Impero :: The damned Souls
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 Sur un air de piano... [Constance Rosenlow]

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MessageSujet: Sur un air de piano... [Constance Rosenlow]   Sur un air de piano... [Constance Rosenlow] Icon_minitime1Mer 3 Oct - 19:02



La petite Sugar ne savait vraiment que faire. Elle parcourait les étages sans se presser à la recherche de quelque chose qu'elle pourrait bien faire. Travailler cette année serait difficile pour elle et s'amuser sous cette grisaille n'était pas très plaisant. Depuis neuf heures, elle était levée, habillée, toute prête mais ses copines elle préféraient rester au lit. Sugar, jamais ! Elle faisait une tonne d'exercices dès le matin après son petit déjeuner : courir, sauter... Dès son levé, elle était en pleine forme. Mais les élèves, de leur côté, préféraient rester bien au chaud sous leur couette bien chaude. Les couloirs étaient donc desepérément vides.

A présent, il était dix heures trente minutes, sur la montre de Sugar. Elle montait les escaliers du cinquième étage vers le sixième étage. Elle avait croisé plus bas quelques élèves sans intérêt ou qu'elle connaissait peu. Elle se balada dans les couloirs et tomba face à face avec la porte de la salle de répétition. Au début, elle continua son chemin sans y prêter grande attention. mais son envie de jouer du piano était trop forte... Après avoir tourné en rond quelques instants, elle abaissa la poignée de la porte. Une large salle apparut devant elle. Elle était remplie d'instrument de toutes sortes. La jeune fille s'avança et referma délicatement la porte derrière elle. A vrai dire, Sugar était quelqu'un de discret mais ce n'est pas le plus important en ce moment. A cet instant, un large sourire s'affiche sur son visage. Ses yeux son rivés sur le piano à queue laqué noir. Elle en fait le tour... Il est exactement pareil que celui de la maison... Ce n'est pas la première fois que Sugar vient par ici mais elle n'aime pas trop être seule dans une grande pièce. Par conséquent elle se rue dans les endroits bondés plutôt que tranquilles. Chacun ses choix... La petite Sugar s'assit sur le petit tabouret recouvert de velour rouge bordeau, à la maison c'est un simple tabouret en bois alors que celui-ci paraît appartenir à un virtuose. Elle ne devait pas perdre l'occasion d'être tranquille pour s'exercer. Voyons qu'allait-elle donc pouvoir bien jouer... ? Excellente question. Puis un morceau calme et relativement simple à jouer lui vint à l'esprit. Elle l'avait appris il y a deux ou trois ans, elle ne savait plus exactement. Elle fit quelques games afin d'être sûre que le bel instrument soit correctement accordé. Puis, elle laissa aller ses longs doigts fins sur les touches glacées...

Elle jouait un magnifique morceau appelé "My love, so sweet". Son professeur avait été fier qu'elle sache le jouer aussi bien. Et elle était fière d'elle. Les notes sonnaient parfaitement à son oreille et elle ressentait la même sensation que d'habitude : celle de s'évader. Sugar sortait enfin de cette prison, de cette école maudite. Elle rentrait dans le monde magique qu'elle s'était créé autour de la musique. là, elle pénétrait dans sa forêt au mille notes de musique... Magnifique. Sublime. Extraordinaire. Il n'y avait pas d'autres mots. Alors qu'elle était à peu près à la moitié du morceau, Suagar entendit loin, très loin, une porte s'ouvrir et des pas qui résonnait près d'elle. Mais la petite rose ne s'arrêta pas pour autant. Elle redoubla de force et de conviction dans sa musique, elle courait à toute vitesse au coeur de sa forêt, fermait les yeux... Mais tout à une fin même les plus belle choses. Son rêve s'acheva sur les trois dernières notes qui retentirent et Sugar rouvrit les yeux... Alors qu'elle reprenait son souffle après son fabuleux périple, elle entendit derrière elle une voix dire :


The Voice - " C'était très beau."
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MessageSujet: Re: Sur un air de piano... [Constance Rosenlow]   Sur un air de piano... [Constance Rosenlow] Icon_minitime1Mer 3 Oct - 21:37

Vu que les professeurs semblaient soit avoir désertés l’école, soit avoir disparu – au choix des rumeurs circulant dans le château- les couloirs de l’école étaient plus que remplis. Tous semblaient affectionner le simple fait de ne point se rassembler dans une petite pièce de cinquante mètre carré qui leur servait autrefois de salle de cours. C’est alors que la Grande Salle, les escaliers, l’extérieur et les couloirs se retrouvaient remplies par plusieurs groupes d’élèves. Être en groupe permettait une sorte de survie face au danger présent mais inconnu de l’école déserte de responsabilité. Néanmoins, le proverbe « Mieux vaut être seul que mal accompagné » résonnait généralement aux oreilles de la jeune fille de sixième année. C’est ainsi qu’elle préférait se retrouver avec elle-même plutôt que de devoir supporter quelques filles ou garçons qui se prenaient à rêver qu’ils arriveraient, sans l’aide de quiconque, à briser le maléfice des grandes portes de l’entrée ou alors à s’échapper par les airs sur un balai pour aller prévenir quelqu’un de l’extérieur. De joyeux rêves qui devaient surement les aider à ne pas sombrer dans une sorte de transe phobique ou de cassure de self-control. Déjà qu’ils sursautaient tous lorsqu’un rat se frayait un passage entre leurs jambes. Enfin, pour ce dernier fait, Constance n’en rira surement pas… vu qu’elle n’ait guère mieux. A la différence près, qu’elle l’avoue.
D’ailleurs, en parlant de Constance, en cet instant, elle se trouvait dans l’une des salles de classe vidés de tous ses occupants habituels et résiduels. Aucun personnage dans les tableaux, aucun fantôme, élève ou professeur à l’horizon. Aucune âme qui vive. Assise sur l’un des bureaux, dos à la porte, avec un livre posé sur les genoux, la jeune fille n’avait guère envie de perdre une année qu’elle ne savait comment elle se terminerait. Enfin. Elle n’étudiait pas aussi sérieusement qu’elle n’aurait dû le faire en période scolaire « normale » mais c’était déjà un début. Les pieds posaient sur une chaise, rien ne semblait la perturber en cet endroit. La salle de classe d’Histoire de la Magie. Qui viendrait la déranger en cet endroit ? Et pourtant… Nul n’est à l’abri. C’est ainsi que sentant une présence après avoir ressentit ce qui ressemblaient à des chatouilles au niveau de la taille, Constance sursauta à en laisser son livre tomber sur le sol. Elle l’aurait d’ailleurs suivi dans sa chute si elle ne s’était pas assise en plein milieu de la rangée. Tournant rapidement la tête vers « ce » qui avait causé ce sursaut, elle tomba sur une tête rousse et blonde on ne peut moins connue.


|C|« As-tu conscience que tu aurais pu me faire faire un arrêt cardiaque ? »
|A| « Toi ?… Non, t’es trop coriace. T’en as pas l’air comme cela mais on ne m’y trompe pas. »

Si on était à la mode animale, Constance se serait surement jeter sur la jeune fille qui venait de lui faire des chatouilles. Mais voilà. Nous sommes dans le monde civilisé. Enfin, on tente de s’y trouver en tout cas. De plus, commençant à connaître la jeune personne qu’elle avait en face d’elle, Constance savait que tout ce dont elle attendait était une réaction face à cela. Amélia était ainsi. Une vraie gamine à ses heures perdues. Et dire qu’elles avaient pourtant le même âge. Cependant, Constance n’arrivait pas à lui en vouloir. Elle était… Elle ne saurait le dire. Bavarde, inconsciente et attachante, à son plus grand regret. Alors que depuis sa troisième année, Constance tentait de faire s’éloigner la jeune fille d’elle il semblerait que cela n’ait formé que le contraire. Amélia Bradlow revenait toujours vers elle en prétextant : « Tout ce dont tu m’envoie, ceux sont des signaux de détresse. » TT. Comment voulez-vous alors vous débarrasser gentiment d’une personne qui vous assure qu’on ne peut être « sans ami ». De fil en aiguille chacune y trouva une réponse : Amélia comprit que Constance ne voulait pas être sans ami mais ne trouvait aucun intérêt à se mêler aux personnes ayant une conscience trop élevé de leurs personnes et avait trop peur d’être déçue pour s’approcher des autres. Quand à Constance, elle apprit tout simplement qu’il ne servait à rien que d’éloigner au loin les personnes qui tentaient de vous approcher. Bien qu’elle eut du mal. L’expérience peut-être. Bah, tout ceci n’a aucune importance aujourd’hui. Enfin, il s’agit de souvenirs.

Finalement, les deux jeunes filles dont la relation pourrait se qualifier d’ « amitié », bien que l’une d’entre elle rechigne à entendre ce mot, commencèrent à marcher dans les différents couloirs en tentant de s’éloigner des zones bruyantes et trop encombrées tout comme elles évitaient les endroits trop isolés et sombres. Ainsi, les deux s’accordaient au mieux. C’est ainsi que leurs pas les menèrent au sixième étage du château. Tandis que la jeune blonde tentait une fois de plus de l’entrainer dans un ballet aérien où Constance n’aurait pas tenu plus de cinq secondes – en grande partie dû à une peur croissante- quelque chose cloua le bec à la jeune fille. Une mélodie. Une douce mélodie qui pourtant ne semblait pas mélancolique ou triste. Le regard fixe, Constance laissa ses oreilles apprécier le morceau alors que son amie se dirigeait déjà vers la porte de la salle de répétition.


|C| « Je ne pense pas que la personne ne veuille… »

Etre dérangé. Trop tard. Constance n’eut pas le temps de finir sa phrase que son amie avait déjà ouvert la porte afin d’apercevoir le spectacle d’un peu plus près. La regardant tenir la porte, elle ne mit pas plus de trois secondes à comprendre qu’elle attendait fermement mais silencieusement qu’elle ne rentre à son tour. C’est alors que la mélodie ne s’acheva.

|A| « C’était très beau ! » Léger silence. « Vraiment. Tu dois avoir un don pour la musique. Tu ne trouves pas Constance ? »

Pour toute réponse, la brune hocha la tête de façon affirmative. Rien de plus, rien de moins. Aucun son, aucune parole ou sourire. Souvenirs. Cela faisait longtemps que Constance n’avait pas entendu les douces notes d’un piano retentir jusqu’à ses oreilles. Depuis quand ? Six voire sept ans. C’était à croire que désormais, elle fuyait cette mélodie qui retentissait entre quelques cordes afin de se perdre dans l’étendue d’une pièce et au-delà.

|A| « Oh allez, tu pourrais au moins avouer qu’elle joue avec talent et qu’elle t’a impressionné. » Léger coup de coude d’Amélia contre le bras raide de Constance qui tenait son livre. Un grand sourire amusé se teinta sur les lèvres de la bonde de sixième année lorsqu’elle croisa les deux iris bleutés irrités de son amie. « Excuses-la. La timidité, tu sais… L’un des plus grands fléaux que l’on puisse rencontrer par moment. On ne le dirait pas comme cela mais, » Amélia se mit à réfléchir à la tournure de sa phrase tout en avançant un peu plus dans la pièce en direction de la petite. « C’est une humaine comme nous tous malgré tout. A croire que les gobelins de Sainte-Croix sont venus un soir lui arracher toute sensibilité apparente pour la faire cuire dans un grand chaudron de bronze aux lueurs de la pleine lune. Ce qui leurs permirent ensuite de pouvoir créer un semblant d’élixir de vie qui en réalité leur fit pousser une barbe blanche bien plus vite. » Finit-elle en s’accoudant au rebord du piano avec un sourire éclatant sur les lèvres et des yeux pétillants.

Zbam. Et voilà, Amélia était reparti. Toujours avec ses légendes farfelues du monde magique. Etant née de parents sorciers, mais pas pour autant de sang pur, elle était capable de vous ressortir au moins trente légendes magiques concernant les îles écossaises au Nord de l’Angleterre. Une mine insatiable lorsque les heures de veilles arrivaient. Insatiable… mais malheureusement amusante. Amélia avait un petit quelque chose qui faisait que malgré que ses histoires aient le don de faire rouler des yeux et soupirer Constance, elle ne pouvait qu’être amusée par ce qu’elle racontait. Et c’était pour cela d’ailleurs qu’elle arborait toujours un sourire éclatant qu’on aurait envie de lui faire avaler lorsque la fierté en ait touché. Cependant, aujourd’hui, ce n’était pas envers Constance que cette réflexion était tournée. Non, plutôt envers cette petite qui venait de laisser son existence prendre une autre tournure durant l’espace de quelques instants : celle d’une liberté abstraite mais apaisante. Peut-être cherchait-elle à la mettre en confiance. Oui, sûrement connaissant Amélia.
Contre toute attente, Constance ne s’enfuit pas de la pièce. Non, elle préféra plutôt se rapprochée à bonne distance en suivant la trajectoire du piano mais veillant à ne pas l’approcher de trop près. Elle aurait très bien pu étendre sa main qu’elle n’aurait pu y faire glisser un doigt, mise à part dans le vide.


|C| « Comment as-tu nommé ce morceau ? »
|A| « Oh merci Merlin tout Puissant, elle parle. »

Regard noir contre regard amusé. Bien entendu, le regard noir perdit face aux yeux pétillants et préféra regarder de quoi était constitué la salle de répétition, avec un sourire mutin sur les lèvres.


{ J'espère que le PNJ d'Amélia Bradlow ne te dérangera pas. J'étais inspirée ^^'. Bisou }
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MessageSujet: Re: Sur un air de piano... [Constance Rosenlow]   Sur un air de piano... [Constance Rosenlow] Icon_minitime1Jeu 4 Oct - 20:55

{Ton PNJ est le bienvenu ! Par contre, je n'ai pas eut le temps de faire plus long. Sorry, Kiss.}

Sugar écoutait les paroles de la jeune fille qui apparemment n'était pas réservée. Elle décrivait son amie comme quelqu'un de tel qui ne voulait pas parler. Sugar ne s'était pas encore retournée vers les deux demoiselles. Elle ne ressentait pas le besoin de monter son doux visage. Elle était à la fois présente et absente. C'était un peu son rôle familial d'ailleurs. Ecouter les problèmes d'Artemis, son grand frère, ne pas en parler à qui que ce soit, faire sourire Belinda et donner des bisous et des calins à Nea. En réalité son seul bonheur était celui des autres. Elle ne vivait que pour cela. Comme une fée sur son passage, les gens devenaient heureux et s'aimaient bien entre eux. Et là Sugar le ressentait plus fort que jamais. Il s'avérait que ces deux personnes devaient fortement s'apprécier pour que l'une d'elle parle ainsi.

|A| « Oh allez, tu pourrais au moins avouer qu’elle joue avec talent et qu’elle t’a impressionné. (Un eptit temps.) Excuses-la. La timidité, tu sais… L’un des plus grands fléaux que l’on puisse rencontrer par moment. On ne le dirait pas comme cela mais... C’est une humaine comme nous tous malgré tout. A croire que les gobelins de Sainte-Croix sont venus un soir lui arracher toute sensibilité apparente pour la faire cuire dans un grand chaudron de bronze aux lueurs de la pleine lune. Ce qui leurs permirent ensuite de pouvoir créer un semblant d’élixir de vie qui en réalité leur fit pousser une barbe blanche bien plus vite. »

Grand, même énorme sourire de Sugar. Plus aucun doute : ces deux-là doivent vraiment s'adorer ! Elle en sait quelque chose la petite des gens qui s'aiment... C'est ce genre de situations qui peuvent paraître insinifiantes pour chacun mais qui sont en réalité très importantes pour la petite Sugar.

|C| « Comment as-tu nommé ce morceau ? »
|A| « Oh merci Merlin tout Puissant, elle parle. »


Et voilà, c'est reparti pour un tour. Car Sugar sentait aussi les sentiments de l'autre fille, celle qui venait à peine de parler. Elle avait une voix sérieuse mais agréable. Sugar était néanmoins surprise. Peu de gens lui posait des questions. Ils venaient surtout la voir parce qu'ils avaient les plus gros malheurs du monde, Suagr toujours très gentille et compréhensive les écoutait et les conseillait puis ils partaient comme ils étaient venus sans un « merci » ou un « et toi, ça va ? ». Il en était ainsi. Elle se retourna donc vers Constance dont elle ne connaissait pas le prénom et lui afficha son plus beau sourire, le plus éclatant. Elle lui répondit tellement heureuse qu'on lui pose une question :

Little Rose - « Ce morceau se nomme My love, so sweet... Mais il n'a aucun destinataire. Pas encore...»

Mais Sugar se devait de poser des questions... Par quoi commencer ? Son prénom et son nom leur parlerait forcément... Vu les frères et la soeur qu'elle avait... -_-' Enfin, on ne choisit pas sa famille. Sugar se mordit la lèvre inferieure. Puis elle reprit la parole :

Little Rose - « Moi, je m'appelle Suagr Merediana Alice Hurricane. Et oui ! Je suis bien la petite soeur d'Arty et Nea ! »

La jeune fille pencha la tête sur le côté, sourit gentiment. C'était un « Et oui ! » très fier car elle était fière d'être leur petite protégée, leur Little Rose.
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MessageSujet: Re: Sur un air de piano... [Constance Rosenlow]   Sur un air de piano... [Constance Rosenlow] Icon_minitime1

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