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| Rose Devaney [Terminée] | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Rose Devaney [Terminée] Ven 14 Sep - 20:12 | |
| Votre personnage
Nom/Prénom ::
Devaney, Rose Margaret
Surnom ::
Rosie, « Blubber »
Âge/ Jour de naissance ::
14 Avril, 15 ans
Maison souhaitée::
Rose aurait aimé Gryffondor (pour faire comme tous ces gens cool) ou à Serpentard (pour être rebelle et encore plus cool), mais la joueuse penche plutôt pour Poufsouffle.
Origine/Statut social et lieu d’habitation ::
D’origine Anglaise, Rose a grandit à Whitechapel, dans les faubourgs Londoniens. Ses parents habitaient le dernier étage d’une ancienne épicerie du 19ème siècle. Depuis ses six ans, elle y habite seul avec son père et leur chat de gouttière, Jack.
Sang ::
Mêlé. L’arrière arrière-grand-mère paternelle de Rose était sorcière. Depuis tout ce temps, la jeune fille est la première personne chez qui ce « don » (ou cette tare, c’est selon) resurgit.
Baguette ::
Bois de cerisier avec crin de Centaure, 29,8 cm, seconde main.
Année d’étude ::
5 ème
***
Description physique
Depuis toute petite, Rose est blonde, très blonde, et sa peau très blanche supporte assez mal le soleil. Pourtant, même lorsqu’elle reste à l’ombre, la jeune fille a tendance à rougir dès que quelqu’un – professeur ou élève – pose les yeux sur elle. Rose porte ses cheveux très longs. Depuis le départ de sa mère, peu après son sixième anniversaire, elle ne les a jamais coupé. Entre temps, ils lui vont jusqu’à la taille, si bien qu’elle perd au moins vingt minutes pour les démêler et les tresser chaque matin – ce qui la fait arriver en retard au cour assez souvent. C’est entre autre pour cette raison que Rose porte sa masse de cheveux ouverts la plupart du temps, ce qui lui permet également de cacher son visage rond et ses yeux d’un bleu légèrement délavé – myosotis, comme dit son père d’une manière un peu plus romatique.
Comme toutes les ados de son age, Rose aime la mode. Malheureusement, son père ne gagne pas assez d’argent pour lui permettre de la suivre. Aussi, sa silhouette rondouillarde ne s’y prête pas vraiment. C’est pour cela qu’elle se balade avec des habits seconde main, de préférence larges et de couleur foncée, pour passer inaperçue. Or, contrairement à ce qu’elle espérait, cela ne marche pas…à croire que le fait de ne pas porter des petits tops dernière mode fait le même effet que d’être plongée dans un pot de peinture rose fluo. Bref, tout le monde vous remarque… Pour ne pas donner aux autres une raison supplémentaire pour l’interpeller, Rose regarde rarement quelqu’un d’autre en face. Elle est toujours la première à baisser les yeux.
Signe distinctif ::
Rose porte ni piercings, ni tatouages, (non seulement qu’elle ne dépenserait jamais d’argent pour ça, mais son père la hacherait menue si elle revenait avec ce genre de décoration corporelle) mais elle a les oreilles percées. A première vue, Rose ne possède aucun signe distinctif (elle se donne d’ailleurs une peine folle pour que cela ne change surtout pas), mais l’observateur assidu constatera qu’elle a tendance à se ronger les ongles sous l’effet du stress et a tortiller toujours la même mèche de cheveux autour de son index lorsqu’elle réfléchit.
Ce qui distingue Rose avant tout est sa manière de se tenir toujours en retrait. Au fil des ans, elle est devenue maîtresse dans l’art de ne pas se faire remarquer…à croire qu’elle a pu développer des pouvoirs de caméléon pour se fondre dans un mur.
***
Caractère
Depuis toute petite, Rose est extrêmement timide, et ses premières années dans une école moldue n’ont pas vraiment arrangé les choses. En présence de personnes qu’elle ne connaît pas ou très peu, Rose préfère le silence à la parole et l’écoute à l’action – ce qui ne veut pas dire qu’elle ne sait pas se faire son propre avis sur les choses et les gens qui l’entourent. Sa règle d’or est celle que toutes les choses ne sont pas bonnes à dire, et comme elle considère qu’il y a que de très rares bonne choses à dire, elle ne parle pas beaucoup, ce qui ne lui facilite pas vraiment le contact avec les autres.
En classe, Rose aime s’asseoir dans les derniers rangs – tant pis si elle doit tendre le cou pour pouvoir lire au tableau – au moins, dos au mur, personne ne pourra lui lancer des boulettes en papier. D’ailleurs, Rose semble avoir une patience sans limites, du moins lorsqu’il s’agit d’encaisser des commentaires blessants. Elle-même ne sait pas vraiment si elle est capable de rancune, car elle n’a pas encore eu l’occasion de se trouver en position de force face à quelqu’un qui s’est montré vindicatif vis-à-vis d’elle.
Pourtant, contrairement à ce que son attitude première pourrait laisser croire, Rose est capable de se faire des amis et, dans ces cas-là, elle est d’une fidélité peu commune. Loin d’être casse-cou, Rose serait pourtant prête à prendre (presque) tout les risque pour venir en aide à quelqu’un qui « en vaut la peine ». D’ailleurs, elle garde un souvenir mémorable du jour où les pompiers ont du la redescendre du toit de sa maison, sur lequel elle était montée pour tenter de sauver son matou Jack, qui n’arrivait plus à redescendre et miaulait misérablement. Rose n’avait jamais vu son père aussi furieux et pourtant, une fois revenue sur la terre ferme avec son chat entre ses bras, elle avait réalisé qu’elle ne regrettait absolument rien.
Au fil des ans, Rose a réalisé qu’elle possédait un trait de caractère qui lui rendait la vie difficile : la curiosité. Elle ne peut s’empêcher d’écouter, de regarder et de tenter de résoudre tous les petits mystères du quotidien. Or, comme la curiosité aurait tendance à la pousser à mettre son nez dans les affaires des autres, Rose cherche sans cesse de nouvelles manières d’éviter cela. Elle en a finalement trouvé une qu s’est avérée assez efficace : les bouquins policiers des auteurs moldus.
Ce qu’il aime, ses passions
Au risque de paraître ridicule lorsqu’on lui demande ses passions, Rose aime les sucreries. Difficile pourtant de l’admettre aussi facilement, bien que cette passion ne se borne pas à la simple dégustation : adorant tout ce qui est bon, Rose a appris très tôt à cuisiner avec peu de moyens et pourrait presque être engagée comme elfe de maison. Elle est d’ailleurs toujours très fière de ses pâtisseries, qui commencent à se forger une réputation dans son quartier et qui lui permettent de gagner un peu d’argent de poche en plus. Rose sait bien que la vie serait peut-être plus facile si elle perdait quelques kilos, mais contrairement aux gens qui l’entourent, un doughnut ou un brownie ne lui font jamais de commentaires…et c’est pour cela que Rose les aime autant.
Juste après les pâtisseries et la cuisine en général viennent les romans policiers. Alors que ses camarades craquent pour le dernier chanteur à la mode, Rose a comme idole Sherlock Holmes et souhaiterait pouvoir se marier avec Hercule Poirot. Rien ne la passionne autant que de fermer le livre et de tenter de résoudre l’enquête avant tout le monde. D’ailleurs, elle suit avec intérêt les affaires en cours dans les journaux. Vivant dans l’ancien quartier de Jack l’Eventreur, Rose tente de résoudre cette énigme depuis son enfance. C’est d’ailleurs son père, guide touristique dans le quartier, qui lui a donné le goût des énigmes. Ensemble, ils en sont arrivés à la conclusion que le tueur ne pouvait être qu’un proche de la reine Victoria et que tout cela cachait un complot d’une importance nationale…qu’ils finiraient tôt ou tard par découvrir.
Cet amour pour les romans policier et les enquêtes lui ont appris comment ne plus se contenter de regarder, mais d’apprendre à voir véritablement. Rose sait aperçevoir LE petit détail auquel personne n’aurait fait attention et, souvent assise seule dans un coin, elle se passe le temps à regarder ses camarades: celui-ci regarde toujours vers la gauche lorsqu’un prof annonce une interrogation surprise et cherche un volontaire, celle-ci croise toujours les jambes sous la table, sa voisine ne cesse d’observer le blondinet du premier rang…A défaut de bien connaître les personnes, Rose voit la plupart de ses camarades comme un amalgame fascinant de petits détails, de manies et de tics. D’ailleurs, elle saura également vous dire qu’il manque le majeur à l’armure du troisième étage, que les dorures craquelées de tel ou tel cadre sont couvertes de poussière blanche et que le soleil dessine des ombres en forme de cavaliers à telle heure sur tel plafond.
Ce qu’il n’aime pas, ses peurs
Contrairement à bien des filles de son âge, Rose n’aime pas être le centre d’attention, ce genre de situation s’étant souvient fini par un désastre. Elle n’aime pas qu’on la regarde et que l’on chuchote derrière son dos, si bien que tout chuchotement lui parait suspect, lui donnant sans cesse l’impression que la personne se moque d’elle. Sa plus grande peur est l’humiliation publique, en particulier devant une classe ricanante. Dans ses pires cauchemars, elle se retrouve devant une classe à tenter de se rappeler une leçon qu’elle n’a jamais étudiée, et tout cela sous l’œil sévère d’un professeur.
Sa passion pour les pâtisseries ayant laissé quelque traces sur ses hanches, Rose n’est pas une fille très sportive et n’aime ni la course, ne la grimpe, ni le vol sur un balais. D’ailleurs, la jeune fille a peur du vide et donnerai cher pour ne devoir participer au cours de vol. Pour elle, un balai est fait en premier lieu pour balayer la cuisine et non pour s’asseoir dessus et voler dans les airs. D’ailleurs, elle aime à croire à la légende qu’un jour, un jeune sorcier se serait posé devant Poudlard au volant d’une voiture volante. Une voiture volante…voila quelque qui lui conviendrait bien mieux, mais malgré tous ces efforts, Rose n’a jamais réussi à faire voler la carcasse rouillée de la vielle PicPic modèle 1919 appartenant à son père.
Les attitudes que Rose déteste sont les moqueries et la méchanceté gratuite. D’ailleurs, il lui arrive d’élever la voix (comprenez : de passer au stade du murmure à celui d’une injonction timide) lorsque les autres élèves se moquent des cuisiniers, des fantômes et des elfes de maison. La nourriture et la propreté des lieux sont des choses sacrés pour Rose, étant donné qu’elle a adopté ces tâches lorsque sa mère est partie.
Signe particulier
A première vue, Rose ne possède pas de signes particuliers. Depuis qu’elle se sait sorcière, elle rêve de pouvoir se transformer en mouette pour aller où elle veut – avant de se souvenir de sa peur du vide.
Pourtant, à force d’ouvrir grands les yeux et d’observer le monde autour d’elle, Rose a développé une capacité que certains confondent avec un don de clairvoyance : grâce à un détail insignifiant, Rose est capable de reconstituer certains faits et d’émettre des théories qui se sont assez souvent avérées exactes. S’agit-il pour autant d’un véritable don de clairvoyance ou juste de la réaction d’une enfant trop seule qui s’est développée en une capacité accrue d’observation ? – De cela, Rose n’en sait rien, mais connaissant sa chance habituelle, elle pencherait pour la seconde explication. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Rose Devaney [Terminée] Ven 14 Sep - 20:14 | |
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Histoire
Rose est née à Londres, dans le quartier de Whitechapel. A première vue, une enfant tout à fait normale avec des parents tout à faits normaux – du moins d’un point de vue moldu. Son père, Richard Devaney, a grandis dans le quartier et a repris le métier qu’exerçait déjà son grand-père : guide touristique. Tous les jours à 10:00, 14:00 et 21:00 (Ronde de nuit spécial frisson), le père de Rose guidait des touristes du monde entier à travers le quartier en leur racontant la pénible vie des immigrés du 19ème siècle et la sombre histoire de Jack l’Eventreur. Shelly, la mère de Rose, avait connu une carrière médiocre en chantant quelques petits rôles dans des comédies musicales, avant d’arrêter la chanson suite à la naissance de sa fille. Se voyant elle-même comme une artiste née, Shelly Devaney se sentait presque obligée de faire au moins une crise de nerfs par semaine, pour finir en larmes dans les bras de son mari. Jack (d’après l’Eventreur, bien entendu), un matou entièrement noir repêché un beau matin dans un tonneau sous une gouttière, complétait la petite famille.
Tout ce petit monde vivant au dernier étage d’une ancienne épicerie datant du 19ème siècle, si bien que Rose passa longtemps à renifler chaque recoin à la recherche d’une odeur que le temps y aurait oublié. Elle passa dans ce quartier une petite enfance presque comme les autres, bercée par les contes et les anecdotes de son père et l’émotivité de sa mère.
Les choses prirent un tournant inattendu lorsque Rose eut six ans : un soir, sa mère rentra dans un état encore plus étrange que d’ordinaire. En rentant des commissions, elle avait croisé une vieille connaissance de ses années au Music-hall, et en une horrible seconde, elle venait de se rendre compte qu’elle avait sacrifié sa carrière pour une vie qui ne lui permettait pas de se réaliser entant qu’artiste. Le même soir, elle quitta la maison avec deux valises et le paquet de cigarettes de son mari, bien décidée à « reprendre sa vie en main ». Au début, père et fille crurent à une nouvelle crise existentielle de l’émotive Shelly, mais lorsque les papiers de divorce furent découverts dans le courrier du matin, les deux rescapés durent se rendre à l’évidence que, cette fois, c’était du sérieux. Ni l’un ni l’autre arrivaient à comprendre ce qui arrivait, seul comptait le fait que, désormais, ils seraient livrés à eux-mêmes. Plus tard, Rose ne racontera jamais que sa mère l’a abandonné peu après son sixième anniversaire, mais lui inventera une fine tragique et terriblement romantique, digne d’une pièce de Shakespeare.
Désormais seuls, père et fille s’organisèrent. Très vite, Rose se sentis appelée à faire ce que faisait jusque là sa maman. En peu de temps, la maison était devenue plus propre que ce qu’elle n’avait jamais été au temps de Shelly. Aussi, Rose se découvrit une passion pour la cuisine, même si ses premiers essais trouvèrent leur ultime place dans la poubelle, après que son père, accroché à la table, lui avait assuré que tout cela était « très bon, ma chérie ». Peu à peu, les choses rentrèrent dans l’ordre. La même année, Rose entra à l’école et connu ses premières déceptions. Timide et « bizarre « (selon ses camarades), Rose fut rapidement mise à l’écart et ne vivait que pour ses moments avec son père et son chat. Lorsque son père le lui permettait, Rose aimait l’accompagner lorsqu’il guidait les touristes. Elle tenait la porte aux gens, donnait le bras aux vieilles personnes, leur portait les sacs et les parapluies et gagna ainsi quelques pièces supplémentaires.
Un jour – Rose avait alors huit ans – le garçon assis derrière elle à l’école lui tira une de ses tresses, lui faisant faire un large trait de peinture rouge en travers du dessin qu’elle avait fait pour son père. Peinée et prise d’une fureur qu’elle ne connaissait pas, Rose se retourna vivement. Le garçon poussa alors un cri : le pot de peinture jaune venait de tomber sur ses genoux, alors que Rose aurait juré que personne ne l’avait touché.
Cet épisode fut le premier d’une série de faits étranges qui surgissaient autour de Rose. Aussi, lorsque la lettre de Poudlard arriva, son père lui raconta que, d’après une légende familiale, son arrière arrière-grand-mère aurait été une sorcière et que, maintenant, il devrait bien finir par y croire. Pourtant, après avoir passé outre la première réaction de surprise, le père de Rose n’était pas peu fier de sa « vraie sorcière de fille » et l’emmena jusqu’au fameux Chemin de Traverse pour lui acheter tout ce dont elle aurait besoin durant l’année scolaire (presque tout du seconde main, bien entendu).
La séparation entre père et fille fut des plus difficiles, aussi Rose aurait-elle bien voulu renter chez elle le premier soir, n’étant pas habituée à une séparation prolongée avec son père. D’ailleurs, sa timidité presque maladive n’arrangeant pas les choses, elle fut une fois de plus mise à l’écart et ne fit rien pour y remédier. La première année fut difficile, la seconde presque pire encore, mais lorsque son père, pris d’une folie dépensière, lui acheta un polaroïd deuxième main et lui demanda de lui envoyer des photos de son école, Rose se mit à aller mieux. Depuis, elle a finalement pris ses marques, appréciant le calme lorsque ses camarades sont ailleurs. Pourtant, depuis que des choses étranges (même selon les standards sorciers) se passent à l’école, Rose hésite sans cesse entre
1) Se cacher sous son lit, fermer les yeux et s’imaginer à la maison. 2) Faire comme aurait fait Hercule Poirot : activer ses cellules grises !
…Et le choix ne s’avèrera pas toujours facile.
***
Hors Jeu
Votre prénom? ::
Petits curieux, va !
Vous n’avez quel âge? ::
Aïe…la question qui tue…moi, c’est Agecanonix (si, si)…je frôle bientôt le quart de siècle.
Où avez-vous connu le forum? ::
Topsite !
Comment trouvez-vous le forum? ::
A première vue, très prometteur !
Star sur votre avatar? ::
Amber Benson
Avez-vous lu le règlement? ::
Mais oui ! D’ailleurs…Méfait accompli !
Combien de mots fait votre fiche ? (sans compter les questions) ::
Euh…deux secondes, là….2754 (sans la partie HJ). |
| | | Fenrir B. Greyback ♣ Adminimaginable écrivain ♥
Nombre de messages : 143 Age : 32 Année et âge du perso : En septième, 17 ans Maison : Serpentard Coeur ? : Perturbé. Après tout âme et coeur vont de paire ... Date d'inscription : 19/07/2007
Feuille de personnage Citation - dicton: Auras-tu le courage d'avoir peur? Relations: Dons: Se transforme en un Grand Loup Noir à loisir. Force surhumaine et sens ultra-aiguisés. Rapide et agile, n'a pas la même perception des lois physiques. Lit dans les pensées.
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