Mérédith 'Mary' Hamilton

Nom/Prénom :: Hamilton Mérédith
Surnom :: Petit, son jumeau avait du mal à prononcer Mérédith alors il a vite usé du petit surnom Mary pour l’appeler.
Âge/ Jour de naissance :: 16 ans / 4 Mars
Maison souhaitée:: Toutes à la fois, comme convenue! xD J'décone bien sûr, j'suis pas exigeante là dessus, c'est selon les besoins! Qui de Serdaigle ou Poufsouffle a besoin d'une super active??

Origine/Statut social et lieu d’habitation ::
Son origine Britannique remonte sur plusieurs générations et la famille de Mérédith demeure aujourd’hui dans Londres et sa Banlieue. La demoiselle vit avec son frère jumeau et ses parents dans un ravissant petit pavillon de la Capitale qu’ils se sont offert il y a quelques années déjà. Malgré le fait que le chef de famille soit entré en politique, les Hamilton conservent une vie plus ou moins modeste qui leur convient parfaitement.
Sang ::
Si Mérédith descend de la famille Weasley, il y a eu de nombreux mélanges avec des moldus jusqu‘à aujourd’hui, ce qui a évité de trop proches consanguinités.

Baguette ::
En bois de Pommier, symbolisant le choix et la beauté, la baguette de Mérédith et fine, souple et courte, ce qui est en outre très utile dans l'utilisation de sorts rapides à effectuer. Elle contient aussi un crin de Licorne prit sur l'une des créatures dont sa mère est chargée de s'occuper. Le seul autre crin prit sur ce spécimen, et utilisé dans la conception d'une baguette, et celui qui est niché dans celle de son jumeau, Malcolm.
Année d’étude :: 6ème




Petite, c’est le moins que l’on puisse dire. Avec ses 1m56,à 16 ans, Mérédith parait parfois ridicule aux côtés de ses camarades du même âge. Seulement voilà, de sa petite taille elle a tiré une force hors du commun. Une force de caractère bien sûr, car ses petits bras, aussi musclés qu’ils puissent être, semblent parfois aussi fragiles que des fétus de paille. Néanmoins, sa taille ne l’empêche pas de se faire remarquer car la jeune fille a d’autres avantages. Si son visage, d’une rondeur encore enfantine, est attendrissant, ses yeux, eux, sont renversants. D’un bleu clair sans pareil, le regard de Mérédith est son atout majeur. Les petites taches de rousseur qui parsèment le haut de ses joues soulignent aussi son regard avec brio. Ajoutons à cela ses cheveux brun-roux, elle a parfois l’air d’une parfaite petite sauvageonne. Pourtant cela plait. De plus, son visage a toujours été très expressif. On ne peut donc guère passer à côté des humeurs de la demoiselle qui a l’habitude d’être choyée et observée. Il est donc aisé de comprendre que la jeune Hamilton cherche à s’habiller de façon étudiée afin d’attirer à elle tous les regards, toutes les attentions. On la verra principalement vêtue avec des couleurs, mais il lui arrive d’arborer des tenues plus sobres et sombres lorsque son moral n’est pas au beau fixe. Et comme un rien peut la perturber, la jeune fille est très changeante, que ce soit sur le plan vestimentaire ou bien caractériel. Mérédith n’a donc pas de style propre, elle aime s’habiller selon ses envies et elle ne comprend pas comment il pourrait en être autrement.


Signe distinctif :: Elle porte de petites boucles d’oreille passe partout qui lui ont été offert par un ami d’enfance ainsi qu’un médaillon, cadeau de son frère, dans lequel elle cache une photo.




Explosif naturellement. On ne peut décemment pas être élevée en parfaite petite princesse sans qu’il n’en ressorte quelques attentes en grandissant. Mérédith, par exemple, aime que tout se passe comme elle l’entend. Elle aime les surprises comme tout le monde, à Noël, mais pour le reste il faudra repasser. Elle a souvent du mal à faire des concessions pour les autres, aussi doit-elle prendre sur elle pour rendre service ou pour s’excuser. Son amour propre est tel qu’elle devient vite ingérable pour qui l’entoure. Pointilleuse et exigeante, elle en demande parfois beaucoup plus qu’elle n’en est capable elle-même. Mais ce n’est que le fruit de son éducation et on ne saurait lui en vouloir lorsque l’on croise son beau regard. Et puis, Mérédith est une personne fondamentalement gentille et attachante. Elle aime faire plaisir, surtout si cela ne lui coûte pas trop d’effort. Mais sa volonté est, en outre, inébranlable et la demoiselle peut donner le meilleur d’elle-même si tant est qu’elle le voulusse.
Néanmoins, son caractère assez particulier lui a causé quelques torts par la passé. Un jour, par exemple, où elle venait de faire l’un de ses habituels caprices à son oncle, celui-ci l’a tout bonnement laissé sur place. Ils étaient tous deux allés faire un tour dans un village proche de Londres et l’homme, agacé par les simagrées de l’enfant, avait décidé de lui donner une leçon dont elle se souviendrait. D’ailleurs, ces quelques minutes à attendre que son oncle transplanne de nouveau à ses côtés resteront certainement gravées dans sa mémoire pour toujours. Il faut dire aussi que pour une enfant si jeune et habituée à ce qu’on se plie à ses quatre volontés c’est un véritable choc. Si Mary continue donc à jouer la comédie, elle est devenue constamment terrorisée à l’idée qu’on puisse l’abandonner, et elle y songe à chaque fois qu’elle doit se rendre quelque part en petite comité.
Mais là ne s’arrête pas le grand panel de caractère que nous offre Mérédith. La jeune fille ravissante et bienveillante qu’elle est ne saurait demeurer ainsi en toutes situations. Elle est, en effet, profondément orgueilleuse et sûre d’elle-même, ce qui n’a pas laissé ses caprices prendrent le dessus sur le nombre de mauvaises aventures qu’ils lui ont apportés. Aimant s’engager à fond dans ce qui lui plait, sa sûreté et son orgueil lui font ensuite croire qu’elle n’a plus besoin d’apprendre ou plus besoin de prêter attention à une chose qu’elle a mainte fois revue. Il en va ainsi pour les cours, donc Mary se lasse très vite. Mais les êtres vivants reçoivent le même traitement. C’est de cette manière que, enfant, elle a eu de nombreux animaux de compagnies qui ont malheureusement finit dans les bras de ses parents. Les humains ne sont cependant pas en reste. Si Mérédith montre une loyauté indéfectible en ce qui concerne l’amitié, elle se montre en revanche des plus changeantes en ce qui concerne ses petits amis. Elle aime le changement, le mouvement, et ne peut décemment pas se contenter d’un petit train de vie immobile qui amène sans cesse les mêmes petites habitudes répétées.




Il est plus long de faire l’énumération de ce qu’aime Mérédith plutôt que de ce qu’elle n’aime pas. En effet, bonne vivante, elle ne peut s’arrêter de bouger et se plait à faire ce qui lui tient à cœur. Mettre sur pied des farces, embêter les gens, jouer la comédie et désespérer l’autorité comptent parmi ses priorités. Mais elle aime aussi être entourée car c’est une jeune fille ouverte et sociable que la solitude déroute.
La demoiselle adore faire parler d’elle et c’est sans doute ce qui la motive de prime abord pour ses farces. Elle n’est pourtant pas égocentrique et, au contraire, s’interesse plus aux petites manies de ses camarades qu’aux siennes. Les potins l’ont toujours beaucoup amusée, car ils lui permettent de réaliser que la nature humaine est parfois bien étrange.
Mais, en digne descendante Weasley, et bien qu’elle ne s’en rende pas compte, Mérédith est une inconditionnelle de Quidditch. Tant et si bien que les murs de sa chambre sont recouverts en plusieurs endroits par les poster animés de ses joueurs et équipes préférées.




Outre sa crainte d’être abandonnée, due à un épisode navrant de son passé, la plus grande peur de Mérédith est de perdre les êtres aimés. Après la paranoïa, elle en est arrivée à un stade où l’attachement est prohibé. Elle s’autocensure en s’interdisant d’avoir de véritables amis, elle qui, par le passé, a pourtant sût faire preuve d’une extrême loyauté en amitié et d’une grande fidélité. N’évoquons donc même pas l’hypothèse que la demoiselle tombe amoureuse, celle-ci étant complètement et irrévocablement exclue. Certes, Mérédith et son beau regard ne sont pas étrangers aux flirt et aux petites aventures, mais rien de jamais bien sérieux. Il est fou de voir le mal que les limites que l’on se fixent soi même peuvent nous faire. Mary ne se rend même pas compte qu’elle passe à côté d’une chose fondamentale, une chose qu’elle chérie pourtant : la vie. Alors, ses farces en tous genre l’aident à se voiler la face, tandis que ses autres occupations et son hyper activité lui permettent d’éviter toute réflexion à ce sujet.





Cathy … C’était le diminutif que portait la grand-mère de Mérédith. Son véritable prénom était Catherina et il lui avait été donné par ses parents, Ginevra et James Hamilton. Ils auraient tous deux eut un rôle dans la Guerre qui opposa les Mangemorts à l’Ordre du Phoenix, il y avait plus de 150 ans. Cathy raconta bien des histoires au sujet de ses parents, tant et si bien qu’on ne parvenait pas toujours à discerner le vrai du faux. Eh puis, il fallait dire aussi qu’on ne l’écoutait pas toujours. Sa petite fille particulièrement. Mary n’avait jamais prêté grande importance à toutes ses histoires de famille. Sa mère, Eléanor, lui avait souvent conseillé de s’intéresser au passé. Elle prétendait qu’il avait un pouvoir significatif sur le présent et le futur. Elle ne cessait de rabrouer sa fille qui n’en avait décidément rien à faire des histoires vieilles de plus d’un siècle! Lorsque Mrs Hamilton partait dans ses discutions sérieuses au sujet du passé, Mérédith se contentait d’afficher un air condescendant en priant pour que la conversation prenne fin au plus vite. Pourtant, nul doute qu’elle aurait mieux fait de porter plus attention aux histoires de sa grand-mère.
Car lorsque celle-ci décéda, un matin de mars, nombres de souvenirs furent perdus avec elle. Eléanor mit alors un point d’honneur à voir son époux, Ethan, parler de ce qu’il avait put connaître de sa mère et de sa grand-mère. Malheureusement, Mary tenait de son père son insouciance du passé, aussi Mr Hamilton n’eut que peu de chose à enseigner à ses enfants. Tout ce qu’il put dire était que Catherina, bien que femme, avait transmit son nom sorcier à ses enfants car celui qu’elle avait prit en union était moldu et son nom, Miller, n’était donc pas connu parmi la population sorcière. Lorsque Eléanor demanda à sa fille ce qu’elle en avait déduit, cette dernière arbora un sourire somptueux avant de déclarer:

« Grand-mère trouvait que Hamilton sonnait mieux que Miller! »

Mrs Hamilton eut alors un regard décontenancé et ne put que se tourner vers son fils qui lui lança un regard amusé. La femme décida donc d’expliquer ce que descendre de familles moldues ou sorcières pouvait impliquer. Et même si, désormais, quasiment toutes les familles de sorciers étaient mêlées à des familles moldues, il ne fallait pas oublier que, comme il en allait depuis des siècles, certains se croyaient toujours au dessus des autres. Les sangs purs. Eléanor apprit à ses enfants à se défier des héritiers de sangs purs qu’ils pourraient croiser une fois à Poudlard.

Poudlard. Leurs parents ne cessaient de répéter ce nom et Mary spécula longtemps avec son frère sur ce qu’il pouvait y avoir là bas. Pour Mr Hamilton, c’était une étape comme une autre, qu’il fallait franchir. Mais pour Mrs Hamilton, c’était un rituel de passage des plus importants dans la vie de deux jeunes sorciers comme Malcolm et Mérédith. Ils n’eurent donc pas de répit à ce sujet et leur mère continua d’insister sur leur avenir, le mêlant au passé.

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Avec un bourrage de crâne tel que leur avait fait Mrs Hamilton, Mérédith s’attendait presque à voir une sorte de copie d’Askaban s’élever devant elle en franchissant les grilles de Poudlard pour la première fois. Elle pensait découvrir une prison pour adolescents, elle découvrit un havre de paix. Elle pensait devoir se défier des autres élèves, elle créa des liens puissants. Elle pensait que les sangs purs s’intronisaient maîtres des lieux, elle réalisa qu’ils restaient surtout entre eux et n’étaient pas plus dangereux que des brebis égarées.
Les années que Mérédith passa à Poudlard furent donc bien plus agréables qu’elle ne s’y attendait … Les cours? Oui, bien sûr qu’elle y allait. Mais elle était surtout là physiquement plutôt que mentalement. Elle s’amusait souvent à embêter les autres élèves, pour éviter de trop s’ennuyer. Pas que ce que disaient les Professeurs n’était pas intéressant, mais disons que Mary avait toujours été une fillette active et que cela ne s’était pas estompé lorsqu‘elle avait grandit.
Si la jeune fille se montra vite brillante en Métamorphose et en Potion, elle se retrouva rapidement à ne plus montrer de véritable assiduité en cours. Il fallait dire qu’en l’espace de 2 ans, elle avait potassé tous les livres qui lui étaient passés sous la main. Elle ne trouvait donc plus le même intérêt à ces cours qu’au début de sa scolarité. Mary en vint donc à faire la hargne de ses enseignants qui l’avait d’abord vu prometteuse puis tour à tour laxiste et dérangeante. Après les Potions et la Métamorphose, ce fut les Soins aux créatures Magiques qui eurent son attention. Mais là encore, elle s’en lassa en pensant orgueilleusement tout en connaître au bout de quelques années. Il en alla de même, dans le même temps, pour l’Astronomie. Par chance, aucune autre matière ne fut touchée par sa soif de savoir frivole et elle continua donc d’étudier … de temps à autre.

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Mérédith devait avoir 9 ans à cette époque. L’hiver régnait en maître et recouvrait le paysage d’une fine pellicule de neige. C’était une période estivale durant laquelle les enfants aimaient à jouer dehors. Malcolm et Mérédith ne faisaient pas exception. Ils y avait avec eux un autre garçon, d’un an leur aîné, et sa petite sœur, benjamine du groupe. Ils adoraient se retrouver tous les quatre et s’amuser jusqu’au dernier moment, où leur parents étaient alors obligés de venir les chercher eux mêmes. Cela devait faire trois an que le petit quatuor se connaissait et ils ne s’étaient que rarement quittés.
Or donc, en cette fin d’après midi d’hiver, ils s’amusaient au bord de la route. Quand, à un moment, leur ami s’approcha de Mérédith et la prit à part. Il lui fit alors un cadeau auquel elle ne s’attendait absolument pas! Des boucles d’oreille. Celles-ci étaient assez quelconques et appartenaient certainement à la mère du petit chapardeur. Mais aucun cadeau n’aurait put faire plus plaisir à la fillette. Ses oreilles n’étaient pas percées, ses parents n’en avaient pas vu l’utilité tant qu’elle ne le leur réclamait pas. La petite se promit alors de se faire percer les oreilles au plus vite afin de pouvoir profiter de ce joli présent. Elle s’imaginait déjà faire verdir de jalousie les autres filles de l’école en leur montrant le cadeau que William lui avait fait, à elle! Il fallait avouer que le jeune garçon était plutôt mignon et était déjà le centre de nombreuses convoitises à l’École moldue où ils allaient. Car, oui, les Hamilton avait décidé d’envoyer leurs enfants en primaire afin qu’ils profitent de toute l’éducation possible à leur âge. D’ailleurs, leurs amis aussi étaient des sorciers envoyé en primaire moldue.
Mérédith songeait donc au meilleur moyen de mettre en avant aux yeux de ses amies le cadeau qui lui avait été fait. William, lui, la couvait d’un regard significatif sans que la fillette n’y remarque rien, trop occupée par ses pensées existentielles.
C’est alors qu’un crissement de pneus se fit entendre, puis le hurlement de Malcolm. Mérédith eut tout juste le temps de se retourner pour voir une voiture filer à toute allure. William se précipitait déjà vers le corps, étendu sur le sol, de sa pauvre petite sœur. Mary avança doucement vers Malcolm pour le détourner de la vue de la fillette ensanglantée. Son frère avait vu le drame et, aussi vaillant qu’il ait toujours été, la petite Hamilton savait qu’il était profondément choqué. Qui ne l’aurait pas été à sa place?
Lorsqu’ils dînèrent ce soir là, un silence pesant régnait dans la demeure familiale. Les parents ne trouvaient nulle parole pour réconforter leur progénitures et ils jugèrent donc le silence comme la meilleure alternative.
Mérédith n’entendit plus parler de William pendant plus d’une semaine, jusqu’au jour où ses parents et lui se présentèrent devant chez eux. On les fit entrer, mais ils ne voulurent pas s’asseoir. Mary ne comprit pas tout aux paroles des adultes, mais elle n’était pas idiote. Elle sentit dans l’atmosphère comme des airs d’adieux. Elle tenta par tous les moyens d’accrocher le regard de son ami, mais celui-ci semblait obnubilé par le carrelage de la salle à manger. Juste avant qu’ils ne partent, Mérédith croisa, durant quelques infimes secondes, le regard de William. Elle y lut un désespoir profond, auquel fit place une haine étrange. Jamais elle ne lui avait vu ce regard. Elle sut à partir de cet instant que jamais plus ils ne partageraient ce qu’ils avaient vécu, cette amitié profonde et sincère.
La famille du garçon déménagea et les jumeaux durent se serrer les coudes afin de tenir le choc et se remonter le moral mutuellement.

Aujourd’hui encore, il arrive à Mérédith de repenser à tout cela. Elle ressent alors un malaise étrange. Le temps l’a aidé à cicatriser, mais ce genre de blessure ne se referme jamais vraiment. Elle s’est promit de ne jamais oublier les bons moments passés avec son ami d’enfance, voilà pourquoi elle porte toujours ses boucles d’oreille. Mais avec celles-ci ressurgit le triste moment qui allait les éloigner … pour toujours?

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Le caméléon croira toujours qu'il suffit de changer de forme pour échapper à tout.
Mérédith eut bientôt ce même état d’esprit, après la perte de ceux qu’elle pensait garder toujours auprès d’elle. C’est à partir de là qu’elle adopta la diversité comme trait de caractère majeur. Personne n’aurait put être plus changeante- d’humeur, de pensée et de corps- qu’elle. Elle commença aussi, peu à peu, à craindre l’attachement. Et comme la frivolité est la plus jolie réponse à l’angoisse, elle ne put, en grandissant, se fixer avec quiconque. Rares devinrent ses amis, et plus rares encore furent ceux pour lesquels elle éprouva des sentiments. Elle ne s’autorisait désormais plus d’affection sérieuse. A vrai dire, elle n’était plus le moins du monde sérieuse elle-même. Tout ce qu’elle pouvait faire était irréfléchis et parfois profondément stupide. Mais elle n’avait pas froid aux yeux, elle ne pensait pas connaître pire que la perte de son ami. A vrai dire, une seule chose comptait encore vraiment pour elle: Malcolm. Jamais un lien ne fut plus fort que celui qu’elle partageait avec son jumeau. A son sujet, elle devenait parfois complètement paranoïaque. Il ne pouvait rien faire sans qu’elle ne s’occupe de son intégrité physique ou mental. Par chance, cette période de paranoïa fut passagère et Malcolm recouvra un peu de liberté.

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La pluie battait contre les carreaux et un soupir s’échappa de la bouche de Mérédith. La jeune fille trouvait à ce phénomène beaucoup de mélancolie et elle ne pouvait, à chaque fois qu’il se produisait, s’empêcher de regarder les gouttes tomber tout en ressassant ses idées noires. La rentrée était proche, mais en attendant la jeune fille passait ses vacances en Irlande et le temps laissait à désirer pour un mois d’août. Heureusement, elle n’était pas seule et son frère l’aidait à sortir de sa torpeur de temps en temps. Elle qui était d’ordinaire si active se trouvait toute môle ces derniers temps. Certains auraient put y voir un signe que l’avenir allait lui réserver quelques surprises et son lot de désolation, mais Mérédith n’était pas de ceux là. La jeune fille ne s’était jamais sentie plus importante que quiconque, elle ne voyait donc pas comment son destin pouvait lui être signifier par des signes, surtout pas grandiloquents. Ce genre de chose n’existait, pour elle, que dans les films et il se trouvait justement qu’elle ne vivait pas dans une de ses superproductions moldues mais dans un univers bien réel. Certes, la Magie offrait à certains le moyen de se démarquer, mais tout le monde ne devenait pas célèbre. La célébrité … Depuis toute petite Mérédith rêvait de devenir quelqu’un. D’abord chanteuse, puis actrice, ou bien encore politicienne, elle avait fait le tour de tous les métiers qui permettait de faire surface. 1er Ministre! Voilà qui était un métier d’avenir … Oui mais lorsque l’on ne savait pas tenir en place plus de quelques secondes ce n’était pas le meilleur des choix. Elle songeait parfois à reprendre le projet que ses arrières grands oncles avaient lancé, mais seule elle ne pouvait guère aller bien loin. Longtemps, elle avait fait des recherches au sujet des Jumeaux Weasley. Depuis eux, il n’y avait plus eu de jumeaux avant Mérédith et Malcolm. Fillette, elle s’était donc beaucoup intéressée à ces deux frères de caractère. Ce fut d’ailleurs là la seule motivation qu’elle eut à propos du passé. Sa grand-mère et sa mère crurent d’abord qu’elle prêtait là de l’importance au passé et à ce qu’elles avaient à lui dire, mais abandonnèrent vite en réalisant que seules les ‘singeries’ qu’avaient put faire les Jumeaux Weasley l‘intéressaient.
Un nouveau soupir, et la pluie continuait toujours à tomber.

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Le trajet qui les mena à Poudlard, elle et son jumeau, fut long et pesant. Parfois, Mérédith croisait le regard de Malcolm et ils se souriaient gentiment. A mi-parcours, une jeune élève entra dans leur compartiment et commença à discuter avec Mary. Elle la félicitait pour l’Episode des Toilettes et ne tarissait pas d’éloges. La jeune fille fut ravie de voir que l’on s’occupait ainsi de ses coups d’éclats. L’Episode des Toilettes n’était qu’une bêtise parmi tant d’autres, mais c’était sa dernière en date. Cela s’était passé à la fin de sa cinquième année qu’elle avait trouvé trop sérieuse. Il fallait dire qu’il y avait des examens et qu’aucun élève ne songeait à s’amuser en une telle période. Mérédith avait tenu à dérider un peu tout le monde et avait donc préparé une petite farce dans les Toilettes. Ceux qui avait été prit au piège n’y trouvèrent aucun amusement, mais ceux qui les surprirent rirent de bon cœur. De toutes évidences, la fillette qui était venue féliciter Mary n’avait pas été la cible de cette farce. Il était vrai qu’être cible n’était que peu enviable, aux vues de l’étendu de l’humour de la jeune Hamilton, mais les victimes devenaient à leur tour spectateurs et les spectateurs devenaient un jour victimes. Ainsi tout le monde était content, même les Professeurs qui se faisaient plaisir en punissant la pauvre et innocente petite Mérédith, qui ne songeait qu‘à faire le bonheur de ses camarades.
D’ailleurs, notre innocente, revigorée par cette douce évocation de sa farce, réfléchissait déjà à un moyen de bien commencer cette nouvelle année au Château. La jeune élève à ses côtés jubilait, voulant à tout prix l’aider à mener à bien son prochain ‘bienfait’.

Les Portes de Poudlard s’ouvrirent bientôt devant Mérédith qui les franchit, un sourire aux lèvres, prête pour une nouvelle année qui se présentait sous de bons hospices. Du moins avait-elle la faiblesse de le croire.



Votre prénom? :: Margaux
Vous n’avez quel âge? :: 16 ans
Où avez-vous connu le forum? :: Sur Sweet Revenge
Comment trouvez-vous le forum? :: Pas mal ^^
Star sur votre avatar? :: http://brittsperspective.deviantart.com/
Avez-vous lu le règlement? :: (drôle de code pour un règlement xD)

Rolala, ça me fait plaisir! Je vous voyais mettre du temps à me répondre (je me doute que vous avez d'autres préocupations ^^) et je commençais à devenir paranoïaque! xD

C'est vrai que ma petite Mérédith est un peu tordue mais dans le bon sens! Après tout ce que j'ai put voir sur le fo' (et ce n'est pas un reproche ^^), je me suis dit qu'un perso un peu plus léger serait le bienvenu!

Des fautes d'orthographe? Oulala, je m'sens toute molle! xD T'inquiètes je vais voir ça tout de suite! (méchante Mary, méchante! *se tappe avec sa batte* )

Pas de soucis pour la répartition, vous pourriez m'envoyer dans l'équipe de nettoyage de Poudlard, que ça ne me gênerais pas! Comme je l'ai dit c'est celon les besoins du fo' parce que je ne prête strictement aucune importance aux maisons avec ce perso ci ^^

Oula, ma belle, calme toi hein! Je vous en veux pas de me faire attendre, je comprend et je suis patiente ... enfin, ça dépend pour quoi!

Voilà j'ai corrigé les fautes, du moins celles que j'ai vu ... Et j'en ai vu des belles! J'ai presque honte de les avoir faites mais, j'avoue, j'avais pas vraiment relu mon premier post xD * tend les doigts pour se faire frapper*

Aller, fais toi plaisir Kimmy, réparties moi