Rosalie Cullen |Terminé|

"Souffrez qu'une autre
En moi se glisse
Car sans logique
Je me quitte
Aussi bien Satanique
Qu'Angélique" MF

Une journée se levait sur la Grande Bretagne, et Rosalie ouvrit l'oeil en même temps que le soleil. Aussitôt, un grand sourire éclaira son visage encore endormis. Elle était toujours allongée dans son lit, sur le côté, le corps sur le côté droit. Elle s'assit sur son lit et s'étira voluptueusement. Il était encore tôt, et pourtant, elle s'était couchée tard pour fêter ses 16 ans, avec toute sa famille. Rose regarda sa chambre avec un oeil nouveau. Elle dormait dans un grand lit collé au mur, juste à côté de la porte. En face d'elle, une fenêtre basse éclairait sa chambre. Elle n'avait pas de rideaux ni de volet, car Rose estimait que ce n'était pas naturel. A sa droite une armoire se dressait, et à côté son bureau. Modeste choses, mais Rose y passait le plus clair de son temps à dessiner. Dans un renfoncement du mur, à gauche de son lit se trouvait sa coiffeuse devant laquelle elle passait de longues heures à coiffer ses longs cheveux blonds. Enfin ! Elle se leva, et se retrouva pied nu sur le parquet de la pièce et en chemise de nuit. Elle bailla, et sortit de sa chambre pour se diriger dans la salle de bain. Après avoir fait une toillette, et prit sa douche, elle retourna s'habiller et se coiffer. Elle entendit 8 heures sonner par sa fenêtre ouverte. Rosalie habitait un charmant cottage, dans un petit village aux environs de Londres avec ses parents et ses frères et soeurs, dont elle était la plus jeune, Edward, Alice, Jasper et Emmet, lesquel dormiraient encore au moins 4 heures ! Elle descendit l'escalier après avoir noué ses cheveux en un longue tresse, et prit son petit déjeuner dans la cuisine. Ses parents étaient déjà partis au travail, et Rose était heureuse. Elle n'en savait même pas la raison. Peut-être ce grand soleil, y était-il pour quelque chose. Oui, à la réflexion, il y était pour beaucoup. Rosalie était vêtue ce jour-là d'un pantalon blanc et d'un t-shirt rouge qui faisait resortir l'exeptionnelle couleur de ses cheveux. Elle engloutit vite ses céréales, pour se dépêcher d'aller dehors. Elle prit un vieux pull gris, et le passa en vitesse, avant de se ruer dehors. Elle inspira à pleins poumonts l'air frais. Aujourd'hui était le jour du printemps ! Ellle se sentait pleine de vie dans le meilleur des mondes. Elle rit d'elle même, et se dirigea au fond du jardin où se trouvait son abri à elle. Un hamac pendu entre les arbres dans lequel elle rêvait, ce qui était son plus gros défaut et dessinait. Rose s'y allongea et fit le point sur sa modeste et courte vie. Tout d'abord, elle repensa à son bulletin arrivé quelques semaines auparavant, et elle ne put retenir une grimace. Elle était une catastrophe dans bien des matières, et ses parents lui avaient passée un savon dont elle se souviendrait bien longtemps. Sa mère était sorcière, aucun de ses frères et soeurs n'avaient reçu des pouvoirs, mise à part elle. Pendant toutes ces années, sa mère l'avait entrainée, et voilà qu'elle avair reçu une lettre pour rentrer à Poudlard. Pour ses 16 ans ! Biensûr, il était un peu inhabituel qu'une élève fasse sa rentrée aussi tard, mais sa mère avait préféré la garder avec elle. Dieu sait pourquoi ! En tout cas, Rosalie ne lui en voulait pas du tout, au contraire. Elles se ressemblaient beaucoup autant sur le plan physique que mental, ce dont elle était très fière. Sa mère l'était moins, et Rose repensa fugitivement à ses notes exécrables. Elle soupira, et bien ce n'était pas sa faute après tout. Elle savait par contre dessiner à merveille, bien qu'aucune personne n'ait compris d'où cela lui venait. Elle eut un sourire. Rose était contente qye pour une fois, elle ait quelque chose que n'avaient pas les autres. Elle s'en sentait démarqué, et cela lui plaisait. Puis, à mesure que l'heure avançait des choses moins agréables lui revenaient en tête. En particulier la dispute entre ses parents survenus peu de temps avant son anniversaire. Elle ne les avait jamais vu aussi furieux l'un contre l'autre, et elle avait vaguement compris que son père avait une maitresse. Elle avait dabord était très surprise et choquée, puis plus elle y réfléchissait et plus elle se disait que c'était prévisible. Depuis un certains temps déjà, il rentrait tard, et sans explication. Rose avait bien sentit chez sa mère que quelque chose n'allait pas, mais elle n'avait pas cherché plus loin, ne voulant pas brisé le cocon familiale. Elle ne savait même pas comment elle l'avait découvert, d'habitude son père savait très bien mentir, oh oui, alors ! Pouvoir cacher un tel secret si longtemps était ardu.

*Peut-être l'a t-elle espionné ? Non, ce n'est pas possible, maman ne s'abaisserait jamais à ça....*

Mais en était-elle si sûre ? Après tout, ce n'est pas parce qu'elle était une sorcière qu'elle était forcément meilleure que les moldus. Mais elle avait dû au moins utiliser la magie. Et ça, son père auraut dû s'en douter. Rose tombait alors dans une impasse, et un pli soucieux barrait maintenant son front. Son père avait-il été moins vigilant ? Tant de questions, mais si peu de réponses. Elle en aurait crié de dépit ! Elle détestait ne pas comprendre, ne pas savoir ce qui se passait... Une légère brise soufflait, et quelques mèches de Roses virevoltèrent au près de son visage. Elle les chassa d'un revers de la main, elles la chatouillaient. Elle se balança un peu dans son hamac pour tenter de s'éclaircir les idées, mais rien n'y faisait, ses pensées revenaient toujours à ses parents. Elle n'avait pas encore osé demander quelque chose, et probablement n'aura t-elle jamais ce courage. Oui, ce n'était pas son fort, ça, le courage. Beaucoup à l'école la traitaient de "Poule Mouillée", et elle devait serrer les dents pour ne pas leur lançer un sort tant cela l'agaçait. Elle trouvait ça injuste ! Ce n'était pas de sa faute si elle avait peur de certaines choses qui étaient bégnines ?! Rosalie avait un côté enfant qui la rendait attachante avec son visage en forme de coeur et son joli sourire qui faisait apparaitre de délicates faussettes. Son caractère était plutôt facil à vivre, elle n'était pas téméraire, et n'aimait pas se disputer avec les autres. Elle tenait donc rarement tête à quelqu'un, sauf peut-être à Emmet son frère ainé, pour lui montrer qu'elle n'était plus une "gamine" comme il disait. Elle était douce et gentille. Seulement, ses yeux, d'un pleu glacial, juraient affreusement dans ce visage de poupom. Car si elle parraissait fragile et douce, elle était loin de ça. Certes, elle était peu courageuse... Néanmoins, il y avait chez elle une part sombre qui ne s'exprimait que rarement, mais Rose en savait l'existence, et elle en avait peur malgrè elle. Car elle pouvait plus se contrôler et ses faits et gestes, voir ses dires pouvaient devenirs cruels et sanglants. Ainsi, il lui était arrivé de torturer à mort une souris, dans un coin de la grange de ses grands-parents. Quand elle s'était "réveillée" de cette transe, elle avait eu un cri horrifie. Elle adorait les animaux en temps normal. Rosalie frissonnait encore de cet épisode du haut de ses 16 ans. Deux heures avaient passé, et aucun signe de vie n'était visible dans la maison, ce dont Rosalie était satisaite. Elle n'aimait pas être troublée dans sa méditation. Un cri de corbeau la fit perdre le cour de ses pensées, et elle leva la tête vers le ciel. Le soleil illuminait la campagnes anglaises, cependant le vent restait froid, ce qui expliquait le pull de Rosalie. Elle baissa la tête, et son regard se fixa sans le voir à un piquet de la cloture blanche qui entourait leur propriété. Rose était revenu bien des années auparavant, alors qu'elle venait d'avoir 12 ans...

FLASH-BACK

Rosalie était heureuse si heureuse ! Ce jour était le 20 décembre, et sa mère et elle était allée faire les achats de noêl à Londres. Elle aimait tant cette ville ! Londres... Avec toutes ses lumières, ses vitrines si colorées, ses grands magasins, ses salons de thé et ses grand sapins qui l'intimidaient. Elle avait déjà décidé que plus tard elle y habiterait, et lorsqu'elle avait dit son rêve à sa maman, celle-ci avait eu un vague sourire. Rose sur le coup n'avait pas compris, et c'était à ce moment le cadet de ses soucis. Londres à Noêl était magnifique. Elle était tellement rêveuse, que sa mère l'avait obligée à lui tenir la main, sinon, elle alait se perdre, et Londres était dangereuse. Rosalie avait était mécontente. Londres n'était pas dangereuse, c'était sa ville, et elle était belle. Elle ne pouvait s'empêcher de garder le nez en l'air à détailler tout ce qui pour ces yeux de petites filles étaient beaux. Et ce qui devait arriver arriva. Il faisait froid, et des flocons de neige commençait à tomber. les gens étaient emmitouflés dans leurs gros manteaux et leurx écharpes. Les trotoires étaient bondés, et Rose se fit bousculer plusieurs fois par des personnes avides de retrouver leurs chez soi, chaud et rassurant. Rose eut un moment d'innatention, et elle se laissa distraire par une chorale et elle lâcha la main de sa maman. Elle s'en rendit compte quelques temps après, et tourna sur elle-même, essayant de la retrouver. Elle n'était pas paniquée, Londres était sa ville, elle ne craignait rien. Elle était même contente, car elle allait pouvoir regarder comme elle le voulait toutes les décorations, mais à mesure qu'elle marchait, les vitrines devenaient moins somptueuses et plus espacées, et elle se rendit compte trop tard, qu'elle s'était aventurée dans les bas quartiers de sa ville adorée. Elle se forçait à respirer et à marcher correctement, et à ne pas laisser paraître qu'elle était perdue. Seulement, depuis un quelques minutes un homme crasseux la suivait à distance. Elle tourna à droite, lui aussi, elle s'arrêta pour traverser, il leva la tête en faisant mine de regarder les oiseaux. Rosalie prit alors peur, une montée soudaine d'angoisse la fit suffoquer, et elle commença à courir. La rue était déserte, et l'homme était sur ses talons. Elle aurait voulu crier, mais les cris restaient coincés dans sa gorge. Elle accéléra, lui aussi, et elle courait à présent comme une dératée, enfilant les toutes inconnues. Alors que l'homme était sur le point de la rattraper, un changement s'effectua soudain en elle. Elle s'arrêta brusquement, l'homme dut faire un brusque écart pour l'éviter, mais il réussit à s'arrêter à quelque pas, il fit volte face, et un sourire triomphant aux lèvres, il s'approcha doucement, passant sa langue sur ses lèvres minces et pleines de graisse. Ses maisn légèrement tendus en avant, comme pour la saisir, il s'approchait dangereusement. Mais Rose, n'avait plus peur, et son visage était maintenant dur et froid. Elle sortit la baguette, que lui avait achetée sa mère, et prononça à haute et intelligible voix

- Sectusempra.

L'homme la regarda avec de grands yeux supris avant de s'éffondrer à terre, des plaines béantes crachant leur flot de sang. Rosalie le regardait sans émotion. Il agonisait, et il allait bientôt être exhangue. Mais, elle ne fit rien pour l'aider, elle le regardait toujours presque avec curiosité à quelques pas de lui. Le sang de l'hommas venait lécher ses chaussures, et une grimace dégoût vint rompre son mutisme. Elle recula précipitemment, et toujours avec sa baguette, elle mumura cette fois-ci

- Recurvite

Ses chaussures redevinrent propres en même temps que l'homme lâchait son derniers soupire. Elle le regardait toujours sans émotion, puis elle rangea sa baguette, tourna les talons, et sans témoins du meurtre qu'elle venait de commettre que les oiseaux, elle tourna les talons, et repris sa marche. Elle trouva enfin un policier, et lui dit qu'elle était perdue. Elle se retrouva au poste une heure après l'incident, et après avoir attendue une demie heure, sa mère vint la chercher dans tous ses états. Elle était affolée, et ses yeux étaient rougis, signe qu'elle avait pleuré. Elle serra Rose dans ses bras, et remercia le ciel de lui avoir rendu sa fille. Rosalie, elle, faisait de son mieux pour lui rendre la pareille, mais rien n'y faisait, elle ne ressentait toujours rien. Elles rentrèrent à la maison, et sa mère reçu un hiboux du ministère de la magie la prévenant de la magie de sa fille. Elle eut un regard interrogateur vers Rose, qui toujours dans l'entrée se débarrassait de son manteaux. Elle rendit à sa mère un regard sans expression, et elle monta se coucher sans dîner. Le lendemain matin, Rose était redevenue normale, et sa mère ne voulant pas revoir sa fille dans l'état où elle l'avait trouvée, déçida de se taire.

Fin du FLASH-BACK

Rosalie revint lentement à elle. Elle détourna les yeux, et repensa à ce moment, se demandant ce qui lui était arrivée. Mais, l'heure avait tourné, et tout le monde était maintenant lever. Rose redevint la cadette insouciante, et un sourire aux lèvres, elle se dirigea dans la cuisine pour faire à manger car ses parents ne rentreraient pas le midi. Elle salua la fraterie. Seuls ses yeux restaient froids et presque... sanglants.
Quelques jours plus tard, elle faisait sa valise pour Poudlard, tous souvenirs oubliés, et elle chantonnait la lettre d'Elise. Bien que ses frères l'avaient déjà sommé de se taire. Elle leur avait répondu par une grimace, et Emmet avait levé les yeux au ciel, alorx qu'Edward et Jasper avait éclaté de rire. Elle les aimait, vraiment. Ils était 15h00, et il fallait prendre le train à Londres lorsqu'il serait 16h00. Enfin, elle la boucla, et elle la prit dans la main. Elle jeta un dernier regard à sa chambre, et descendit. Elle avait arrêté de chanter. Elle embrassa tout le monde, son père et sa mère étaient rentrés plus tôt exprès pour elle. Elle en était très fière. Puis, alors qu'elle faisait ses derniers adieux, sa mère chargea sa valise, et Rosalie monta dans la voiture. Lorsque la voiture démarra et quitta la bourgade de son enfance, elle ne tourna pas la tête, mais un sourire flottait sur ses lèvres, distrait. Elles parlèrent durant le voyage avec animation de Poudlard, école de sa mère. Elles durent courir dans la gare, pour ne pas louper le train, Rose n'eut le temps que d'embrasser sa mère avant de sauter dans le train. Elle chercha longtemps un compartiment libre, ignorant les regards curieux des autres qui ne l'avait jamais vue. Enfin, elle trouva son bonheur, et elle rangea sa valise dans le filet au dessus de sa tête. Elle s'assit auprès de la fenêtre, son sourire envolé. Une autre personne, une fille de son âge, entra.

- Je peux venir ? Il n'y a plus aucun compartiment libre...

- Je t'en prie !

Elle lui fit un sourire, et tandis qu'elle s'installait, elle démarra la conversation. Elles s'entendaient bien et avaient de nombreux points communs. Mais l'autre jeune fille qui s'appelait Daisy (oui, comme le canard XD), était mal à l'aise à cause des yeux de Rosalie. Elle pensait qu'elle n'en avait jamais vu de plus inquiétants et sombres... Mais elle oublia vite tout ça au profit de l'amabilité de leurs possesseur. Elles ne virent pas le trajet passer, elles parlèrent ainsi de poudlard ainsi que sa chute dans le mal, et elle se promirent de rester contact dans l'école. Un dernier sourire et puis s'en va. Rose descendit sur le quai bondé de Pré-au-Lard. Un faible crachat remplaçait le soleil qui l'avait rendu si heureuse. Peu lui importait, son éternel sourire était encore là. Elle monta dans une diligence tirée par des chevaux invisibles. Le véhicule s'élança, et une fille lui fit un geste de la main, dehors.

Elle s'appelait Charlotte.

Rosalie ne la connaissait pas.

Elle avait déjà oublié.

Questions Hors Jeu

Nom/Prénom :: Cullen Rosalie
Âge du personnage :: 16 ans
Âge hors RP :: 15 ans (le 7 août)
Où avez-vous connu le forum? ::Par un ami
Comment trouvez-vous le forum? :: Super!
Star sur votre avatar? ::Reese Witherspoon
Avez-vous lu le règlement? :: OK What a Face

Bonjour, et premièrement, bienvenue sur Impero

J'ai eu peur de lire la fiche de la Rosalie Cullen de Hogwarts, mais ça n'a pas été le cas, j'en ai été rassuré, et je dois dire que du point de vue RP, tu écris merveilleusement bien.

Certes, j'ai noté quelques erreurs d'inattention, et quelques mots manquants, mais la lecture est tellement entraînante que l'on n'y prête aucune attention.

Petite remarque, le sort qui déchire la chair d'un être humain, c'est Sectumsempra, et non Rictusempra, qui fait rire à s'en tenir le ventre à pleine main.

Autre point, ton personnage, il a deux personnalités? Genre, la schizophrénie? Car j'ai noté au début un caractère doux, tranquille, gentil, qui irait plutôt à Poufsouffle ou Gryffondor, puis le violent et sanglant côté qui irait tout droit à Serpentard.

Pourrais-tu m'éclairer ? (Peut-être est-ce clair, mais bon, pour moi ^^)

OUPS !!!

C'est vrai avec le sort j'ai perdu toute ma crédibilité, et j'ai donc édité.

Oui, elle a en effet deux personnalités, c'est peut-être génant, mais, je n'avais pas envie de faire le type de la petite fille bein rangée ou au contraire du monstre sanguinaire. J'ai donc eut l'idée de la schizophrénie comme tu dis. Si cela est génant pour me répartir, je l'enleverais, mais ce serait dommage. C'est la personnalité du personnage, et elle se veut dérangeante. Pour me répartir, les admins n'ont qu'à prendre en compte un des caractères.

Enfin, merci pour la bienvenue!

Un petit oubli, ou mélange, c'est sans conséquence dans un texte si bien rédigé, rassure-t-en.

D'accord, je préfèrerais que tu choissises toi même la partie de Rosalie que tu veux le plus exploité, et je te répartirai ensuite, car, théoriquement, une des personnalités à un léger avance sur l'autre. Si tu ne sais pas, j'essaierai de faire, mais je trouve plus plaisant de choisir que de s'en faire imposer.

De rien pour le bienvenue, d'ailleurs, c'est mon job

Je pense que le côté gentil est prépondérant. Cependant, il faut garder à l'esprit que son côté obscure s'exprimera de temps à autres surtout dans des situations qui pourraient lui faire du mal. Donc, en ces temps troublés... Bref, ne nous égarons pas. Le côté gentil, est le plus important !

Ton personnage me laisse franchement perplexe. Avec ce côté prépondérant, il est donc peut-être envisageable de l'envoyer à Serpentard, mais j'ai quelques appréhensions à le faire. Ça mettrait trop de l'avant la personnalité double qui est sienne, et ça me déplait.

La complexité est quelque chose à développer. Hors de question avec des notes pitoyables (à en lire ce que tu as écrit, bien sûr), de l'envoyer à Serdaigle. Poufsouffle, eh bien, ça pourrait être très marrant, reste à voir si cela te plait.

Oui, je pense que Serdaigle est déjà hors de question XD

Et bien, Poufsouffle, pourquoi pas ?! Je n'y ai jamais été répartis dans tout autres forums, en effet, ça peut-être amusant ! Wink

Je t'envoie donc dans la Maison d'Holga Poufsouffle.

Bon jeu!