Impero :: The damned Souls
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 Méredith Hamilton [ Terminée]

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Méredith Hamilton
Serpentard
Méredith Hamilton


Féminin Nombre de messages : 6
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Année et âge du perso : 16 ans
Maison : Serpentard
Coeur ? : L'Amour? Je prèfére la Raison...
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Citation - dicton: Mourir fait partie de la vie. Et ceux qui ont peur de la mort sont aussi ceux qui ont peur de vivre.
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MessageSujet: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1Dim 9 Mar - 1:10

Méredith G. Hamilton




« Au moindre revers funeste, Le masque tombe ; l'homme reste ; et le héros s'évanouit. »
[Rousseau]


    Il croyait aux héros…et moi, moi je les dénigrais. Pauvres Histoires enfantines racontées par une arrière grand-mère un peu rongée par la vieillesse. Un peu ? non…Trop. Des Histoires fantasques, uniques témoignages d’un passé disparu. De belles histoires brodées pour les rendre plus jouissantes et plaisantes. Des histoires stupides auxquelles on souhaite faire croire les plus jeunes. Certains appellent cela, un devoir de mémoire. Mais moi, j’ appelais cela, des conneries…
    Pures bêtises, pures histoires enjolivées auxquelles j’ avais cessé de croire, ou plutôt auxquelles, je n’avais jamais cru ! Un Héros…pathétique, les héros n’existaient pas ou bien si, dans l’imagination trop fleurissante de la patriarche des Hamilton. Gin’ qu’ils l’appelaient tous avant qu’elle ne quitte ce monde, cinq ans plutôt. Ginevra Weasley Hamilton de son vrai nom. Elle passait tout son temps à raconter ses histoires, son histoire…Elle parlait de cette guerre qui avait dévasté l’Angleterre, de ce Lord sombre et d’un certain Harry Potter… Des Histoires, toujours des Histoires. Un héritage comme elle le disait, l’héritage de notre famille. Parce qu’il ne fallait jamais oublier. Moi, j’en riais…je riais haut et fort de ces bêtises ! de ces absurdités ! Un enfant, un adolescent avait vaincu par deux fois un Mage Noir ? Des combats, une guerre…Et par miracle le Bien avait triomphé. Gin’ avait des manières de raconter cela qui aurait poussé un fou à la croire censée ! Elle était douée…douée pour faire paraitre le monde plus rose qu’il ne l’était. Mais le plus amusant n’était autre que lorsqu’elle décrivait ce héros de la guerre…ce Potter…un bellâtre paraissait il, un amant, son amant. Drôle. Risible. Et la question revenait toujours, je me plaisais à la lui poser sans cesse…Pourquoi ne pas l’avoir épousé ? Elle en était folle paraissait il, depuis l’âge de onze ans qui plus est. Alors un silence envahissait la pièce et Gin’ se mettait à réciter tous les noms des ancêtres des nobles lignées de sang pur des Hamilton et des Weasley. Cela pouvait durer des heures. Une enfance bercée de la sorte, entre contes et vérités, entre querelles fraternelles qui m’opposaient à lui…mon jumeau… Malcom. Lui il croyait à tout cela…il croyait à ces histoires fantastiques, aux aventures héroïques. Foutaises que je lui disais sans arrêt. Foutaises d’une vieille femme sénile. Je croyais en cette guerre, je comprenais les oppositions, je comprenais les motifs et même les arguments des opposants appelés à l’époque Mangemorts, mais je refusais d’écouter plus longtemps, Gin’ nous rabâchait sans arrêt qu’il fallait toujours croire que le monde pouvait être bon si on le désirait ! Pour moi, il fallait être naïf…si naïf… Parce que les hommes ne sont pas bons par nature ni par essence. Je lui riais au nez et je regardais Malcom avec insistance. Bien inutile de parler, lui, il sait, il sait ce qui se passe dans ma tête, il lit en moi comme dans un livre ouvert, il est ma moitié, il me complète autant qu’il s’oppose à moi. Deux entités, deux enfants. Parfois je le déteste. Je le hais comme je l’aime. Mais, je ne crois pas aux héros, je ne crois pas en la fantaisie stupide de notre arrière grand-mère qui aurait tant aimé nous guinder dans ses idées arriérées. Comme dirait Père, les temps changent !


« Le fou court après les plaisirs de la vie et trouve la déception ; le sage évite les maux. »
[Schopenhauer]


    Pourquoi pensais je à cela déjà ? Je ne sais plus….sans cesse je te regarde dormir. Je pose mon regard sombre sur toi, tu es venu rejoindre mon lit cette nuit, comme à chaque fois que tu te sens délaissé, seul dans ta chambre, tu reviens vers moi. Moi qui suis si différente de toi. Je te regarde dormir, ta respiration lente, tes cheveux blonds s’étalant sur l’oreille de soie sombre, ta peau diaphane, tout aussi blanche et parfaite que la mienne. Tu ne me ressembles pas, tu as les traits de Mère. Ou Maman comme tu t’amuses à l’appeler quand vous n’êtes que tous les deux, parce que tu penses que je ne vous entend pas, parce que tu penses que je suis loin de vous, près de Père. Maman…Ce mot, je ne le connais pas. Père a toujours choisi le respect à la familiarité et moi je m’y suis tenue. Le jour et la nuit. Gin’ t’a toujours préféré, tu étais l’enfant souriant et imprévisible qui croyait à ses Histoires, tu ressemblais tant à ces héros dont elle nous parlait. Et tu ressembles tant à notre Mère, les cheveux blonds, le sourire imminent… Moi, je suis l’enfant modèle, la parfaite aristocrate qu’a tenu à faire de moi, Père. Les manières délicates, le protocole entré dans mon esprit, la bienséance gravée à jamais dans mes pensées. Poupée de porcelaine, poupée de cire, je ne suis qu’apparence et façade et seul toi peux décrypter mon esprit enchevêtré de pensées les plus étranges. Enfants gâtées, il fut un temps où nous étions si proches, tu finissais mes phrases, je pleurais quand tu avais mal…le temps de l’innocence. Un temps révolu. Jumeau pour la vie, mais complices pour un temps. Aujourd’hui tu t’opposes à moi mais tu ne peux t’empêcher de regagner ma chambre lorsque tu es seul. Ces nuits à parler dans l’ombre alors que nous n’en avions pas le droit sont terminées…aujourd’hui tu te contentes de me regarder et je sais que tu me juges, que tu as mal, mal de me voir si différente, si froide et glaciale. Le sourire de l’enfance a disparu de mon visage si parfait et mon regard de marbre ne soulève que davantage cette froideur qui me rapproche tant de Père. Comme l’aurait remarqué Gin’, je suis le côté Hamilton, tu es le côté Weasley. Je suis l’aristocrate bien élevée et méprisante et toi le rebelle adorable et surtout adoré. Cependant, tu sais autant que moi que jamais tu ne pourrais me laisser…tu me dénigres au Château, tu me violente pour que je t’écoute et que j’entende raison… Tu te fais dur et sans appel…mais je sais que jamais tu ne pourras me laisser. Tu m’aimes, tu m’aimes trop. Je te perdrais…quand tu m’auras perdu. Tu cherches une vie de plaisir et de contentement… tu seras déçu Malcom. Moi, je n’attend rien, je fais partie de ceux qui n’imaginent pas un monde de perfection et de bonheur…j’attend simplement.
    Je te vois bouger lentement dans lit, le froissement des draps, je pose une main sur ton torse, tu te calmes peu à peu. Ma main parcoure ta chevelure d’or, une beauté surréaliste, un Dieu mythologique, une beauté divine. Si tu savais comme je te hais.


« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. »
[Pascal]


    Ces duels qui nous opposaient…Père tenait à nous opposer. Tout commençait par l’escrime, auxquels de nous deux seraient le meilleur, le plus vif, le plus intelligent. Jumeau. Mais tu avais un avantage…celui d’être un homme. Mère t’admirais, et elle t’admire encore…Père, te considérais… Et moi je me devais d’être à la hauteur, à la hauteur de ses espérances…Des espérances auxquelles je ne parvenais jamais, pauvre femme que je suis. Héritiers d’une prestigieuse mais surtout ancienne famille, nous n’avions pas le droit à l’erreur..mais toi aujourd’hui tu l’as. Tu as cette chose que je n’aurais jamais, la reconnaissance. Fils unique, il n’attend plus rien de toi, mis à part que tu lui fasses honneur. Mais chaque jour tu lui fais honneur en demeurant toi-même. Moi, le masque de marbre qui a voilé mon visage de porcelaine, dégoûte notre mère qui ne me vois qu’au travers d’une jeune femme détestable et endoctrinée par un Père exigeant. Mais je ne regrette rien. Je suis telle que je suis. Je souris au monde, et j’affiche une éducation sans faille. J’honore ma famille malgré l’enfant insouciante que j’ai laissé derrière moi. Tu me regardes, je sens constamment tes iris claires posées sur moi. Tu m’observes. Tu sais que tout n’est que façade et parade, mais tu ne dis rien. Tu ne peux rien dire. Je me refuse à te regarder, je me refuse à voir ton jugement, je me refuse à me contempler dans ton regard océan. Ai-je peur ? J’ai seulement peur de toi. Peur de ce que tu penses de moi, de ce que tu penseras de moi. Je plais à Père mais toi, tu détestes cette jeune femme de qui tu partages le lit et pourtant jamais tu ne te résoudras à la quitter. Le cœur dépasse la raison, ton cœur dépasse ta raison. Je souris de cela, je souris de ta faiblesse. Je suis ta faiblesse.
    Ma main posée sur ton cœur, je le sens battre. Je vis à travers toi, à travers ton sourire et ta vérité. Ton cœur bat plus vite et il compense le mien qui semble s’arrêter parfois. Je me renferme sur moi-même, alors que toi tu t’ouvres au monde. Je t’envie. Méredith Ginevra Hamilton…quel lourd fardeau que ce nom. Fille de James Hamilton et Camilla Nott. L’exigence est un fardeau dont tu as su te débarrasser, mais, mon amour, ton nom te rattraperas et je n’aurais de cesse que de te rappeler que la vie n’est pas Rose…


« L'indifférence donne un faux air de supériorité. »
[Joubert]


    L’aube. Je la vois qui passe les lourds rideaux qui couvrent les fenêtres de vitraux pourpres. Ces rideaux qui nous séparent du monde et nous renferment dans notre cocon. Je la vois qui arrive, elle sonne l’instant ou je vais devoir te laisser. Tu es si différent de moi. Je te contemple et alors je sens les rayons du soleil levant caresser ma peau ivoire. Il est l’heure, l’heure pour moi de retrouver ce masque derrière lequel je me dissimule. Je me dégage lentement des draps de soie, prenant soin de ne pas te réveiller. La soie glisse sur ma peau délicate et je sens alors ta main se poser sur mon bras. Tu es réveillé et je te soupçonne de l’être depuis déjà quelques minutes. Tu savais qu’en ouvrant les yeux, je partirais, retournant dans la bibliothèque m’enfermer au milieu de ces livres poussiéreux que tu hais tant. Je te soupçonne d’avoir voulu profiter de ces instants de plénitude encore quelques minutes, avant de me voir disparaitre. Que ne ferais tu pas pour me préserver, pour me garder à tes côtés. Tu sais que tu ne pourras pas me retenir bien longtemps, tu sais que je t’échapperais bien rapidement, comme lorsque tu me bloques dans les couloirs du Château pour une quelque conque discussion… Je suis comme la fumée, comme le brouillard, je suis volage et inaccessible. Plus encore, la perfidie ronge mes veines et souille mon sang comme un poison.
    Tes prunelles aciers sont posées sur moi, tu me détailles sans pudeur, et ton regard me brûle, il brûle ma peau comme les flammes ardentes de Satan lèchent encore l’antre de la cheminée de ma chambre. Tu attends que je me retourne, tu attends de pouvoir apercevoir mon regard noir, aussi noir que l’Enfer des Danaïdes. Tu rêves de pouvoir croiser mes iris, mais moi je fuis, je fuis sans cesse la confrontation. Je te laisse partager mon lit, mais je me refuse à t’affronter. Souvenir lointain des duels perdus. Tu connais mes pensées, je suis ta moitié. Tu ne te perds jamais dans le méandre de mon esprit. Alors, ta main se resserre sur mon poignet, tu veux que je me retourne, tu l’exiges, mais je reste fixe comme une statue Antique. Tu ne me céderas pas. Alors lentement mon visage de porcelaine se tourne vers toi, mes iris de braise se posent sur toi. Je te jauge du regard, mais je ne te juge pas. Tu m’observes et tu sais que tu ne pourras pas me garder à tes côtés. Cinq années maintenant que tu m’as perdu. Gin’ est partie et ces contes autour desquels elle nous ressemblait ont disparu. Je ne suis qu’un fragment de ton passé que tu aimerais voir revivre, je ne suis plus la petite Méri’ que tu aimais tant et cela tu l’as remarqué inévitablement. Chaque jour, tu assistes à ma déchéance au Château et tu désapprouves. Tu fais payé le prix fort à ceux qui partagent mon lit et tu insultes ceux qui partagent ma vie. Tu ne comprends pas… toi et moi, nous ne sommes plus que deux entités distinctes.
    Une nouvelle fois tu sers mon poignet, qu’attends tu de moi ? Le jour s’est levé. Le soleil a passé les rideaux, derniers remparts qui nous séparaient de nos vies respectives. Je te regarde, je suis calme, trop calme mais tu peux lire dans mon regard, que je regrette, je regrette de t’avoir perdu. Le temps passe, il change, mais jamais on ne revient en arrière. Mon orgueil me rend supérieure et cela tu ne le supportes pas. Alors je me penche vers toi, lentement, et je vient déposer un baiser à la commissure de tes lèvres délicates. Ma main fine vint caresser ta joue, tu l’attrapes violemment. Mais tu sais que tu n’as pas le choix, car c’est moi qui choisit. Je pars. Je me lève lentement, ma robe de nuit courte, caressant ma peau, alors que je me dirige vers la porte, ma main se pose sur la poignet. Tes yeux ne m’ont pas quitté, mais tu ne vois plus que mon dos et cette cicatrice sur mon épaule, cicatrice dont tu ne souviens que trop bien, héritage d’un duel, d’une leçon avec Père. Alors, une dernière fois je pose mes yeux sur toi, j’ai envi de te sourire, mais il n’en est rien. Aujourd’hui, nous repartons. Nous regagnons le Château, à partir de maintenant tu n’es plus rien pour moi. L’indifférence m’envahit et la Raison reprend ce qui lui est de droit sur le cœur. Je referme la porte derrière moi et un parfum d’amertume envahit la pièce alors que je sais que je te laisse une nouvelle dans une dérision totale. Un jour tu me pardonneras, tu pardonneras ma différence. Je le sais.


[2362 mots]


Dernière édition par Méredith Hamilton le Dim 9 Mar - 16:56, édité 2 fois
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Méredith Hamilton
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MessageSujet: Re: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1Dim 9 Mar - 16:53

  • Hors RP


Prénom : Marine

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Avatar : Anne Hathaway

Que pensez-vous du forum? J'aime particulièrement le disign mr green

Avez-vous lu le règlement?"Méfaits Accomplis"

Je suis navrée si ma fiche est un peu courte mais si je l'allongeais, j'aurais du décrire davantage mon personnage et je la préfère mystérieuse... Embarassed Bien évidemment s'il faut absolument que je rallonge ma fiche je le ferai pas de soucis, ou bien même que je change quelque chose dans mon histoire...
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MessageSujet: Re: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1Dim 9 Mar - 17:18

Bienvenue Mérédith !

J'ai envie de te dire que ta fiche est vraiment superbe !
Ce qui me dérange, c'est qu'elle ne soit pas écrite en RPG mais en POV ... A la première personne, donc.

Je veux bien tolérer, car c'est la fiche, mais j'aimerais que dans le RP tu écrives à la troisième personne, comme le demandent les règles Wink

Sinon, je suis pour que nous te validions sans plus de cérémonie, mais comme ton personnage est prédef, on va attendre l'avis d'un autre admin.

Encore une chose : Anne Hathaway est prise par l'un de nos anciens membres - Elea Ferstone- qui vient juste de revenir. Je suis désolée. Néanmoins, je pense qu'il existe plein d'autres actrices à l'allure ténébreuse comme tu as décrit Méredith !
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MessageSujet: Re: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1Dim 9 Mar - 17:28

Merci... Embarassed Contente que ça plaise. Quant au fait que j'ai rédigé à la première personne, et bien je dirais que c'était sous l'impulsion du moment, en temps normal je rédige à la 3e personne, mais là je sais pas... Enfin bref, ne vous en faites pas je rédige mes Rp à la 3e personne et non la première car je suis consciente que cela ne convient pas à tout le monde.

Pour l'avatar, d'accord j'en cherche un autre tout de suite et je le change. mr green
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MessageSujet: Re: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1Dim 9 Mar - 17:34

Oui, je comprend ^^ Bah c'est pas grave, si tu dis que tu écrit à la troisième personne dans les RP, c'est parfait Smile

Pour l'avatar, je suis heureuse que tu le prennes aussi bien. Il y a des personnes immatures que ça énerve. Quoiqu'il en soit, viens le signaler à ta fiche quand ce sera changé, et je te réservé ton actirce (ou autre) !

J'espère que nous aurons le plaisir de croiser nos plumes un de ces jours ^^
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Coeur ? : Enfermé dans une boîte, ne battant que pour sa soeur. Mais ceci ne serait il pas entrain de changer?
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MessageSujet: Re: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1Dim 9 Mar - 18:57

Il n'y a rien à dire, c'est une très bonne fiche et tu es validée sans attendre.

Pour ma part je te verrais bien à Serpentard mais j'attend la confirmation d'un autre admin pour confirmer ça. En tout cas ta fiche part dans les fiches validées. Bienvenue à toi Mérédith et bon jeu ^^
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Kimberlay L. Stephens
Admin
Kimberlay L. Stephens


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Année et âge du perso : 16 ans, en sixième
Maison : Gryffondor, si loin de toi, si près de vous
Coeur ? : Libre, sensible et fleur bleue
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Citation - dicton: Un jour, mon Prince viendra ...
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Dons: Animagus. Kimberlay est aussi comme un aimant, un être attractif que l'on aime facilement et forcément du à son aspect, son caractère. Ce n'est pas un don magique, cela fait partie intégrante de sa personne, c'est inné, c'est en elle. Comme une aura qui incite à l'amour sans conditions.

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MessageSujet: Re: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1Dim 9 Mar - 19:01

Serpentard, je te met ton rang et te fais rejoindre ton groupe ! Gros bisous love !
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MessageSujet: Re: Méredith Hamilton [ Terminée]   Méredith Hamilton [ Terminée] Icon_minitime1

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