel d'un Scroutt à Pétard. D'un large geste, elle rejeta au loin le voile, pour découvrir...
... un miroir. Un antique miroir recouvert de poussière, brisé par endroits, soutenu par quatre pattes de lion. Son cadre avait autrefois été recouvert d'or, mais il était désormais écaillé, terni par les salissures du temps. L'ensemble donnait l'impression d'un vieux meuble désuet abandonné là par les années. Une inscription à demi effacée le surmontait. Sherkane lut "Risèd Elrue Ocnot Edsi Amega Siv Notsap Ert Nomen Ej". Ces termes apparemment mystérieux lui parlaient pourtant... Où donc les avait-elle déjà entendu ? Miroir... Quatrième étage... Risèd... Lumière. Le Miroir du Risèd, baigné dans la lueur opalescente de la Lune, se tenait exposé devant elle, prêt à lui révéler ses désirs les plus profonds, peut-être même lui montrerait-il ceux qu'elle cherchait. Un pas en avant, une main tendue. Pause. Moment d'indécision. Oui, la verte et argent hésitait. Etait-elle prête à remettre en cause tout ce en quoi elle croyait ? Ce miroir pouvait lui révéler le meilleur et le pire, sans distinction. L'homme devient fou lorsqu'il se regarde soi-même de trop près. Fou de lucidité. Oh, au diable ces considérations ; un serpent ne doit jamais se laisser aller trop longtemps au doute. Résolument, Sherkane aggripa le bord du miroir de sa main gauche, tandis que les doigts de sa main droite effleuraient la surface lisse de l'antique meuble... Hj: Hum, je ne suis pas satisfaite de mon post, mais j'espère que ça ira =) Pour la longueur, aherm... c'était nécessaire Navrée d'ailleurs du double post, mais, la longueur dépassait la taille autorisée. ^^ Bonne lecture tout de même. :ange: Ce n'est pas merveilleux, mais la suite sera meilleure, promis | |
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