Impero :: The damned Souls
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 Constance Rosenlow

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MessageSujet: Constance Rosenlow   Constance Rosenlow Icon_minitime1Ven 21 Sep - 23:41

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Je ne suis pas la beauté incontestable de la déesse Isis. Et encore moins le savoir immense que pouvait posséder Chronos. Quoique. Ce dernier à bien était décimé par les siens car sa cervelle semblait vouloir lui jouer défaut par instants. De longs instants. A semer le vent, On récolte la tempête. Vous ne pouvez pas savoir comme ce dicton peut se révéler véridique.


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Marchant aux côtés de son père, main dans la main, Constance ne comprenait pas pourquoi le maitre d’école ne la croyait pas et pire : la traitait de menteuse. Elle n’était pas une menteuse. Elle reniait le mensonge. C’était peut-être pour cela qu’elle était franche. A moins qu’il ne s’agisse de la franchise de l’enfance ? Quoiqu’il en soit, elle voyait bien le concierge de l’école qui veillait sur les enfants lors des récréations ainsi que sur le vieux clocher. D’un air mutin, elle regardait autour d’elle mais ne voyait aucune trace du dit-fantôme. Celui-ci avait dû partir frotter la cloche en étain afin que cette dernière brille de son meilleur feu. Car oui, le concierge de l’école était mort il y a de cela plus de dix, d’une crise cardiaque alors qu’il nettoyait la grosse cloche. Mais ce qualificatif de mensonge envers sa personne l’asphyxiait de l’intérieur et lui faisait monter les larmes aux yeux. Le mensonge, c’était pour les vilains. Or, elle n’était pas une vilaine. Si ? Une vision bien catégorique pour une enfant. Mais voilà le hic : Constance n’était alors qu’une enfant. Chez les enfants, il y a le noir et le blanc mais jamais les deux ne peuvent se mélanger entre eux.

- « Papa, pourquoi la maitresse m’a-t-elle traitée de menteuse ? Je ne suis pas une menteuse, hein ? C’est un parjure que de mentir. »

S’arrêtant de traverser la cour afin de rejoindre leur automobile, Monsieur Rosenlow regarda quelques instants les alentours silencieusement et finit par s’accroupir au niveau de son enfant. L’une de ses mains approcha des boucles claires de la petite et il finit de la déplier afin de mieux la lisser. Les cheveux de Constance pouvaient être assez indisciplinés par moment. Cependant, l’homme ne répondit pas tout de suite. Au contraire, il semblait chercher ses mots tout en se rassurant sur l’inexistence d’oreilles indiscrètes.

- « Non, tu n’es pas une menteuse ma puce. Cependant, il y a des choses… que l’on ne doit pas dire. Tu comprends ? »
- « Non ! » Que pouvait-il y avoir de plus franc qu’un enfant de huit ans.
- « Et bien vois-tu… personne ne doit être au courant du fait que tu possèdes… la capacité de voir ou de faire certaines choses. »
- « Mais pourquoi ? Je ne fais rien de mal. »
- « Non, tu ne fais rien de mal. Cependant, certaines personnes ne comprennent pas ce dont ils n’ont pas la capacité de voir. Comme… la magie et les spectres. »
- « Mais toi papa, tu ne les vois pas mais tu dis qu’ils existent aussi. Tu me crois toi. Alors pourquoi pas eux ? »
- « Peut-être parce qu’ils ne sont pas mariés à une sorcière. » Léger sourire.

Complètement perdue dans cette réflexion sur le fait que ses parents lui disaient une fois de plus de garder ce secret, la petite reprit la main de son père afin de continuer leur chemin jusqu’à l’automobile. Aux portes de la grille, Constance reconnut alors l’halo grisâtre et transparent du vieux concierge.


- « Bonsoir, Monsieur Arty. A demain. »
Se tournant vers son père, elle reconnut alors le regard courroucé de celui-ci sur elle. Que venait-elle donc de faire de mal de nouveau. Elle avait juste était polie, comme on le lui avait toujours appris. Une moue d’incompréhension se peignit alors sur les lèvres de la petite.

- « Ben qu’est-ce qu’il y a papa ? Tu m’as toujours dis qu’il fallait être poli et dire bonjour et bonsoir aux gens. »
Une main sur le visage, Monsieur Rosenlow ne sût s’il émit un soupir agacé ou alors un rire muet. Allez savoir. Néanmoins, l’automobile démarra en direction du petit cottage de cette famille.

Une demi-heure plus tard, ils arrivèrent enfin chez eux. Ici, Constance se sentait un peu mieux. Ce n’était pas qu’elle n’appréciait pas la ville et ses habitants mais elle devait constamment faire attention à ce qu’elle disait sous peine de se faire traiter une énième fois de menteuse – ce qu’elle ne supportait pas- ou alors de petite rêveuse. Pourquoi donc la majorité de la population londonienne ne la comprenait-il pas ? Sa maman lui avait pourtant montré qu’elles n’étaient pas toutes seules à posséder des pouvoirs hors-normes appelés pouvoirs magiques. Bien entendu, Madame Rosenlow savait beaucoup mieux s’en servir et donc possédait l’une de ses longues baguettes en bois. Constance, elle, n’avait encore aucune idée précise en la matière. Tout ce qu’elle savait c’est qu’elle pouvait voir les fantômes. La première fois qu’elle en vu un fut lors de l’enterrement de l’ongle Georges. Dans un cimetière, cela parait évident d’en voir quelques-uns. Prise de panique, elle s’était réfugiée dans les jupes de sa tendre mère en larmes et en lui racontant tout entre deux sanglots de peur. Elle avait alors six ans passés. Ce fut ce jour-là, où elle comprit que le monde se scindait en deux : la magie et la non-magie. Mais, même si la petite la comprenait cette vision, elle n’arrivait pas à l’admettre. Elle était surement encore trop jeune. Entrant dans sa chambre, elle laissa glisser son cartable sous son bureau, à la place où elle le rangeait toujours. Déjà à cet âge, Constance aimait le propre et le rangement. Qui pouvait savoir que cela ne s’arrangerait pas avec le temps. Maniaque ? Si peu. S’asseyant sur son siège avant d’ouvrir son cahier d’école, la porte de sa chambre s’ouvrit de nouveau.


|Derek| « Alors petit monstre. J’ai entendu papa dire que tu avais remis çà ? »

Petit monstre. Son frère, de deux ans son ainé, savait-il à quel point ce surnom la peinait ? Surement pas, sinon il ne l’utiliserait pas. Non ? Se berner derrière ses illusions. Cela pouvait parfois être une bouée de secours. En réalité, si Derek appelait Constance ainsi, c’était tout simplement parce que lui ne possédait aucune flamme, ni aucun potentiel de magie. Il aurait pourtant aimé pouvoir à son tour détenir une baguette et faire ainsi le moindre de ses désirs avec. Cependant, Merlin avait dû se prédestiné à éviter cette éventualité en vue des catastrophes que cela aurait pu engendrer. Mais c’était peut-être ce manque que le frère reprochait à sa sœur. Après tout, pourquoi la petite dernière la détiendrait et non lui ? Si jaloux à un âge si jeune. Que de gâchis. Blessée par les paroles de son frère et parce qu’elle savait également qu’elle était en partie en tort dans cette histoire, elle abaissa la tête tout en ouvrant son cahier en retenant ses larmes.

|Derek| « Et bien… Tu restes muette ? Pourtant tu ne l’étais pas tout à l’heure. En parlant toute seule. Après tout, c’est ce qui arrive aux idiots qui croit aux amis imaginaires. »
|Constance| « Je ne suis pas idiote. Et je ne parlais pas toute seule. » Puis plus faiblement « Monsieur Arty était là. »

Rouge face au sens de la phrase de son frère, la petite n’avait pû s’empêcher de rétorquer. Sa mère lui disait pourtant souvent qu’il fallait mieux ignorer les remarques désobligeantes de son frère mais elle n’y arrivait pas. Elle l’aimait et Lui la haïssait. C’était à cause de lui qu’elle se retranchait… mais également parce qu’elle ne pouvait discourir avec personne qui ne pouvait la comprendre. Il y a un an si. Un enfant de sorciers se trouvait dans le voisinage jusqu’à ce qu’il ne déménage cinq mois plus tard ses parents divorçant. Voulant encore plus énerver sa petite sœur, Derek s’assit sur son bureau face à elle. Prenant son cahier entre ses mains, il l’empêchait ainsi de se retrancher ailleurs, la forçant à l’affronter de face. Mais Constance ne voulait pas. Surement parce qu’elle était alors trop faible, préférant fuir la situation en se concentrant sur autre chose. Cependant, ne gardant guère son équilibre, Derek ne pût se retenir qu’à la lampe posait sur le bureau en bois de chêne et tomba à la renverse sur la moquette entrainant avec lui, cahiers, livres et la lampe dans sa chute. Le vacarme attirant les parents qui entrèrent en trombe quelques secondes plus tard dans la chambre, s’arrêtèrent stupéfaits sur le pas de la porte. Derek était au sol, entortillait dans le fil électrique qui servait à éclairer la lampe, un ou deux livres sur l’estomac et autant autour de lui. Derrière le bureau se trouvait alors Constance qui ne savait si elle devait sourire face à la tournure de la situation ou alors souffrir pour son frère. Aussi étonnant soit-il, ce fut le sourire qui fut vainqueur. Après tout, ne l’avait-il donc pas cherché ? Constance n’aimait pas avoir ses pensées négatives en elle mais elle ne pouvait pas faire autrement car ses images mentales s’invitaient d’elles-mêmes en son subconscient.

- « Mais enfin, qu’est-ce qui s’est passé ? Derek, tu ne t’ais pas fais mal ? »
- « C’est elle maman. C’est Constance. Elle a abusé de sa magie. Elle m’a fait tomber exprès. Mamannn, j’ai mal. » Pleurnichant dans les bras de sa mère qui venait de s’accroupir à ses côtés, Derek pointait un doigt accusateur envers sa sœur. Or, le sourire qu’elle avait affiché plus tôt ne pouvait la discréditer auprès de ses parents.

- « Constance Elisabeth Rosenlow ! »

Ca, c’était mauvais pour la petite. Très mauvais. Sa bouche s’ouvrait et se refermait tel un poisson hors de l’eau mais aucun son n’en sortait. Comme si ceux-ci avaient peur sur le coup de sortir afin de se confronter aux accusations dont elle ne savait se défendre mise à part qu’elle n’était pas fautive. Mais ce n’était pas assez.
Néanmoins, les conséquences ne tardèrent pas à tomber. Privée de télévision, de sorties et de toutes autres distractions enfantines, Constance n’avait plus que ses cours et le livre de conte magiques qu’elle avait caché au fond de son lit lorsqu’elle le faisait le matin, le tout étant recouvert par ses peluches. Cependant, la punition ne s’arrêta guère en si bon chemin. Cela aurait été trop beau. Durant les vacances d’été qui arriveraient d’ici un bon mois, Constance se verrait envoyé chez ses grands-parents maternelles… et ainsi jusqu’à ses onze ans. La vie était parfois injuste et venait de prouver que ce n’était pas les plus honnêtes qui gagnaient à tous les coups. Là-bas, elle s’enfermait tous les matins dans la vieille bibliothèque qui offrait la seule distraction de la journée. Les après-midi, elle accompagnait ses grands-parents en déplacements ou alors elle allait aider sa grand-mère dans le jardinet, rêvassant entre deux fleurs rabotées. D’où un ravissement plus tard envers la Botanique. Comme quoi : les punitions peuvent parfois servir.
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MessageSujet: Re: Constance Rosenlow   Constance Rosenlow Icon_minitime1Ven 21 Sep - 23:51

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"Je ne suis pas un homme. Je suis un roi. Le roi de l'illusion."


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- « Non. Papa, non. »

Tombant à genoux sur le sol caillouteux et boueux, une jeune fille de douze ans passés ne put retenir les larmes qui perlaient sur ses joues. Pourquoi cela devait-il se terminer ainsi ? Pourquoi ? Elle ne le voulait pas. Elle ne pouvait pas le supporter. Pourquoi. Papa, pourquoi te sens-tu obliger de protéger ta fille en la faisant souffrir ? Il y a tellement de choses illusoires en ce monde qu’on sait plus où se trouve la limite entre le bien et le mal. Le possible et l’impossible. Le réel et l’irréel. Mais pourquoi le lui enlever pour toujours ? Une vie peut paraître si longue. Si insoutenable lorsque l’on perd les siens, si proches à nos cœurs. Papa, arrête. Ne fait pas cela. Je t’en supplie. Mais voilà, par fierté ou orgueil – bien que les deux se rejoignent- Constance était incapable de prononcer ses mots. Elle était incapable de supplier son père et ainsi s’abattre sous son influence. Il était un Moldu. Un pur moldu. Il ne pouvait pas la comprendre. D’ailleurs, il ne l’avait jamais comprise. Il n’avait peut-être pas tenté. Peut-être lui en voulait-il ? Mais pourquoi donc ? Parce que sa femme l’avait quitté ? Parce que la mère de Derek et Constance refusait de le voir de nouveau. Mais… Eux, ils n’y étaient pour rien, non ? Le pire étant peut-être qu’elle était partie avec un sorcier… et non un moldu, comme lui. C’est alors que Derek et son père en vinrent à détester la magie. Mais Constance faisait partie de ce monde également. Est-ce qu’ils la haïssaient donc ? Derek ne l’avait jamais aimé. Toujours jalousé pour ce qu’il n’avait pas et ne pouvait comprendre. Mais son père ? Qu’en était-il ?

B.a.n.g. B.a.n.g. Trop tard. La sentence était apparue et tombée sans retour en arrière. Trop tard. Comme si le bruit venait d’être le top départ tant attendu, les sanglots et secousses commencèrent à prendre possession du corps frêle de la petite. Les larmes s’arrêtèrent alors de couler comme si celles-ci se rendirent compte que plus rien ne comptait et que la souffrance serait tout de même présente, ne passant guère au travers des larmes en roulant avec elle jusqu’à terre. Son père passa à ses côtés et laissa sa main traitresse posée contre son épaule qu’il pressa. Cela ne dura que quelques secondes. Quelques secondes où la jeune fille se raidit, se sentant glacée jusqu’à la moelle, comme si une lame glacée inscrivait la vérité sur sa colonne vertébrale. Disparaissant dans la maisonnette, il laissa ses deux enfants entre eux. Derek ne fut pas long à le suivre. Cependant, il s’arrêta quelques instants derrière sa sœur en regardant froidement le cadavre à quelques mètres de là.


|Derek| « C’est normal qu’il ne t’a pas reconnu. Tu n’es jamais à la maison. Tu finiras comme elle. Une moins que rien. »

Une secousse de plus. « Tu n’es jamais à la maison ». Etait-ce donc sa faute si elle avait acceptée de suivre sa formation de sorcière en partant à Poudlard ? Elle aimait sa vie. Mais devait-elle alors la faire disparaître ?! Pour le bien de qui ? Le sien ou alors ceux de sa famille ? Les yeux rivés sur le corps sans vie de celui qui avait été son compagnon durant un an et demi, Constance se refusait alors à vivre douze mois entiers avec ses deux hommes qui étaient les deux hommes de sa vie mais ne semblaient pas la comprendre.

|Derek| « Ne reste pas ici. Tu vas attraper la mort. Tu pourras toujours parler aux morts… comme tu le fais toujours dans ton école de fou. »

Non, Derek ne lui avait toujours pas pardonné. Il était cartésien, elle était rêveuse et sorcière dans l’âme. Les deux ne se combinés pas et pourtant… ils avaient la même chair et le même sang. Mais pourtant, ne venait-il pas de s’inquiéter pour elle ? Non, c’était impossible. Restant seule au beau milieu de ce chemin caillouteux et boueux, Constance essuyait les traces de larmes qui s’étaient incrustées sur ses joues. Brody ne l’avait pas reconnu. C’est pourquoi il l’avait mordu au bras à la faire saigner. Elle en garderait une légère marque. Une fine cicatrice qui ferait plus de mal sur son cœur que là où elle se trouvait. Ne jamais s’attacher. Elle s’était attachée à Scott. Il avait déménagé. Elle s’était attachée à sa mère. Elle avait divorcé. Elle s’était attachée à la pensée que son frère et elle s’entendraient un jour. Il la prenait pour un monstre. Elle aimait son père. Il semblait la fuir tellement elle culminait les points communs avec sa mère. Elle aimait Brody. Il venait de mourir pour sa protection. Elle se dégoutait pour cela. Et dire que sa deuxième année allait débuter. S’appuyant pour la deuxième sur un genou sans glisser cette fois-ci, elle se releva en titubant un peu et se frayant un chemin vers la porte de derrière sans un regard en arrière. C’est à l’âge de douze ans qu’elle commença alors à s’exiler des autres et à se renfermer sur elle-même. Et ainsi jusqu’à ses seize ans. Sa sixième année à Poudlard. Une année qui promettait de changer en quelque sorte.

Certains de ses camarades poudlariens disaient de Constance qu’elle semblait les ignorer délibérément mais également les snober, préférant rester à la bibliothèque plutôt que dans la salle commune. Néanmoins, Constance n’en est pas pour autant snobinarde… disons seulement qu’elle préfère se protéger. Contrairement à ce qu’ils pouvaient prétendre, Constance observe beaucoup ses camarades. Elle est ainsi capable de vous dire qu’Andrew McCainth est toujours amoureux de son ex-petite amie Kaithlin Lenngthon bien qu’il l’est quitté car le bruit courut qu’un matin elle s’était réveillée les mains pleines de sang. Ou alors que Ferdinand Mianster se méfie de ses amis actuels et tente de s’échapper, seul. Mais voilà, quoiqu’il arrive, les portes de l’école restent fermées à double tour. Aucune d’entre elles ne semblent vouloir s’ouvrir. Aucune aide ne pouvait alors être apportée. Une étrange année. Poudlard devient non seulement un lieu d’insécurité totale mais aussi celui des déchirures et des complots afin de faire tomber untel que l’on prend pour le responsable. Dans ses conditions pourquoi lui en voudrait-on ? Pourquoi en voudrait-on à Constance de préférer la compagnie des livres ou alors des fantômes plutôt que des perfides êtres humains qui ne pensent qu’à leur propre survie. Des êtres tellement dénués de sentiments moraux et de complaisance. Dans ses conditions, comment ne peut-on ne pas vouloir rester à l’écart de toutes ses tensions ? Pourquoi n’aurait-elle donc pas le droit à cette partie infime de douceur illusoire et de rêve non partagée ?




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Lucius A. Malefoy
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MessageSujet: Re: Constance Rosenlow   Constance Rosenlow Icon_minitime1Sam 22 Sep - 6:25

Bonjour et bienvenue sur Impero Very Happy,
Je voulais d'abord te dire que ta fiche est sublime et ça a été un véritable plaisir d'en être probablement l'un des premiers lecteurs. Tout est parfaitement fluide et dit ce qu'il y a à dire. Constance a l'air d'une personne qui a du vieillir trop vite, suite à des évènements comme l'incompréhension et la jalousie de son frère aîné vis-à-vis de ses capacités magiques.

Le contact et la relation entre Derek et Constance est vraiment agréable (à lire, on s'entend) et j'ai été agréablement surpris qu'il y ait un tel emphase dessus, mais c'est à travers cela qu'on apprend à connaître et à apprécier ton personnage. Je n'ai pas vu de fautes, du moins, la lecture du texte m'a fait complètement passer le cap de l'observation orthographique. Le passage du début m'a bien plu.

J'ai un petit, tout petit «cependant». Dans la seconde portion de ton texte, tu parles de Brody. Qui est-ce? Mort pour sa protection? Quand, comment, pourquoi? Et son père, d'abord si compréhensif, semble lui en vouloir. Je comprends le lien (il en veut à sa mère, voit probablement celle-ci à travers Constance), mais ce serait encore plus fort si tu l'indiquais indirectement dans ton texte. Deviner, c'est bien, mais quand on a une si belle manière d'écrire, il faut en profiter.

Personnellement, je vois pleinement Constance a
Serdaigle, pour sa passion pour les livres, son savoir, son esprit vif et son honnêteté à tout épreuve. J'attendrai la venue d'un second admin, mais de mon côté, je ne vois rien d'autre à relever sinon le plaisir à venir de lire tes messages.

[Et réserver, un jour, un sujet, quand je réussirai à percer dans les miens xD]

Au plaisir =)
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Fenrir B. Greyback
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MessageSujet: Re: Constance Rosenlow   Constance Rosenlow Icon_minitime1Sam 22 Sep - 11:20

Bienvenue Constance ^^

Lucius va m'en vouloir mais moi je n'ai pas de cependant xD J'ai compris que Brody était son chien et qu'en revenant à la maison, ce dernier l'avait mordue car ne savait plus qui elle était. Et qu'il avait été tué par le père (d'où la pression sur son épaule) pour qu'il n'attaque plus Constance. Je me demande si je me suis trompée ou si c'est juste XD

Personnellement, je trouve la manière de parler du père dans la seconde partie suffisante. Après tout elle reste sa fille, et il continue sûrement à l'aimer, mais cela n'empêche pas que ce soit difficile pour lui de se comporter normalement avec elle. Et comme la narration de l'histoire se fait plus du sens de Constance, je trouve ça plus logique de laisser tel que tu l'as fait. Mais bon, je n'ai sûrement pas l'expérience de notre bon Lucius vu que ça ne fait pas encore un an que je RPGise x)

J'ai remarqué quelques fautes d'orthographe, souvent qui ne se répétaient pas et étaient donc dues à ton rythme soutenu lors de l'écriture, fort probablement. Mais il y a une fautes que tu fais très souvent et que donc je vais souligner ^^ Tu ne mets que des ses alors qu'à bien des moments, l'emploi du ces serait beaucoup plus juste. Ses désigne des choses appartenant à la personne dont on parle, Constance le plus souvent, alors que ces veut dire ces choses là. L'un est possessif et l'autre montre simplement.

Enfin voilà ^^ Sinon je suis d'accord avec Serdaigle et espère aussi te croiser dès que possible en RP ^^ J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous ^^ Très jolie fiche.

J'attends qe tu nous explique clairement pour Brody et, si tu le souhaites, pour le père et je te valide Very Happy
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MessageSujet: Re: Constance Rosenlow   Constance Rosenlow Icon_minitime1Sam 22 Sep - 14:40

Bonjour ^^

Et bien, je ne pensais pas qu'il y aurait autant de polémique autour de Brody (xD). Néanmoins, comme l'a deviné Fenrir, il s'agissait bien du chien des Rosenlow. Un jeune chien qui ne reconnait plus l'un de ses maitres (avec dix mois d'absence) et donc pense bien faire en protégeant les autres. (surtout qu’il est dit – supposition ou véracité à voir- que les animaux peuvent percevoir certaines ondes comparés aux humains. En imaginant donc que la magie opère par ondes, on peut supposer que c’est pour cela que le canin pensait qu’on allait attaquer ses maitres… enfin, c’est peut-être un peu tiré par les cheveux là, je ne sais pas trop =/). Néanmoins, il est dangereux de garder un chien qui mort son enfant jusqu'au sang car ce dernier risque de recommencer par plaisir ou autre... d'où la suite de l'histoire. Mais vu que Constance n'a alors que douze ans, elle ne comprend pas bien le point de vue de son père et en souffre.

Quant au père, j'accorde de nouveau le bon point à Fenrir vu qu'en effet, le divorce se trouve être assez frais dans la vie des Rosenlow et donc le père de la petite a dû mal à s'y faire. Surtout que son ex-femme est partie avec un sorcier, ce que lui n'est pas. Jalousie et envie se mêlent alors envers ce qui ne pourra jamais avoir: des capacités magiques. En ce sens, cela rejoint un peu le caractère de Derek mise à part que le père ne traverse qu'une mauvaise passe dû à son chagrin, vu qu'il pense notamment qu'elle la quitté à cause de sa condition de Moldu. Derek lui en veut à sa sœur pour ce qu’il ne peut avoir en pensant ainsi que la magie est « super chouette » et ne voyant que les bons côtés de celle-ci. Mais, vu qu’il ne peut en bénéficier et seulement en rêver, l’avarice et l’égocentrisme se développe en lui et il en vient à jalouser sa sœur de façon maladive. Néanmoins, comme chez le père, la présence des liens de sang entre eux existe même si elle est très faible chez l’adolescent. Constance est sa sœur mais sa jalousie et son envie sont trop fortes pour qu’il ne reconnaisse qu’il l’aime comme tel. Il préfère alors jouer au jeu du chat et la souris en allant passer ses nerfs sur elle ou alors tout simplement profaner des paroles blessantes… sans forcément penser à mal.

Pour les fautes d’orthographe, j’avoue. J’ai toujours eu du mal avec cette règle-ci TT. Or, il s’agit d’une règle que Word ne corrige pas, méchant programme qu’il est. Je relirai donc deux fois mes textes afin de voir si cette ânerie ne se glisse pas entre les lignes. Wink … Et tenter de la corriger pour toujours. ^^

Je pense avoir répondu à toutes les questions. Non ? Dans tous les cas, cela ne me dérange pas d’y répondre afin d’éclaircir quelques points Very Happy (je m’emmêle parfois les pinceaux dedans ce qui alors n’est plus très clair =/).

A si, Merci à vous deux pour les compliments sur la fiche. C’est gentil de votre part. (Surtout que je ne pense pas écrire aussi bien que l’on me le dit mais bon… Tous les Rpistes sont pareils =D) Et ainsi – vu que j’aime bien faire souffrir mes personnages dans des situations que l’on trouve rarement dans l’IRL ou alors qu’on ne souhaite pas voir, méchante Rpiste que je suis xD- à bientôt dans un Rp. Surtout que vous allez la traumatiser la pauvre. Laughing
Ainsi, comme Lucius disait, Au plaisir =D
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Lucius A. Malefoy
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MessageSujet: Re: Constance Rosenlow   Constance Rosenlow Icon_minitime1Sam 22 Sep - 16:19

Bon, désolé de mon manque au niveau compréhension, mais j'ai beaucoup apprécié les clarifications (on a pas tous la lucidité d'esprit de Fenfen xD).

Personnellement, tout me va, et pour les ses/ces, je n'avais même pas remarquer. Heureusement que je ne suis pas le seul admin ici, je ne remarque jamais grand chose ^^. Je dois trop me concentrer à la lecture d'une fiche pour voir autour. Enfin, voilà, à nouveau un bon merci pour ce que tu as dit, et en espérant que ça ne me descende pas trop d'avoir du te causer un petit surplus de travail.

Je laisse donc le plaisir à Fenrir de te valider, et bon jeu =)

NB.: Nan, je t'en veux pas mon petit loup Razz
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MessageSujet: Re: Constance Rosenlow   Constance Rosenlow Icon_minitime1

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