Impero :: The damned Souls
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 Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune

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MessageSujet: Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune   Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune Icon_minitime1Lun 3 Sep - 1:02

Questions Hors Jeu

Nom/Prénom :: Mathilde Lune Caldwell
Âge du personnage : 16 ans (17ans mais pas de jumeaux ici Sad )
Âge hors RP : 15 années bien pesées.
Où avez-vous connu le forum? : Sur Felix Felicis, où je suis déjà la soeur de Théodore, mais où nous sommes jumeaux.
Comment trouvez-vous le forum? : Je l'aime, et je remercie Milidou de me l'avoir fait connaitre
Star sur votre avatar? : Mackenzie Rosman
Avez-vous lu le règlement? : What a Face Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven -j'ai rien accompli du tout moi!-

La famille Caldwell était une des dernières familles de Grande Bretagne dont le sang n’avait pas encore été souillé par des êtres dénués de pouvoirs magiques. Ce n’était pas rien il fallait l’avouer cependant comme si cela coulait sous le sens plus le temps avançait plus trouver des gens avec qui se marier devenait difficile. Surtout si l’on voulait préserver l’hégémonie de la pureté sanguine. Pour la belle Mathilde Lune Caldwell -que je nommerai tour à tour Mathilde et Lune- l’avenir lui réservait bien des surprises, surtout venant de la part de ses parents. Cependant contrairement à eux elle ne se laisserait pas embarquer dans un mariage d’intérêt pour que continue la lignée pure des Caldwell. Et puis après tout, était-ce vraiment important ? Evidemment Mathilde souhaitait plus que tout être digne de son rang, qui lui procurait une certaine noblesse, mais elle ne se sentait pas les épaules suffisamment fortes pour supporter de vivre toute sa vie avec un homme qu’elle n’aimerait sûrement pas et avec qui elle devrait pourtant concevoir une progéniture. Pour ce qui était de la résistance des épaules elle savait qu’en cas de coups durs elle pouvait s’appuyer sur l’épaule de son frère aîné Théodore Asmodée Caldwell.

Non elle n’était pas une petite fille fragile elle se refusait à en être une. Elle était très résistante cependant elle préférait que les gens la trouve mignonne et timide plutôt que de l’associer à une guerrière, dont elle n’avait ni le look ni l’attitude. Aux manigances et autres stratégies militaires elle préférait la sincérité et la franchise. Attention elle n’était pas naïve au point de croire que le monde entier était un être sincère. D’ailleurs elle-même n’était qu’une fille, et ça je vous prie de croire que cela veut tout dire. En effet l’habitude des petites manières féminines l’avait conforté dans son idée qu’il fallait être sincère jusqu’à un certain point, mais ce point n’était pas défini, il dépendait de la volonté que mettait chacun des interlocuteurs, mais avant tout de la personne en face de Mathilde. Une sincérité sans borne quand elle était avec son frère, mais personne d’autre ne connaissait son elle intérieur. Envers les autres, elle n’accordait sa confiance qu’en cas d’une grande soumission. Attention n’imaginez pas qu’elle était comme ces élèves de Serpentard à vouloir s’annexer toute l’école. Car s’il y avait bien une chose qu’elle ne supportait pas c’était l’ego démesuré que pouvaient avoir certains élèves de Poudlard. Lune et Asmodée pouvaient avoir une supériorité d’ego, premièrement car ils étaient frères et soeurs et car ils étaient de surcroît des sang purs. Alors ne pensez pas qu’elle se trimballe avec un immense ego, elle reste une fille simple. Mais il faut apprendre à la connaître pour se permettre de la juger car cette demoiselle au regard tendre et compatissant cache en réalité bien son jeu. Cependant, étant une fille, elle a des faiblesses, sûrement dues à une grande sensibilité qu’elle éprouve envers les gens qu’elle aime. Son frère est le seul à qui elle se confit et lui seul détient la clé qui peut ouvrir le cœur tendre de sa sœur.
Souvenez vous dans ces bons vieux films américains où le jeune homme doit demander l’approbation du père de la fille pour sortir avec elle, puis pour la demander en mariage. Et bien Théodore jouait un peu ce rôle.

Après cette brève entrevue du caractère au combien complexe de la demoiselle je vous invite à poursuivre une visite plus visuelle. Commençons par la tête de la jolie jeune fille. Des cheveux châtain foncé qu’elle portait lisses ou bouclés, la texture des plus soyeuses et n’importe quel garçon ayant glissé une main dans sa chevelure ne pensait qu’à y retoucher. Mais généralement elle n’acceptait pas qu’on touchât à ses cheveux sans son accord, et puis à par un éventuel petit ami, pourquoi un garçon aurait-il une dérogation spéciale concernant ses mèches ? Suivaient ensuite le reflet de l’âme, disait-on, jamais un regard n’avait été aussi expressif. Dire qu’elle était incapable de cacher ses sentiments était une dure réalité, mais il ne fallait pas non plus se fier trop longtemps aux expressions car une expression de colère s’exprimait par un éclat malsain dans ses yeux, alors qu’une envie de vengeance se retranscrivait sous une forme toute à fait bénigne qu’on aurait pu comparer à une mince lueur de bonheur. Ses yeux étaient disons le franchement un de ses plus grands atouts et à vrai dire elle n’en avait pas beaucoup. Si ce n’était ce charme dont elle était dotée, qui faisait tomber les garçons sous sa coupe. Sûrement une caractéristique familiale, bien que chez Lune cette sorte d’aura charmeuse était bien moins puissante que chez son frère. D’ailleurs cela s’était toujours fait ressentir, depuis la première année d’école, jusqu’à celle-ci à Poudlard, Théo avait toujours eut cette faculté plus poussé que Mathilde, il était plus attractif, et devenait bien plus facilement populaire. Quant à elle, elle devenait populaire par procuration si l’on peut dire, elle devenait la sœur populaire de la star de la classe supérieure, la fille adulée pour son frère aîné. Mais trêve de bavardages, en descendant plus profondément votre regard sur le corps de la jeune fille vous passez par un nez fin qui n’avait rien à envier aux nez refaits des stars de cinéma. Quant à son sourire. Un ange n’en aurait pas eu de plus lumineux, elle souriait constamment et jamais de cette bouche aux lèvres si joliment dessinées ne sortaient de mots plus forts que d’autres. Elle parlait souvent sur un ton égal à celui de la personne en face d’elle et quand un élève se pensait supérieur elle se permettait de lui rabattre gentiment le caquet en lui faisant comprendre que c’était elle la Sang Pur, et que si d’entre les deux personnes il y avait une supérieure c’était bien elle.
Le reste du corps de la jeune femme était plus que normal, un cou fin, des épaules se mouvant avec grâce, une poitrine proéminente sans en tomber dans le ridicule des actrices de films à tendances très sexuelles. Elle conservait une taille de guêpe, ayant compris que les grosses n’étaient pas le point fort des garçons, elle entretenait un corps svelte, notamment grâce à une de ses passions la danse. Dans son dos on pouvait voir un ange gothique, aux ailes noires dans lesquelles s'inscrivaient M.L.C et T.A.C, les initiales des enfants Caldwell.


Dernière édition par le Lun 3 Sep - 17:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune   Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune Icon_minitime1Lun 3 Sep - 1:03

Il est temps que vous compreniez ce qui unis les deux enfants Caldwell, pour cela je vous propose un extrait du journal intime de Mathilde.

Le 13 Août 2056.

Bonsoir.

Sur ce simple mot je commence un carnet qui j’en suis sûre ne tombera jamais entre de mauvaises mains. Les seules mains que je considère aptes à toucher ses pages que j’entacherai bientôt d’une encre couleur sang sont celles de mon frère. Théo. Quant aux yeux, seuls ceux d’un Caldwell peuvent saisir les mots que j’écrirai dans ce cahier, aussi notre regard si semblable est le seul qui pourra lire entre mes lignes.

Je pense qu’étant donné la place qu’il tient dans ma vie je me dois de commencer par parler de lui. Celui qui est né un an avant moi, mais dont l’âme m’a bercée depuis la naissance. Théodore Asmodée Caldwell. Il est le garçon le plus intelligent, et le plus gentil que je connaisse. Si je n’étais pas sa sœur, et si sa force attractive n’était pas contrecarrée par la mienne, qui est bien moins puissante reconnaissons le, je pense que comme la majorité du panel de la gente féminine je serais tombée sous le charme de ma Lumière. D’ailleurs je comprends les filles qui succombent au premier regard, il est beau et de lui se dégage cette sensation de fragilité maladive qui donne envie de le protéger à la moindre occasion. Si elles pensent qu’il doit devenir un homme elles en oublient l’essentiel. Moi. Oui moi, je l’ai vu grandir, et je peux vous affirmer qu’il est un homme accompli, à seulement dix-sept ans son caractère est déjà très fin, et pour ne rien gâcher, il a le même sang que moi dans les veines. Il est peut être mon double masculin, cependant je le considère comme meilleur. Il est la source de chaleur si lumineuse qui m’attire moi pauvre papillon et à laquelle je me suis déjà brûlée dans le passé.

Il faut aussi que je définisse la relation que nous avons l’un envers l’autre, et l’amour fraternel qui nous unis. Nous ne sommes pas des jumeaux, et pourtant on pourrait le croire mais outre cette constatation notre relation est basée sur une confiance indéfectible et une sincérité plus profonde que les limbes. Il est ma moitié, et ce jusqu’à ce que je trouve l’homme que j’aimerai de tout mon cœur. En fait, Théo est mon cœur, mais je sens que je vais tomber dans le sentimentalisme alors je vais abréger votre souffrance. Il me suffit d’un regard pour comprendre ce qu’il ressent, et je suppose qu’il en est de même pour lui. Je pense que c’est une sorte d’empathie qui nous lie, mais je ne vais pas délirer sur une capacité imaginaire que nous aurions tout deux l’un pour l’autre.

Enfin vous l’aurez compris j’aime mon frère, du plus profond de mon être, je sais que je pourrais compter sur lui en toute circonstance, et s’il tombe sur ces mots j’espère qu’il croira tout ce que j’ai écrit. Je clos sur ces mots un chapitre important de ce journal intime. Pour tout dire je vais peut être partir à la recherche de celui de Théo pour voir s’il y fait mention de moi, parmi toutes ses conquêtes, s’il y en a bien eut une première c’est sûrement moi.

Au revoir.


[HJ: Cette partie est très courte, mais c'est un passage obligatoire si l'on veut comprendre ce qui unis les deux frères]


Dernière édition par le Lun 3 Sep - 18:34, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune   Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune Icon_minitime1Lun 3 Sep - 1:17

Depuis toujours et ce jusqu’à sa mort Lune resterait telle qu’elle avait toujours été, belle, souriante, et surtout aimant son frère. Elle s’était jadis faite une promesse le jour où son frère mourrait elle le rejoindrait juste après. Il était l’aîné et elle la cadette, il était celui que les parents vénéraient car premier héritier, et il était aussi l’objet des louanges de sa sœur. C’était plus fort qu’elle elle l’aimait comme elle s’aimait. Etrange non ? Pouvait-on qualifier cette attitude de narcissisme ? D’une certaine façon oui, elle le considérait comme une part majoritaire d’elle-même. La totalité de son être dépendait de Théodore. Telle une camée en manque de son héroïne elle vivait en ne souhaitant qu’embellir la vie de son double. N’imaginez pas non plus une Mathilde soumise aux quatre volontés de son grand frère, mais elle l’idéalisait sûrement un peu. Beaucoup disaient qu’elle le hissait sur un piédestal, mais ce n’était pas ça, elle lui donnait le rang qu’elle jugeait bon, soit celui de première merveille de son monde. En effet son monde, car elle avait cessé de croire en la nature humaine depuis le temps, les désillusions étaient trop grandes. Alors ne la traitez pas d’arrogante quand elle vous dira être la seconde merveille du monde. Elle ne parle que d’un monde utopique dans lequel Théodore et elle régneraient en maîtres. Lui manipulant à son aise toutes les dames et elle séduisant avec une facilité déconcertante les mâles. Bien sûr, me direz vous, pourquoi ne se considère-t-elle pas comme la première merveille de son monde ? Pour comprendre cela il faudrait que vous retourniez à vos livres de conjugaison. Il y avait beaucoup de temps, mais un seul représentait aux yeux de Lune son frère. Le plus-que-parfait. Elle n’avait été capable que d’atteindre la perfection.

Et quand elle les voyait même maintenant ces êtres si insipides, se pavanant avec une grâce à la limite du ridicule elle ne pouvait se retenir de sourire, dévoilant sa dentition blanche. Non vraiment la nature humaine était pitoyable. Comme si ces garces pouvaient satisfaire son frère. Si les relations incestueuses étaient une chose courante, Lune se serait prise à croire que la seule capable de donner un véritable sentiment de plénitude c’était elle. Mais revenons en à nos moutons. Il fallait qu’un jour les traînées qu’elles soient de Gryffondor, de Poufsouffle, de Serdaigle, ou même de Serpentard, comprennent enfin qu’elles ne valaient pas mieux les une que les autres, jamais aucune d’entre elles n’arriveraient à la cheville de Asmodée. Si une seule osait y prétendre Mathilde se ferait un plaisir de lui faire comprendre que la perfection n’était pas à sa portée. Elle qui incarnait la Grâce dans toute sa simplicité mais aussi dans sa complexité elle refusait qu’une future péripatéticienne se crût à la hauteur de SA Perfection. Lui qui incarnait le Charme brut et violent, soufflant sur les plaines de Poudlard comme un doux parfum de rosée au moment où le soleil vient d’entamer son zénith. Tout un contraste, il était tellement représentatif du Charme que s’en était grisant pour trouver un garçon lui arrivant à la cheville. Et si elle en trouvait un il se devait d’être d’une pureté sanguine aussi parfaite que la sienne. De quoi compliquer encore l’affaire vous en conviendrez.

Aussi loin que remontent ses souvenirs Lune avait toujours été la fille dans l’ombre, celle qui contemplait la scène sur laquelle jouait son frère. Déjà à l’âge de trois ans quand il avait fallu entrer à l’école maternelle, il avait été d’entrée de jeu le meilleur copain de tous les garçons et l’amoureux de toutes les bambines. Depuis bientôt seize ans sous son magnifique regard noisette se déroulait un film dans lequel elle avait le second rôle et lui la vedette qui signait les autographes et récoltait lauriers et palmes d’or.

Et elle s’était habituée à la contemplation tacite du succès de son égérie. Pour faire de grande comparaison il était à Mathilde ce qu’était Mona Lisa à Léonard de Vinci. Une sorte de muse. Et en secret Lune se doutait que son frère recevrait sûrement autant de succès que la célèbre femme. Il était aussi hypnotisant pour les filles que la Joconde sur la population mondiale, son regard vous fascinait pendant un instant, vous troublait un moment, et vous marquez de tout temps. C’était une sorte de mode opératoire, et le regard de Mathilde était lui aussi apprécié, peut être moi que celui de son frère car moins convoité mais le processus était le même.

La vie de la beauté fatale ne se résumait pas qu’à cela, bien que ce fait n’aurait pas gêné Mathilde de donner sa vie pour celui qu’elle adulait. Il est temps maintenant que le conte de sa vie indépendante commence sous vos yeux ébahis.

La demoiselle se leva en silence comme tous les autres jours elle ne s’était pas embarrassée de vêtements, trop superflus, pour dormir dans l’intimité de sa chambre. A part Théo personne n’entrait et il savait qu’elle était matinale, hors quand elle se levait il dormait encore à point fermés dans le cocon sécurisant de sa chambre. Elle pénétra dans sa salle de bain privée, lieu qu’elle aimait, elle y avait passé de nombreuses heures et c’était toujours avec une immense satisfaction qu’elle contemplait dans le miroir la jeune femme qu’elle était devenue. Avec toute la grâce qu’elle incarnait Lune entra dans la douche, faisant couler d’abor un mince fil d’eau couler tout le long de son échine, la chaleur glaciale du premier frisson de la journée la saisit alors que l’eau gelée brûlait chaque centimètre carré de sa peau. Douche froide, contrastant la chaleur de la nuit et des rêves qui l’avaient saisis, dans ses rêves son frère était le maître et elle n’était que la princesse, elle n’en oubliait pas le garçon qui avait dormi là cette nuit. Un amant parmi tant d’autre, un sorcier qu’elle avait croisé auparavant dans l’école. Il était assez mignon il fallait le reconnaître mais il n’était pas assez bien pour elle. Quand la porte s’ouvrit le regard noisette de Lune se dirigea droit vers le corps en tenue d’Adam de son amant d’un soir.


« Sors. »
Ce fut le seul mot qui sortit de la bouche de la demoiselle prononçait sur un ton plus que courtois mais qui ne laissait pas de place au dialogue, ses yeux avaient glacé plus d’un homme et rendu jaloux bien des demoiselles mais dans des moments comme celui-ci ils auraient fait faillir même les plus bons comédiens. Elle doutait même que sous ce regard son frère lui-même ne soit pas légèrement décontenancé. Puis sa conquête sortit, sans grande surprise. Elle continua

Toute sa vie était un immense conte de fée, et son enfance avait trop longtemps été bercée par de telles âneries. Le jour de son entrée à Poudlard cela avait été la débandade. Tous ses rêves avaient été brisés par la violence du choc entre son monde et la réalité. Depuis elle était devenue elle, et elle le resterait.

Les maisons n’avaient rien d’important à ses yeux, c’était juste une façon de classer les élèves, elle se considérait comme inclassable, bien que son rang de sang pur lui accorde l’entrée dans les plus grandes demeures c’était entre les morceaux de tissus déchirés du Choixpeau qu’elle avait remis son destin, six ans auparavant. Elle avait sur le moment espérait être dans la même maison que son frère, mais elle se demandait si sa perfection et la forme supérieure de celle de son frère seraient envoyées au même endroit.

Depuis cette période elle était devenue une sorte de veuve noire, attirant ses futures victimes dans sa toile pour mieux les consumer après. Comme l’araignée qui entoure sa victime d’un cocon elle donnait confiance à chaque garçon avec qui elle flirtait. Puis une fois le poison de la veuve noire disparu elle mange son captif. Mathilde après avoir érigé un trône en l’honneur d’un pathétique flirt détruisait le trône de la plus douce des manières. Faisant souffrir sa victime et lui ôtant son amour propre dans un ultime baiser.

Aujourd’hui Mathilde se considère comme une véritable Déesse. Celle de l’amour et de la destruction, comme c’est paradoxal ! Elle ne cesse d’aduler son frère tant aimé et le place en Dieu des Dieux. Elle est Athéna et lui Zeus. Il charme les femmes, elle les hommes. Malgré tout son amour pour son frère est intarissable. Elle l’aime et puis c’est tout.

En y repensant, après toutes ces années, elle ressemblait à sa mère, une femme fatale, belle et forte. Dupant les mâles avec une sensibilité à fleur de peau, un côté fleur-bleue et une beauté envoûtante. Elle tenait de son père sa légère arrogance et son calme légendaire. Et elle avait appris de son maître et frère la manipulation, bien que contrairement à lui elle n’excella pas en la matière. Elle serait, Grâce, Sensibilité, Calme, et Manipulation.


Lui est l’Innocence.
Elle est la Sensibilité.
Il représente le Charme.
Elle la Grâce.


Leurs points communs étaient plus profonds, et seuls eux en savaient l’existence. Merlin que les humains étaient dupes et détestables dans leur bêtise.

Séparément ils feront de grandes choses.
Ensembles leur force n’aura d’égal que la bêtise humaine.


Après tout Albert Einstein a dit :
Deux choses sont infinies : L’univers et la Bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l’Univers je n’en ai pas encore la certitude absolue.


[HJ: Voilà je vous laisse le choix. Comme dit dans ma fiche, Mathilde se fiche de la maison dans laquelle elle sera. Après ne venait pas me dire : Vert = Serpentard
Rouge = Gryffondor
Bleu = Serdaigle
Jaune = Poufsouffle.
J'ai déjà vu ça sur certains forum alors je n'écris en vert que parce que j'aime ça, et ma répartition n'est pas faite pour vous influencer dans telle ou telle direction.

Bon courage!]
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Eliane M
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MessageSujet: Re: Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune   Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune Icon_minitime1Lun 3 Sep - 17:33

Bienvenue sur Impero Lune! cheers

Alors je n'ai rien à redire sur ta fiche. Quelques erreurs mais guère. Et une fiche bien construite ainsi qu'une personne suffisament complexe pour ne tomber dans aucun stéréotype. ^^ Même si pour moi une maison bien précise se détache eds autres pour t'accueillir en son sein.

Donc je donne mon aval pour ta validation. Néanmoins il te faudra attendre l'arrivée d'un deuxième admin pour te faire répartir si il trouve, lui aussi, ta fiche à son goût.
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Lucius A. Malefoy
♦ Adminissiment vôtre ♦
Lucius A. Malefoy


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MessageSujet: Re: Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune   Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune Icon_minitime1Lun 3 Sep - 18:33

Voilà voilà le second admin ^^,

Je n'ai presque rien à rajouter à ce qu'a dit Eliane, la fiche est bien construite et ne tombe dans aucun piège de stéréotype. Il y simplement un endroit où tu as mélangé Stephens et Caldwell (déformation de Felix Felicis, j'imagine ^^).


«Celui qui est né un an avant moi, mais dont l’âme m’a bercée depuis la naissance. Théodore Asmodée Stephens»

Sinon, je ne vois pas de raison de ne pas te répartir maintenant, après cette minime correction. Bienvenue dans la Maison d'Helga Poufsouffle, et bon séjour parmi nous.


Dernière édition par le Lun 3 Sep - 18:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune   Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune Icon_minitime1Lun 3 Sep - 18:37

Désolée, en plus, j'étais en train de le corriger quand j'ai ouvert la page et que j'ai vu que tu l'avais aussi remarqué.

(c'est Helga Poufsouffle ^^ enfin bon ça change pas grand chose au résultat)

POUFFY POWAAAAAAA
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MessageSujet: Re: Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune   Mathilde Lune Caldwell ~ Titoune Icon_minitime1

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