Abbes Edward Jacob

PRELUDE

« William ? William, ou est ce que tu te caches ? William vient ici tout de suite. »

La tête d'un jeune garçon sortit de derrière la cabane qui se trouvait au fond du jardin. Il devait avoir six ou sept ans, pas plus.

« Aller, viens la maintenant, ça suffit, tu t'es assez amusé pour aujourd'hui. »

William sortit complètement de sa cachette. Avant sa mère jouait avec lui mais depuis quelques temps elle ne faisait plus rien des choses amusantes qu'elle avait prit l'habitude de faire. Le jeune garçon courru jusqu'à sa mère et ils entrèrent tous les deux dans la vieille maison. La vieille demeure n'avait pas changé depuis des siècles et des siècles. Elle n'avait aucune valeur marchande mais toute la famille considérait cette maison comme leur foyer. William comme sa mère avant lui avait passé ici les quatre première années de sa vie. C'était une sorte de rituel. William ne comprenait pas pourquoi les choses devaient être comme ça et quand il posait la question a sa mère elle lui répondait qu'il le saurait quand il serait grand. Mais pour dire vrai elle ne comprenait pas le sens de ce rituel plus que son fils. Louise avait passé une grande partie de sa vie loin de la Maison paternelle mais après la naissance de son premier fils, William, elle était revenu dans le nord de l'Ecosse pour que lui aussi y passe ses premières années. Son mari, Mason, avait eu du mal a accepter d'être séparé de son fils aussi longtemps du coup après seulement quelques jours, le couple avait rejoint l'enfant dans la vieille demeure. Ils y avaient donc vécu tous les trois pendant quatre années. Mason avait été heureux de pouvoir enfin partir. Mais son beau père était tombé malade peu de temps après. Louise avait donc décidé de revenir en Ecosse. Ils avaient fini par vendre leur maison de Londres pour s'installer définitivement au Manoir. Le père de Louise, Edward, malgré toutes les potions qu'il prenait quotidiennement n'allait pas mieux. Pire, son état empirait maintenant depuis quelques semaines. Le medecin avait peu d'espoir qu'il guérisse. Louise avait eu beaucoup de mal a accepter cette vérité.

« Cherie ? Tu n'aurais pas vu William, je le cherche depuis plus d'une heure, son grand père veut le voir. » Fit une voix masculine du haut des escaliers. »

Mason descendit les escaliers et se retrouva face a sa femme et son fils.

« Tiens, te voilà toi. Ou est ce que tu étais passé ?

- Il était dans la jardin a se cacher. »

Mason sourit. Au moins William ne semblait pas trop touché par tous ce qui se passait dans la maison.

« Viens Will, ton grand père veut te voir. »

William suivit son père dans les escaliers. Son grand père ne sortait plus de sa chambre depuis une semaine maintenant et William n'avait pas le droit d'aller le voir, on lui avait dit qu'il devait le laisser se reposer. Il fut surpris d'y être invité. Ils tournèrent dans le grand couloir a la droite des escaliers, la chambre d'Edward était tout au fond. William eut l'impression de parcourir des centaines de mètres avant d'arriver enfin a la chambre. William regarda son père frapper puis entendit la voix de son grand père venant de la chambre. Mason ouvrit la porte et laissa son fils entrer avant de refermer derrière lui. Edward lui avait dit qu'il voulait voir son petit fils en privé. Mason avait été d'abord intrigué puis avait finir par céder devant le vieil homme.
William entra dans la chambre sombre. Dehors il faisait grand soleil mais les volets avaient été fermés. Son grand père était assis sur un grand fauteuil dans un des coins de la grande chambre. Edward avait une couverture sur les genoux et quelques potions posées sur une petite table à côté de lui. Pour la plupart c'était des potions contre la douleur mais William n'y pretta pas la moindre attention.

« Viens par la Willy. »

William ne laissait que son grand père l'appeler comme ça; il trouvait que dans la bouche des autres ça n'allait pas du tout. Le jeune garçon s'avança jusqu'au fauteuil. Son grand père frappa ses genoux pour indiquer a William de venir s'y asseoir. Le garçon s'executa. Bien que malade, Edward était encore plein de force et le corps de son petit fils ne fit que rajouter a la chaleur que lui prodiguait le couverture.

« Willy sais-tu pourquoi je t'ai demandé de venir me voir ? »

William hocha négativement la tête.

« Je vais bientôt mourir Willy, il ne me reste que quelques jours tout au plus. Tu te souviens du médecin qui est venu ? Bien. C'est un de mes bons amis et il m'a dit exactement ce qu'il en était. Mais avant que mon temps ne soit écoulé, j'aimerais te dire quelque chose. »

William attendait assis droit sur les genoux du vieillard. Il savait ce que c'était que "mourir", sa mère le lui avait expliqué quand sa grand mère était morte quelques mois auparavant.
William pensa que son grand père s'était endormis parce qu'il ne bougeait plus. Alors qu'il allait décendre de ses genoux, le vieil homme reprit.

« Willy, dans quelques mois tu vas avoir un petit frère. Je ne pense pas que tes parents le sache déjà. Tu devras bien t'occuper de lui parce que ses premières années ne seront pas faciles du tout. »

William acquissa. Son grand père lui fit signe qu'il pouvait retourner voir ses parents.
Il ne leur dit rien de ce qu'il avait appris.

ORIGINES

Deux jours plus tard, Louise arriva au petit matin dans la chambre de son fils. Elle avait les yeux rouges et a chaque fois qu'elle essayait de parler sa voix s'étouffait dans sa gorge. William prit une grande inspiration et dit d'un ton neutre.

« Grand père est mort. »

Louise oublia pendant quelques instants sa peine, surprise par le sérieux des mots de son fils. Elle ne put qu'hocher de la tête pour lui signifier qu'il avait raison. Mason entra alors dans la chambre ou se trouvait sa femme et son fils. Il s'assit sur le lit a coté de Louise et passa son bras autour de ses épaules.
L'enterrement eu lieu trois jours plus tard. Il n'y avait pas un seul nuage dans le ciel bleu d'Ecosse. Mais tous les gens présents habillés de noir déprimaient au plus haut point le jeune garçon. Il n'avait toujours pas dit a ses parents ce qu'il avait appris la semaine passée. L'enterrement ne fut pas long et tout le monde gagna la maison familiale une fois la cérémonie terminée. William joua avec ses cousins dans la jardin alors que les adultes discutaient a l'intérieur.
Le lendemain tout le monde avait quitté la demeure sauf Louise, Mason et William. Ils avaient hérités de la Maison alors que les frères et soeurs de Louise s'étaient partagé les biens financiers. Il n'y eut aucun problème et tout le monde eut a peu de chose prêt la même chose.

Quelques moi après, Louise mit au monde son deuxième enfant. Ils le nommèrent Abbes Edward Jacob. Abbes avait été choisi par William et ni sa mère ni son père ne surent d'ou il tenait ce prénom. Le second prenom du bébé était un hommage a son grand père décédé peu de temps avant. Et Jacob était le nom du père de Mason qui vivaient tranquillement dans la banlieue de Londres. William avait décidé de garder pour lui le fait qu'il savait qu'il allait avoir un petit frère mais ses parents se doutèrent que quelque chose n'était pas normal quand il leur dit qu'ils devraient l'appeler Abbes juste après qu'ils lui aient annoncé la nouvelle. Mais la joie de la naissance chassa toutes les questions.
Durant ses premières semaines, Abbes n'eut aucun problème. Louise et Mason étaient heureux de voir William s'occuper autant de son petit frère. Bien sur au début William faisait plus de bétises qu'autre chose mais très vite, en regardant sa mère, il apprit a y faire avec le Bébé. Pour le divertir, il utilisait la magie pour faire des feux d'artifices. En réalité c'était de petites explosions de couleur mais Abbes semblait ravi par les teintes que le phénomène prenait.
La suite ne fut pas aussi bonne pour le petit Abbes. Il tomba malade. Personne ne s'y attendait. Le bébé était issu de deux familles très anciennes de sorciers et on le pensait a l'abris des problèmes de santé. Les medecins eurent du mal a savoir ce qu'il avait vraiment. Ce n'était pas particulièrement grave mais Abbes était fatigué continuellement et le moindre jeu avec son frère devenait quasiment impossible. Louise et Mason trouvèrent un médecin moldu qui leur proposa quelque chose, les potions et autres remèdes n'aidant pas leur fils. Pour qu'Abbes ait une vie normale, William devait lui faire dont de moelle osseuse. Mais face aux risques, Louise et Mason refusèrent la procédure. William avait été présent chez le médecin et se souvint des mots de son grand père. Une fois rentrés a la maison, William parla a ses parents. Du haut de ses huit petites années il leur dit:

« Je veux aider Abbes.

- Nous savons mon chéri que tu veux qu'il aille mieux, mais nous ne pouvons rien faire pour lui.

- Mais le médecin...

- Le médecin a proposé quelque chose de bien trop dangereux Will.

- Mais Papa...

- Non, il n'y a pas de mais qui tienne William, cette discution est close. »

Le jeune garçon ne s'avoua pas vaincu et tous les jours il essaya de faire plier ses parents.
Quand Abbes eut un an, sont état empira sans prévenir. Les potions parvenaient a le garder conscient quelques heures par jour mais il ne pouvait même plus se déplacer a quatre pattes. Louise et Mason cédèrent face a William.
Trois semaines plus tard, tous se rendirent dans un hopital moldu au centre de Londres pour que l'opération ait lieu. Ensuite tout alla très vite. L'opération commença un vendredi matin. Tout se déroula bien, William sortit de la salle d'opération le premier et fut conduit en salle de réveille. Abbes lui resta en chirurgie plus longtemps. En attendant que leur second fils sorte de la salle d'opération, Louise et Mason allèrent voir William. A peine furent-ils entré dans la chambre qu'il leur demanda.

« Comment va Abbes ?

- Pour l'instant tout va bien.

- Grand père avait raison alors... »

Les deux adultes échangèrent des regards surpris. Puis ils se tournèrent vers William et le regardèrent avec insistance. Le garçon n'eut d'autre choix que de tout leur raconter.

« Comment est ce que ce vieux fou pouvait savoir ça ? »

La colère perçait dans la voix de Mason. Louise le regarda surprise. Ces dernières années avaient été très dures pour toute la famille et surtout pour Mason qui se sentait impussant face a tout ce qui se passait. Mais jamais il n'avait parlé de cette façon.

« Pourquoi ne nous a-t-il rien dit ? »

Les larmes perlaient aux yeux de Mason.

« Mais c'était a moi de protéger Abbes. » fit William avec force.

Mason se tourna le visage déformé par la colère vers son fils qui ne bougea pas un cil.

« Tu n'es qu'un enfant William ! Tu ne peux pas protéger ton frère, c'est a nous qu'incombe cette tache. Ton grand père a fait une erreur en te disant ce qu'il t'a dit, il aurait du m'en parler ! »

Mason sortit en claquant la porte. Louise alla s'asseoir sur le fauteuil vers la fenêtre. Elle avait besoin de respirer. Elle essaya d'ouvrir la fenêtre mais fini par se souvenir qu'on ne pouvait pas les ouvrir. William serrait les poings. Il ne comprenait pas pourquoi son père avait réagit de la sorte et il en vint a en vouloir a grand père Edward.
Quelques heures plus tard, le chirurgien entra dans la chambre et annonça que tout c'était bien passé pour Abbes. Louise retrouva son mari en sale de réveille. Il semblait s'être calmé. Mais alors qu'il vit sa femme il se redressa et dit froidement.

« Je retourne habiter a Londres. Et Abbes vient avec moi.

- Pou-pourquoi ??? bulbutia-t-elle.

- Je ne veux pas qu'il vive dans cette maison.

- Mais et William, tu as pensé a lui ? Et a moi, hein, tu y a pensé ? »

Louise criait et pleurait. Abbes endormi sur son lit ne semblait pas savoir que son avenir et celui de sa famille était en train de se jouer. Mason reprit d'une voix calme.

« Vous pourrez venir le voir de temps en temps. »

Sur ce il sortit de la chambre. Louise continua a pleurer pendant de longues minutes.
La semaine suivante elle rentra en Ecosse avec William. Le garçon ne comprenait pas ce qui se passait. Il comprit seulement que ses parents ne vivaient plus ensemble mais il ne savait pas pourquoi Abbes ne vivait plus dans la maison de grand père.

NOUVEAU DEPART

Les mois passèrent. Puis les deux ans d'Abbes arrivèrent. Louise et William reçurent un hibou qui les invitait a venir fêter l'évènement a Londres.

Mason ne regretta pas sa décision. Abbes lui était encore trop jeune pour comprendre ce qu'il vivait. Les premiers temps il demanda après sa mère et son frère mais il s'habitua a leur absence. L'opération avait été un succès complet et Abbes était maintenant un petit garçon en bonne santé et en forme. Il voyait William régulièrement mais pas autant qu'il le voulait, son père était très strict sur ce point. Par contre il devait attendre son anniversaire ou Noël pour pouvoir voir sa mère. Il aurait voulu la voir tout le temps mais ses parents en avait décidé comme ça.
William était entré a Poudlard lors de ses 11 ans, comme tous les jeunes sorciers. Il profitait de tous les moments de libre qu'il avait pour donner rendez vous a son frère. Il fit de brillantes études a Gryffondor et obtint son BUSE. Ce fut la dermière foisque toute la famille fut réunie. Abbes allaient fêter ses dix ans quelques semaines plus tard mais il n'y eut pas de fête. William avait décidé de partir a l'autre bout du monde pour continuer a étudier les Runes. Louise elle vivait toujours en Ecosse mais elle n'était pas seule. Sa soeur l'avait rejointe après le décès de son mari. C'était un joueur de Quidditch presque professionnel et lors d'un match il avait reçu un cognard derrière la nuque. Il avait été tué sur le coup. Puis la maison se remplie de quelques oncles et tantes qui n'avaient plus que quelques années a vivre. La maison se remplie petit a petit ce qui permit a Louise de compenser l'absence de ses fils.
William ne donna plus aucune signe de vie. La dernière lettre qu'il avait envoyée par hibou félicitait son petit frère pour son entrée a Poudlard.

Abbes avait en effet reçu la fameuse lettre de Poudlard le jour de ses onze ans comme il était coutume. Mason avait prévenu son ex-femme. Louise était venu quand Abbes avait prit le Poudlard Express pour la première fois. Abbes avait été triste que son grand frère ne soit pas la mais le hibou qu'il reçu lui donna assez de courage pour entreprendre ses études.
Par contre il garderait toujours en mémoire ce jour ou il était allé au chemin de traverse avec son père pour acheter tout ce qu'il avait besoin. Il y avait tellement de sorcier regroupés dans un si petit endroit qu'Abbes n'y crut pas ses yeux. Accompagné de Mason il fit toutes les boutiques, même celles ou il n'avait rien a acheter. Ils avaient terminés la journée par le magazin de baguette. Ils étaient entrés alors que le boutiquier allait fermer. Toujours content de voir un nouveau client, l'homme les accueilli avec plaisir.

« Bonsoir a vous. J'imagine que vous venez pour le jeune garçon ?

- Bien sur. Vas-y Abbes, parcours les rayons. »

Le jeune garçon ne mit pas longtemps a trouver son bonheur. Avec l'aide du boutiquier il trouva rapidement la baguette qui lui convenait.

« 24,3 centimètres, bois d'If et poil de corne de licorne. Voilà une bien belle baguette. »

Mason ne discuta pas le choix de son fils, il avait toujours pensé que c'était plus la baguette qui choisissait son sorcier que l'inverse.

Travailleur, attentif et intéressé, Abbes était un bon élève. Il ne voyait son père que rarement et sa mère encore moins. William lui ne donnait aucun signe de vie mais Abbes savait que tout allait bien pour son grand frère. Avec le temps il ne ressentait plus les absences de ses proches comme des manques, il avait appris a vivre de la sorte et ce qui aurait pu passer pour bizarre pour d'autres était complètement normal pour lui. A vrai dire il ne se serait pas vu avec un famille belle et unie.
A Poudlard, Abbes ne se fit pas beaucoup d'amis. Après tout il n'en avait jamais eu beaucoup. Il ne voulait pas s'attacher aux gens par peur qu'ils partent et le laisse seul. Il se plongea donc dans ses études, étudiant d'arrache pied. Il appréciait particulièrement le cours de métamorphose et le cours de Défense contre les Forces du Mal. Par contre il n'était pas du tout comme son frère, il failli louper ses épreuves de BUSE en sixième année a cause de l'Etude des Runes qu'il avait décidé de suivre pour faire comme son frère. Mais il réussi a passer en dernière année.
Abbes n'a plus rien a voir avec ce qu'il était quand il était jeune. Alors qu'il était petit et chétif quand il était bébé, il était maintenant un jeune homme grand et solide. Bien sur il n'aurait pas pu devenir batteur dans l'équipe de Quidditch.
Son père l'avait pourtant insité a entrer dans l'équipe de Quidditch a Poudlard. Il lui avait dit que c'était un bon moyen pour relacher de la pression après les cours. Abbes s'était donc présenté au début de sa cinquième année. Il avait recouvert ses cheveux noirs d'un casque comme beaucoup d'autres élèves. Ses jambes et bras étaient protégés par tout l'attirail du parfait petit joueur. Son père avait été ravi de l'emmener acheter tout ce dont il avait besoin. Par contre Abbes ne s'était pas attendu a une chose, que son père lui achète un balai. D'après le vendeur c'était le model le plus rapide et le plus maniable qui se faisait actuellement. Au petit matin, Abbes avait donc quitté sa salle commune revêtu de sa panoplie et son balai a la main. Il fini par arriver sur le terrain.

« Bonjour a tous et bienvenue aux sélections pour l'équipe de Quidditch. Nous avons trois titulaires a remplacer et sept remplaçant a nommer. Vous pouvez donc postuller cette année au poste qu'il vous plaira. »

Abbes avait un peu réfléchi a la chose et le poste qui lui allait le mieux était celui d'attrapeur. En plus avec son nouveau balai il pourrait surement être pris dans l'equipe remplaçante.

« Hey ! Toi, oui toi. C'est a ton tour. »

Abbes fut tiré de ses pensées.

« Alors quel poste veux tu occuper ?

- J'aimerais être attrapeur.

- Tu sais que c'est le poste le plus demandé.

- Oui.

- Bon eh bien commençons alors. Au moins tu as le physique, pas trop mince, pas trop gros, assez grand pour que ton poids soit bien réparti sur le balai. Avec un peu de chance du intégrera l'équipe remplaçante. »

Le vif d'or fut lacher et après dix secondes, Abbes fut autorisé a monter sur son balai pour partir a la chasse au vif d'or. Quelque peu surpris, Abbes mit quant même de longues minutes pour attraper le vif d'or. Quand il redescendit l'autre élève qui l'attendait lui fit un petit sourire. Abbes, ses yeux bleus toujours derrière ses lunettes de vol savait bien qu'il n'aurait pas le poste.

« Désolé mais tu n'as pas été le plus rapide. Entraine toi un peu, tu n'es pas mauvais et si jamais on cherche un nouvel attrapeur je penserai a toi. »

L'equipe n'avait jamais eu besoin d'un nouvel attrapeur les deux années suivantes et Abbes ne comptait plus entrer dans l'équipe maintenant. Son père avait été un peu déçu mais voyant que ça ne chagrinait pas son fils plus que ça il laissa courrir.

Abbes entre donc en dernière année a Poudlard, espérant réussir les épreuves qui l'attend et surtout avoir son diplôme en fin d'année. Mais apparemment rien ne se passera comme il l'imaginait...



Nom/Prénom :: FAIVRE David
Âge du personnage :: 17 ans
Âge hors RP :: 18 ans
Où avez-vous connu le forum? :: Sur un top site
Comment trouvez-vous le forum? :: Le design est plutot pas mal et l'intrigue assez intéressante.
Star sur votre avatar? :: Zach Braff
Avez-vous lu le règlement? :: Oui
Combien de mots fait votre fiche ? :: 3011 a peu de choses près ^^' (avant modifications)

Welcome To Impero!!!

Alors, alors, je viens de lire entièrement ta fiche et quelques détails me chiffonnent.

Tout d'abord: ta baguette ne peut pas contenir de l'essence de corne de licorne. Si tu tiens absolument à que se soit quelque chose venant d'une licorne alors c'est un poil. Tu as également le choix entre une plume de phoenix, un ventricule de coeur de dragon et un cheveux de vélane.

Ensuite, tu ne fais pas du tout la description de ton personne se qui est fort dommage quand on voit ton avatar ( :coeur: ) dis nous en plus sur le physique de ce jeune homme.

Et pour finir, je n'ai pas vraiment compris un point: Mason et Louise sont divorcés? Pourquoi? A-t-elle cherché à avoir la garde d'Abbes? Comment William a-t-il réagit face à cette séparation car tu exploites pas mal leur relation au début et puis, pouf, plus du tout.


Voila les détails que j'ai vu mais je pense que mes collégues rectifiront si j'ai oublié quelque chose

Tout d'abord merci beaucoup ^^

Ensuite voyons les points que tu soulèves :

- pour la baguette la correction est faite, pas de problème

- je vais essayer d'incruster une petite description physique un peu plus détaillée dans l'histoire en ajoutant une anecdote lors de sa sixième année a Poudlard.

EDIT: voila qui est fait pour la description physique, j'espère que c'est assez ^^'

- Pour ce qui est des relations dans la famille il y a des choses que je n'ai pas développé parce qu'elles n'ont pas eu une grosse incidence sur Abbes. Mason et Louise sont bien divorcés. Ca s'explique parce que les manigances du père de Louise ont été la chose de trop pour Mason. Déjà qu'il a du aller vivre en Ecosse parce que William y était...et d'autres petites choses qui ne sont pas présentées. Tout ce qui entoure le divorce n'est pas mentionné parce que les enfants ont été tenus en dehors de tout ce qui s'est passé.

- En ce qui concerne William j'arrête de m'y intéressé justement parce qu'il est avec sa mère et que Abbes est lui avec son père ^^'

Au besoin de peu tout développer mais il me faudra un peu de temps ^^'

Tout d'abord bienvenue.

Que dire de cette fiche? Pas grand chose si ce n'est que malgré une ou deux rares fautes qui survivent le fond est très correct.
Ton histoire n'est pas lourde et le résultat est fluide en tout cas, j'aime.

Pour la maison j'hésitais jusqu'alors entre Poufsouffle et Serdaigle avec un petit penchant pour Serdaigle, mais en voyant le message de Marine je me suis dit qu'il était bon de mettre fin à tes souffrances et de te donner le nom de ta nouvelle maison.

J'opte donc pour Serdaigle.
Avec les félicitations du jury.

PS: PENSE A METTRE LA MISE EN FORME.
Description en italique
Paroles en gras et de même pour les pensées. Cet oubli m'a un peu gêné dans la lecture. Que ça ne se reproduise pas =)

Merci a tous les deux ^^

Arf j'ai plus pensé a la mise en forme ^^' désolé, je vais modifier ça tout de suite

EDIT: Voila qui est fait, c'est vrai que c'est beaucoup mieux.


Et, au fait, "méfaits accomplis" !