Impero :: The damned Souls
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 Tochi Kiero

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MessageSujet: Tochi Kiero   Tochi Kiero Icon_minitime1Mar 11 Sep - 18:52

18 août, c’était l’été. Une journée si chaude, si ensoleillée. La pièce blanche était éclairée par les lueurs du soleil. Les rayons pénétraient non violemment dans la pièce, adoucis par la traversée de fins rideaux blancs. Cela donnait une ambiance joyeuse à l’endroit. Pourtant, il s’agissait d’une chambre d’hôpital, quoi de plus glauque. Une femme était allongée sur un lit. Elle criait de tout son être, hurlait même. De toute évidence elle semblait souffrir. Les traits de son visage n’étaient pas naturels, comme déformés par la souffrance. Pourtant, au fond elle paraissait si douce. Sa peau était assez pâle, parfaitement lisse. Ses cheveux noirs, légèrement humides encadraient son visage de part et d’autre. Ils étaient parfaitement raides, d’un noir intense. Mais paraissant plutôt ternes ce jour-ci, suite à l’effort sûrement.
La femme avait les jambes écartées, légèrement relevées. Un grand homme se tenait debout devant elle. Il avait les mains près de corps de la jeune femme, puis on ne les distinguait plus.
Quelques temps plus tard, d’autres cris furent poussés. Ceux de la femme s’étaient tus. Les cris étaient enfantins, même davantage. Un nouveau-né, voilà. La femme venait de mettre au monde un enfant, son enfant. Dans cette chambre d’hôpital, Tochi Kiero était né.

Sa mère, cette jeune femme aux longs cheveux noirs, se nommait Setsuko, l’esprit de fidélité. Elle tenait à présent son petit dans les bras. Les cris avaient disparu. La sérénité et l’amour remplissaient la pièce. Les fins rayons de soleil semblaient si pâles face au rayonnement que produisait le visage de la femme. Elle regardait son fils avec tant d’admiration, de joie et d’amour... Son premier enfant, son seul enfant. Ses yeux étaient légèrement humides face à cette montée émotionnelle. Ce qui leur donnait une nouvelle touche de beauté. Ses prunelles étaient comme de perles rares et noires. Deux joyaux où reflétaient son âme pure et innocente tel un miroir. Mais ne disait-on pas que les yeux étaient le miroir de l’âme ? Pour la jeune femme, cette théorie s’avérait bien fondée sans nul doute possible. Son regard était tellement profond, si attendrissant et mystérieux qu’on pouvait aisément s’y plonger, jusqu’à s’en perdre. Plus tard, certains diront que le jeune Tochi avait hérité de la beauté de sa mère. Plus particulièrement, de ses yeux...

C’était bien beau tout cela... Mais il y avait bien un père dans l’histoire. Elle n’avait pas procréé seule. Où était-il ? En tout cas, il n’était pas dans la chambre, pas dans la salle d’attente ni aucune autre salle de l’hôpital. Il n’avait pas assisté à la naissance de son fils. Comme il n’allait pas être présent non plus à son premier mot, son premier pas et toutes les petites choses insignifiantes qui font le bonheur d’une famille.
Akira, de son prénom, aimait son fils bien sûr. Pas au point démesuré de sa mère non, mais il l’aimait à sa façon. Tous deux ne se montraient jamais affectifs et tendres l’un envers l’autre. Ce n’était pas du tout son mode d’éducation. Akira avait vécu dans la bourgeoisie nipponne avant de rencontrer Setsuko. Il n’était pas cruel et froid pour autant. Simplement, il se montrait la plupart du temps impassible. Il ne se dévoilait jamais. Cela se remarquait également par les traits de son visage. Ils n’étaient pas doux comme ceux de sa femme. Ses yeux étaient noirs eux-aussi mais l’on ne discernait pas la lueur d’amour dans les siens. Même ses prunelles ne dévoilaient rien de lui... C’était un grand homme d’origine japonaise, tout comme sa femme. Ils s’étaient rencontrés à Londres.

Akira avait rejoint l’école de sorcellerie de Grande Bretagne en retard. Il avait quitté ses parents et sa ville natale du Japon, dans l'île Honshū. Il voulait vivre autre chose, désireux d’apprendre de nouvelles choses en matière de magie, pousser les limites de la connaissance. Il était très ambitieux et montrait un réel désir de prouver ce qu’il valait. Pour cette ardeur, il fut envoyé dans la maison de Salazar Serpentard. Un choix judicieux, puis il avait su gardé la tête sur les épaules et ne pas se laisser avoir par les voix de l’obscure. Il avait pourtant flirté avec la magie noire, celle des ténèbres, mais en était ressortit intact. Il voulait connaitre, mais en gardant des limites de sécurité. Il n’avait pas plongé dans le mal, mais s’était instruit de toutes formes de magie. Akira n’a jamais tenté de revoir sa famille, il n’est jamais retourné au Japon non plus.
Il rencontra donc la jeune japonaise dans un pub de Londres. Elle n’avait aucun pouvoir magique. Mais il était bien au-dessus de tout jugement à ce sujet. Il était tombé amoureux d’elle, un amour passionné presque irréel. Sa beauté l’avait séduit, ainsi que son visage rayonnant, son sourire gorgé de soleil. Cette jeune femme lui rappelait son ancienne vie, elle lui rappelait sa terre d’origine. Il l’aimait.

Nous ne savons pas véritablement si elle l’aimait à son tour, du même amour. Elle était bien avec lui, ils se complétaient. Mais elle ne paraissait pas si amoureuse. A la venue du petit Tochi, les rumeurs furent fondées. Tout l’amour qu’elle savait et pouvait offrir fut donné à son unique enfant. Akira n’en était pas jaloux, loin de là. Du moment qu’elle restait près de lui, tout allait bien. De toute façon, elle ne l’aurait jamais quitté. Elle se serait retrouvée seule, sans famille, sans amis, sans aucune autre attache. Même si elle ne connaissait pas l’amour pour son mari, elle était bien. Puis tout son amour était déjà comblé par son fils, elle n’avait besoin de rien d’autre. Setsuko restait donc, sans trouver le bonheur incommensurable, elle était heureuse simplement, cela lui suffisait amplement.


Les années passèrent, le jeune Kiero se rendait dans une école moldue. Il travaillait avec assiduité et rapportait toujours les meilleures notes. Il aimait cela étudier. Dès tout petit, il s’entraînait à lire et écrire avec sa mère. Elle était toujours là pour lui. Elle n’avait pas d’emploi. Par contre, Tochi ne voyait pas souvent son père, il était toujours en déplacement. Il travaillait dans le commerce magique international. Les livraisons de chaudron,... Il faisait tout cela. Il était donc parfois absent pendant plusieurs jours d’affilés voir des semaines. Mais le nippon ne s’en offusquait pas. Même s’il aimait son père, il préférait le contact de sa mère. Il appréciait tant sa douceur, sa démonstration affective envers lui. C’était un garçon fervent de tendresse, de câlins. Il adorait cela ! Pendant des heures durant, il ne se lassait jamais d’affection. Il était doux, sensible. Même peut-être trop sensible. Cela lui arrivait souvent de pleurer seul dans sa chambre le soir. Lorsqu’il ne se sentait pas très bien ou si des élèves s’étaient montrés dur avec lui. Il traînait le plus souvent avec des filles à l’école ou restait seul. Il préférait rester seul qu’en mauvaise compagnie.

En revanche, contre toute attente, il réussit à se lier d’amitié avec un garçon. Il habitait juste à côté de chez lui, il était d’origine japonaise lui aussi. Ils allaient ensemble à l’école et devinrent bien vite inséparables. Il se nommait Tsuki Saô. A l’âge de sept ans, son meilleur ami eut un coup dur, sa mère quitta la maison familiale. Il se retrouva seul avec son père. Ce dernier était froid envers son enfant. Pas du tout comme Akira. Tochi n’était guère proche de son père, mais parce que lui n’avait pas ce genre de tempérament, puis il était souvent absent avec son travail, rien à voir. Non, le père de Tsuki était un affreux bonhomme. Les deux amis étaient devenus de réels confidents. Il lui confiait tout. Le jeune Kiero fut tellement choqué quand il appris les sévices que le père faisait subir à son ami, son seul ami... Il était jeune, bien trop jeune, il ne pouvait rien faire. Puis, il ne comprenait pas tout à la situation. Simplement, il fit ce qu’il savait bien faire. Sous les bonnes démonstrations de sa mère, Tochi savait offrir la tendresse, le réconfort. Le nippon apportait une réelle amitié au garçon, même plus dans son cœur. Il le protégeait comme un grand-frère, bien qu’il ne soit plus vieux seulement d’un jour. Mais déjà à cet âge, Tochi était plus grand que Tsuki. Il était très mince et plus long que la moyenne des enfants de son âge.

Puis, les années d’école moldue prirent fin. L’été de ses onze ans, le nippon reçut une lettre de l’école de Sorcellerie de Poudlard. Il était sorcier, oui cela il le savait déjà. Il était ni heureux à cet effet, ni malheureux. Pas qu’il s’en contrefichait, mais tout ce qui lui importait était de voir Tsuki, de rester près de lui, de le suivre partout. Son meilleur ami aussi était sorcier. Ils n’allaient donc pas se quitter et continuer leur scolarité ensemble. Une scolarité pas anodine, dans un autre monde, le monde magique. Celui de son père. Tochi pensait que la magie l’éloignait de sa mère, elle n’ayant aucun pouvoir magique, il détestait cela. Le garçon était ballotté entre le désir de suivre son ami et le besoin maternel, le besoin de caresses de la part de sa mère. Comment pouvait-il rester si loin d’elle ? La voir que pendant les vacances ? Cela allait être dur, très dur...

- Maman, j’ai peur tu sais. Il y a Tsuki avec moi je sais. Mais ... toi ... tu ne seras plus là pour moi.

Une petite larme se forma dans ses yeux, puis coula le long de sa joue pour venir mourir dans son cou. Une petite perle triste qui n’avait rien à faire sur le visage d’ange du jeune Kiero. Les pleurs ne devraient pas exister pour la crème des petits garçons...
Mais il ne se contrôlait pas, jamais il ne réussissait à cacher ses émotions. Il était beaucoup trop sensible, émotif et à fleur de peau. Ses yeux, comme ceux de sa mère le trahissait toujours de toute manière. Sa mère ne dit rien, elle passa sa main sur les petites joues pâles et douces de son fils. Elle souriait, comme toujours. Ce sourire qui met un baume au cœur, ce sourire rempli de soleil qui pourrait émerveiller le plus malheureux, sécher les larmes du plus triste. Tochi arrêta donc de pleurer. Sa mère serait avec lui dans son cœur, tout le temps. Elle ne l’abandonnerait pas. D’un simple regard, il avait lu en elle. Elle ne le laisserait pas tomber. Il le savait. Bien souvent, les mots n’étaient pas assez forts pour décrire ce que l’on ressentait au plus profond de lui. Ce regard bref et signifiant, le petit garçon l’avait amplement compris. La complicité entre sa mère et lui ne se romprait jamais, même si elle demeurait loin de lui...

Il allait donc se rendre à l’école de magie réputée de grande Bretagne. Il en avait un peu parlé avec son paternel. Ce dernier fut très content de s’apercevoir que son fils avait hérité de son don pour la sorcellerie. Un soir ils parlèrent donc tous deux de Poudlard. Ces moments de certaine complicité étaient tellement rares avec son père. Le jeune garçon avait bu chacune de ses paroles, ouvraient ses grands yeux noirs brillants et écoutaient sagement tout ce que son géniteur avait à lui offrir. Ce dernier lui appris qu’il existait quatre maisons là-bas. Gryffondor, poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Il lui décrit tour à tour les différentes maisons, chacune avait ses propres particularités et semblait intéressantes. Son père avait été à Serpentard, cela ne l’avait pas plus étonné. Il l’avait décrit avec plus d’ardeur que les autres. Simplement cette maison ne l’intéressait pas. Elle semblait un peu froide pour lui. Rien qu’à son nom d’ailleurs, elle ne lui plaisait pas. Par contre, il était presque sûr que son ami Tsuki allait se retrouver dans celle-ci. Parfois, c’était comme s'il lisait dans l’âme du garçon. Il le comprenait davantage à lui-même... Il irait à Serpentard.
En revanche, dans la tête du nippon, c’était encore trouble. Il s’imaginait tour à tour dans chacune des maisons. Il reniait le Serpent, n’était pas assez courageux et trop sensible pour le Lion. Restaient Poufsouffle et Serdaigle, le Blaireau et l’Aigle. Ce dernier lui plut. Le bleu de cette maison, le bronze en assemblage. L’Aigle, un animal radieux. Oui, il s’imaginait bien dans celle-ci.
Cette nuit, les rêves du petit Kiero furent peuplés de gigantesques et magnifiques rapaces écumant le ciel, de baguette magique, puis de Tsuki...

Lors d’un dernier et long bisou d’adieu à sa mère –son père étant bien entendu au travail-, Tsuki monta ensuite à bord du Poudlard Express, voie 9 ¾. Il s’était donc rendue avec Setsuko à la gare de King’s Cross, à Londres. L’au-revoir fut dur, mais il ne pleurait pas. Il se souvenait parfaitement du soir où il avait reçu sa lettre. De la promesse de sa mère faite par le regard. Elle ne le trahirait pas. Elle était présente en lui, dans son cœur. Tochi gardait son parfum sur elle, toujours son odeur. Il adorait sentir comme sa mère, une bonne odeur de parfum féminin. Puis il gardait également son toucher, le goût de ses lèvres. Oui ils s’embrassaient souvent entre mère et fils. Pas un baiser vulgaire comme un couple passionné loin de là ! Mais un petit et mignon bisou d’amour échangé entre Tochi et celle qui l’a porté pendant neuf mois en elle. Celle qui n’a jamais cessé de l’aimer...

La vie se passait donc à Poudlard. Le nippon développait encore une plus grande assiduité dans son travail que lorsqu’il était dans l’école moldue. Etre un sorcier était pas mal après tout. Dans un premier temps, ce n’était simplement qu’une occasion de continuer à suivre Tsuki. Mais à présent, il se donnait à fond dans l’apprentissage de la magie. Il voulait devenir un talentueux sorcier, se servant de sa baguette magique comme un art, avec grâce, finesse et talent. Ses cours étaient nombreux, il s’était inscrit à plusieurs options. Il avait eu du mal à tout caser dans une semaine, son emploi du temps était fort chargé. A cause de cela, il voyait de moins en moins son meilleur ami. Cela le dérangeait. Ils avaient pourtant tant besoin l’un de l’autre.


Dernière édition par le Ven 14 Sep - 17:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Tochi Kiero   Tochi Kiero Icon_minitime1Mar 11 Sep - 18:53

L’été de ses quinze ans, Tochi était rentré à la maison, accompagné de son ami. Mais ils n’étaient pas directement retournés chez eux. Il voulait emmener Tsuki se promener. Il voulait passer du temps avec lui, comme dans l’enfance. Mais ils n’étaient plus des enfants. A quinze ans, tout était différent. A quinze ans, on se posait toujours des centaines de questions. On se remettait en question, s’interrogeait sur soi-même et sur les autres, sur ce que l’on ressentait pour eux. Pour ses parents, tout était bien clair. L’entourage de Tochi était fort restreint. La jeune Saô était son seul et unique véritable ami. Ami ? Il n’en était plus vraiment sûr... Non ce n’était pas de l’amitié ce qu’il ressentait pour le nippon, c’était bien plus fort. Ses entrailles le brûlaient quand il était près de lui. Tout son être l’attirait, il le voulait et ne voulait que lui. A ce moment rien ne comptait plus. Ils s’arrêtèrent tous deux, au milieu d’un champ. Tochi regardait le jeune homme. Il était si beau. Ils partageaient une immense complicité depuis si longtemps... Les filles ne l’avaient jamais attiré, il s’en contrefichait. Aucun être ne l’attirait aussi bien physiquement que moralement. Il avait tellement besoin de lui... Il osa lui avouer ce qu’il ressentait. Le jeune Kiero prononça ses deux mots « Je t’aime » à celui qui était son ami. Ce dernier sembla dans le doute un instant, il ne comprenait pas ce qui était en train de lui arriver. Mais, il ne lui laissa guère davantage le bénéfice du doute. Un baiser s’échangea entre les deux nippons. Ils étaient si bien ensemble. Il l’aimait, oh oui il l’aimait si fort. Il voulait être là toujours pour lui, comme il l’avait été depuis ses sept ans. Depuis qu’il avait découvert les sévices que lui faisait subir son paternel. Il serait toujours là pour lui. Il pouvait le comprendre. Il pouvait l’aimer et lui apporter tout ce dont il avait besoin. Un réel amour, pas des enfantillages. Une passion, un désir, une complicité entre deux jeunes hommes exceptionnels. Ils étaient pourtant différents l’un de l’autre, mais ils se complétaient...

Arrivé à l’aube de ses dix-sept ans et sa septième année à Poudlard, tout avait encore basculé. Il ne savait plus très bien comment se déroulait sa relation avec Tsuki. Il l’aimait toujours autant. Mais lui se faisait plus disant. D’autres pensées semblaient le préoccuper. Mais il ne voulait pas le perdre, jamais. Il le voulait pour lui tout seul. Un brin d’égoïsme, mais cela partait d’un bon fond. Même de loin, il gardait toujours un œil sur lui. Il était pacifiste, ne cherchait jamais à provoquer des duels et n’attaquait rarement en premier lieu. Il était intelligent et analysait la situation. Mais si quelqu’un faisait du mal à son copain, aussi bien émotionnellement que physiquement, il pouvait être sans pitié...
Côté physique, Tochi avait également bien évolué. Il cultivait une légère apparence androgyne, étant fervent de tout de qui était attrait au look et aux soins habituellement féminins. Ses cheveux anciennement d’un noir de jais étaient à présent teints en blond. Puis il collectionnait les lentilles de couleur originales. Il en possédait de toutes les couleurs et changeait de regard à volonté. Mis à part cela, il avait encore bien grandit et dépassait Tsuki en taille.
Tsuki, il l’aimait tant... Mais ce dernier à l’esprit sauvage et libertin s’éloignait de lui. Il fallait que cela change, il tenait trop à lui. Son petit cœur fragile et amoureux ne supporterait pas de le perdre, ça non... Il pourrait tout faire pour le récupérer, il serait prêt à tout. Le jeune Kiero n’accordait guère facilement sa confiance et ne donnait encore moins son amour. Mais lorsque ceux-ci sont installés, on ne peut pas s’en défaire. L’amour qu’éprouvait le nippon pour Tsuki était aussi fort que celui éprouvé pour sa mère, si ce n’était plus...
Mais la vie à Poudlard cette année s’avérait dure et froide...
En effet, il n’y avait plus de professeurs, plus de cours, plus d’encadrement,... Rien. Rien à part le mal, on pouvait sentir les mauvais esprits dans notre sommeil. Le havre de paix que fût l’école de Magie de Grande-Bretagne n’était plus. Tochi ne souhaitait pas s’engager dans l’un ou l’autre camp. Il n’aimait pas prendre des décisions comme celles-ci. Ce n’était pas un meneur, mais un suiveur. Il ne se laissait pas pour autant marcher sur les pieds. Mais il avait du mal à suivre un chemin, tracer son destin. Il semblait ne pas se connaître complètement. Alors, il laissait ses proches décider pour lui, il les suivait.
Donc, à l’aube de cette septième année, tout pouvait basculer. Restait à savoir de quel côté allait se ranger le jeune Kiero, dans le bon ... Ou le mauvais ...





Questions Hors Jeu

Nom/Prénom :: Kiero Tochi
Âge du personnage :: 17 ans
Âge hors RP :: 18 ans
Où avez-vous connu le forum? :: J’y joue déjà =P (Malefoy)
Comment trouvez-vous le forum? :: Toujours aussi bien ^^
Star sur votre avatar? :: Ruki (The Gazette)
Avez-vous lu le règlement? :: What a Face Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven D'acc
Combien de mots fait votre fiche ? :: 3024


Sinon, c’est un perso de l’histoire de Tsuki, on en a parlé ensemble. Puis, elle voulait le mettre en poste vacant ^^
Pour ce qui est de l’asiatique, interdit temporairement, comme Orphée va être supprimée, je peux « prendre sa place » ? ^^


Dernière édition par le Dim 16 Sep - 1:32, édité 3 fois
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Nathaniel Duncan
◊ Admin maniaco-artistique ◊
Nathaniel Duncan


Masculin Nombre de messages : 122
Age : 32
Année et âge du perso : 16ans... 6ème année
Maison : Gryffondor
Coeur ? : Tant que l'on ne m'aura pas fait baisser les masques personne ne le to
Date d'inscription : 31/07/2007

Feuille de personnage
Citation - dicton: Le maître des masques
Relations:
Dons: Si je te le disais ce ne serait plus un secret

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MessageSujet: Re: Tochi Kiero   Tochi Kiero Icon_minitime1Ven 14 Sep - 17:04

Bienvenue, enfin rebienvenue, sur Impero !


Très belle présentation !
Tu le sais déjà, j’adore ton style d’écriture, et puis Tochi est un personnage que je trouve attachant et tu le décris avec simplicité et complexité à la fois. C’est le genre de personnage que je me plais à suivre au cours du RP.

Pour moi si ce ne sont pas les trois ou quatre erreurs qui se sont glissées vicieusement dans ta fiche qui gêne tu as mon aval.
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MessageSujet: Re: Tochi Kiero   Tochi Kiero Icon_minitime1Ven 14 Sep - 18:16

voilà j'ai corrigé quelques petits trucs ^_^

Merci Very Happy
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Fenrir B. Greyback
♣ Adminimaginable écrivain ♥
Fenrir B. Greyback


Masculin Nombre de messages : 143
Age : 32
Année et âge du perso : En septième, 17 ans
Maison : Serpentard
Coeur ? : Perturbé. Après tout âme et coeur vont de paire ...
Date d'inscription : 19/07/2007

Feuille de personnage
Citation - dicton: Auras-tu le courage d'avoir peur?
Relations:
Dons: Se transforme en un Grand Loup Noir à loisir. Force surhumaine et sens ultra-aiguisés. Rapide et agile, n'a pas la même perception des lois physiques. Lit dans les pensées.

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MessageSujet: Re: Tochi Kiero   Tochi Kiero Icon_minitime1Dim 16 Sep - 1:35

Rebienvenue ^^

Dernière fiche dont je m'occupe, après je vais dormir je pense x)
Je suis Nathaniel dans ses dires, ta fiche est très belle et m'a retirée quelques soupçons. Je n'ai lu que du bon aujourd'hui et je m'en réjouis x) Tu clôtures bien ma série xD Espérons que demain sera aussi savoureux =P

Serdaigle pour toi, tu prends donc la place d'origine d'Orphée Wink

Amuse-toi bien sur le forum et RPise à volonté =P
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MessageSujet: Re: Tochi Kiero   Tochi Kiero Icon_minitime1

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