Impero :: The damned Souls
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 Peter Hidwings

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Peter Hidwings
Serdaigle
Peter Hidwings


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Année et âge du perso : 16 ans ~> sixième année
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MessageSujet: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Sam 1 Mar - 19:01

Nom/Prénom :: Peter Hidwings
Surnom :: (S’il en a)
Âge/ Jour de naissance :: 16 ans, né le 13 Juin
Maison souhaitée:: Au choixpeau de voir…
Origine/Statut social et lieu d’habitation ::
Peter Hidwings est le descendant d’une vieille famille noble de Londres. Entièrement Moldue jusqu’à la naissance de ce dernier. Il habite une maison familiale dans les anciens quartiers de Londres.
Sang :: Peter est le seul sorcier de sa famille, qui est par conséquent entièrement Moldue
Baguette :: 35 cm, bois de Cèdre (du Liban), plume de phénix.
Année d’étude :: 16 ans ~> sixième année

***

Description physique :

Trèfle, la chance.
Peter avait eu de la chance, physiquement tout du moins. Le jeune homme possède des cheveux bruns foncés, mais pas assez pour que l’on puisse confondre leur couleur avec du noir. Ceux-ci sont souvent mal coiffés, quand il est à Poudlard tout du moins. Ses yeux gris attirent la convoitise, il y a dans ce regard toute la mélancolie cachée du monde, pourtant lorsque le jeune homme est dans son monde il arrive que se regard se détende et exprime au choix, la colère ou le bonheur. Mais exceptionnelles sont les fois où cela arrive, et rare sont ceux qui ont put se targuer d’avoir assisté à de tels moments. Ces yeux gris sont sans doute la seule chose, qui lui vient de son père. Car tout comme sa mère son nez est légèrement busqué et tout comme sa mère il a des pommettes saillantes lorsqu’il sourit, mais cela est sans doute du au fait que ce sont toujours des sourires trop forcés pour être vrais. Ses lèvres sont fines et bien dessinées, elles collent avec l’image du parfait héritier que sa famille s’acharne à lui donner. Ses épaules droites et carrées viennent du fait qu’il jouaient dans un club de Rugby étant jeune, sport Moldu auquel il voue un étrange passion qui consiste à ne regarder aucun des matchs du quinze de la rose. Il y joue toujours, mais seulement pour s’amuser lorsqu’il rentre chez lui durant les vacances. Mais si ça ne tenait qu’a lui il passerait ses journées à rêver sur les branches d’un arbre.

Pour ce qu’y est de son style vestimentaire, autant dire tout de suite qu’il ne lui appartient pas. Obligé dès sa plus tendre enfance de porter des tenues strictes et réservées. Des pantalons droits, noirs, assortis avec des chemises blanches, sans fantaisies recouvertes de vestes noires. De temps en temps une cravate, pour tenir le tout. Bien que Peter n’aime pas franchement ces vêtements il ne dit rien,au début, de peur de décevoir ses parents, et puis il faut dire qu’en matière de mode il n’est pas très callé, alors il se laisse habiller comme une poupée. Pour le plaisir égocentrique de ses parents, de sa famille. Après tout c’est lui l’héritier !



Signe distinctif :: Une famille noble, même si celle-ci n’est pas forcément riche, se doit d’inculquer les bonnes manières à ses rejetons, c’est pourquoi Peter se tient toujours le dos droit. Il a aussi une parfaite maîtrise du langage et des manières. Il n’hésitera pas à faire un baise-main à une demoiselle qu’il n’a jamais rencontrée. Tout du moins, c’était ce qu’il faisait en arrivant à Poudlard, il s’est depuis un peu relâché. Mais dans certains moments ces relents de bourgeoisies reviennent et le jeune homme effectue des gestes qui peuvent paraître vieillots comme une habitude.

***

Caractère
Peter Hidwings, glaçon de son état. Il faut vraiment creuser pour pouvoir apercevoir le cœur. Le jeune homme a appris très tôt à cacher ses sentiments, faire croire à une personne que l’on est attiré par elle, faire jouer son regard envoûtant, alors qu’on la déteste, et au contraire, faire preuve de mépris envers des êtres que l’on apprécie. Tel est le don de Peter, et aussi le devoir.
Le jeune homme est d’un tempérament doux et calme, il ne fait jamais parler de lui et est vite devenu maître dans l’art de faire tapisserie. Tous ses gestes sont calculés, rien n’est laissé au hasard. Détestant, plus que tout, l’hypocrisie qui règne dans le milieu bourgeois, il est capable de s’emporter violement, principalement contre son père, lorsque celui-ci l’oblige à apprécier une « vieille amie de la famille ». Car Peter a remarqué que toute la bourgeoisie de Londres semble être une « vieille amie de la famille », alors que, dans les grandes fêtes donnés par des « amis », les domestiques (les Hidwings sont trop pauvres pour en avoir) ne doivent que recevoir son manteau et son dédain. Le jeune homme joue la comédie à la perfection, mais abhorre le faites de devoir mentir sur ses sentiments. Il a la sensation de faire partie d’une immense farce.
Préférant de loin la bibliothèque aux grandes réceptions qui l’assomment, le jeune homme peut passer pour quelqu’un de taciturne, on le dit même asocial. Car, il est en effet très rare de le voir avec quelqu’un d’autre que lui-même. Il n’a pas de véritables amis, et encore moins d’amiES. Il préfère de loin la solitude et l’austérité de la bibliothèque familiale. Mais quand quelque chose éveille sa curiosité il est près à tout pour la satisfaire. Ce qui fait de lui un élève très apprécié des professeurs. Il est la fierté de son père lorsqu’il lui annonce qu’il est, une fois de plus, premier de sa classe, mais descend vite dans l’estime de Harold quand Peter affirme à celui-ci qu’il veut être médecin en Afrique.
Oui, le jeune homme a aussi un grand esprit de contradiction et fait tout pour se déroger au « règles ancestrales » qui régissent la vie de leur famille.
Un dernier point de son caractère, ses sœurs, la prunelles de ses yeux, sa vie. Le dernier d’une ribambelle d’enfants (sept au total), il fut choyé et adorer par ses frangines. Il a noué avec elles des liens qui dépassent ceux du sang. Des liens affectifs très forts, en particulier avec Elisabeth, la dernière qui n’a qu’un an de différence avec lui.
(Un minimum de 15 lignes est demandé)

Ce qu’il aime, ses passions
Parler de Passion est pour Peter, bien excessif, le jeune homme aime le sport, les livres mais sans plus. Il voue une étrange passion à un vieux jeu de carte retrouvé dans la bibliothèque familiale. L'héritier aime prédire l'avenir à ses soeurs et construire des château de cartes. Le jeune héritier aime les matin d’été, lorsque l’herbe sent encore la douce rosée, ainsi que la réglisse. Le jeune homme aime pouvoir décider lui-même, mais c’est rarement un luxe qu’il peut s’offrir.

Ce qu’il n’aime pas, ses peurs
Peter Hidwings à horreur de l’hypocrisie dont il doit faire preuve, pour lui c’est l’un des pires vices que la terre n’est jamais portée. Faire semblant que tout va bien, que la famille est heureuse et unie c’est comme jouer dans un théâtre réel. La pire crainte du jeune homme c’est de finir comme son père, soumis à ces gens riche et prétentieux, tout en essayant de faire vivre un simple nom de famille. Quoiqu’il n’apprécierait pas du tout devenir comme ces gens riches et prétentieux qui se moquent de son père. L’héritier déteste aussi les règles qui le font étouffer.
(5 lignes ici aussi)

Signe particulier
Nada...
(Animagus et autres (avec accord), maladie.)

***


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Peter Hidwings
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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Sam 1 Mar - 19:02

Histoire :

Pique « peurs, angoisses, stress »

Une maternité à la mode dans la bourgeoisie Londonienne, les places avaient été réservées avant même la conception de l’enfant. Dans la salle d’accouchement, une femme travaillait en silence, la peur se lisait sur son visage. Elle aurait pu être belle si la douleur ne déformait pas ses traits, si ses cheveux bruns ondulés n’étaient pas collés à son front par la sueur. Car oui, même si elle ne criait pas, la femme souffrait. Dans la salle d’attente un père qui va l’être de nouveau, un stress intense le reliait à cette naissance. L’homme était grand, il se tenait droit. Ses habits, quoique un peu vieillot collaient parfaitement avec l’image qu’il voulait donner de lui. Dans sa chevelure noire, les signes de l’age apparaissaient, de minuscules filaments blancs qu’il s’efforçait de cacher. Ses mains dansaient le ballet de son angoisse. Plus l’heure passait et plus l’homme s’emblait se voûter, déclinant avec l’astre du jour, il semblait se faner car il savait que c’était sa dernière chance. Stop, pour comprendre comment deux êtres humains pouvaient attendre dans la crainte un si heureux événement, il nous faut remonter le temps d’une vingtaine d’années.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Cœur « mariage, bonheur, couple »

Juin 1991
Un couple heureux se sourit sous une arche de fleurs blanches. La femme est belle, les joues légèrement rosées, le yeux verts pétillants et des cheveux rassemblés en un chignon sophistiqué laissant, en son centre et sur ses bords, échapper quelques mèches ondulées d’un brun foncé, mais pas assez pour être noir. La robe de la jeune mariée est blanche, vaporeuse, comme si ce n’était qu’un immense drap de voile fin. Mais, malgré cet air simplet, la robe est tout aussi compliquée que la coiffure. Le tissus s’éloigne et se rapproche du corps dans de formes harmonieuses et sensuelles. Le jeune homme dévore des yeux sa compagne, lui à les cheveux noir foncé, un air naïf, et de grands yeux gris qui font fondre la demoiselle. Son costume, fait sur mesure lui va si bien que l’on pourrait croire que son corps ne sert qu’à le porter. Derrière ce si beau tableau, un prêtre rabougris, tassé sur lui-même qui marmonne des promesses d’éternités, alors que le jeune couple ne veut vivre que l’instant présent. Les pauvres ignorants, s’ils savaient combien le future va prendre une place importante dans leur vie. Mais pour l’instant le mariage continu, les deux jeunes gens n’attendent qu’une chose, que le prêtre prononce les mots appropriés à ce genre d’occasion. Enfin ils retentissent. « Vous pouvez embrasser la mariée ». Quel beau moment, le publique applaudit. Les mariés s’aiment. Magnifique.
Le repas des noces est à présent bien entamé, arrive le moment des toasts, toute l’attention revient sur le patriarche. Lord Hidwings, un mythe a lui tout seul. Porteur d’une immense famille qui peine à trouver des héritiers. Il vient de marier le dernier avec une « jouvencelle » de la petite bourgeoisie, mais qui va considérablement remonter les caisses familiales. Comment ça nous sommes au vingt et unième siècle ? Ici, le temps semble avoir suspendu son vol. La famille Hidwings, une vieille famille, un vieux titre de noblesse, Lord. Pourtant, la richesse d’antan n’existe plus, les Hidwings sont pauvres et obligés de travailler. Le jeune monsieur Hidwings, ici le jeune marié, est avocat et la jeune madame Hidwings comptable pour les grandes compagnies. Le patriarche, Arthur Hidwings se désole de cette gloire perdue, mais ne peut se résoudre à vendre son titre de noblesse. Alors les mariages d’intérêts sont de nouveau d’actualités et si les jeune mariés s’aiment c’est encore mieux. Bref, le vieil Arthur lève son verre. S’ensuit un discours mémorable qui explique quelque peu la crainte des parents.
« - Nous sommes ici, par ce bel après midi d’été, pour célébrer l’union de deux familles, les Hidwings, et les Odons. Mais avant tout, si je lève mon verre aujourd’hui s’est à la gloire passée et à celle qui va venir. A la naissance d’une descendance, qui pourrait porter le titre de Lord de notre vieille famille. Tout commence par l’union de deux êtres, et ne suffit que la naissance d’un garçon, pour que puisse perdurer le nom des Hidwings. Bien entendu, notre nom est aujourd’hui enclin aux paris des sujets de Sa Majesté. A quand l’extinction totale me demandent-t-ils narquois. Il est vrai que notre famille à une forte dominance féminine. Je suis moi-même le seul garçon, d’une fratrie de six enfant, et Harold est mon seul fils, j’ai pourtant eu huit enfants. Ainsi, Harold, mon fils, futur Lord, tu as sur tes épaules et sur celles de ta jeune épouse, la descendance Hidwings. Enfin, je vous souhaites tous mes veux de bonheur, et serais ravis de vous laisser, en cadeau de mariage, notre maison familiale au cœur des quartiers de la vieille Londres. »
Les spectateurs sont surpris, alors l’Amour, le vieil Arthur n’y croit plus ? C’était pour ça les tests de fertilités songent les Odons…Pour la famille, toujours pour la famille pense enfin le principal intéressé, Harold.


~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Trèfle « naissance, garçon, héritier »

De nos jours

« Tout pour la famille »
C’est à ça que songe le père qui fait à présent les cents pas dans la salle d’attente. Tournant en rond, les mains moites rangées dans son dos, les yeux hagards. Il a peur, peur d’avoir encore une fille. Non pas qu’il n’aimait pas ses filles, il les adoraient et les chouchoutaient le plus qu’il pouvait. Mais Harold savait que cet enfant était la dernière chance d’avoir un fils. En effet, ils n’étaient plus tout jeunes, et ils avaient déjà eu six filles. L’homme pensait, à juste raison que sa femme ne supporterait pas une autre grossesse. La plus âgée de ses filles avait à présent vingt ans, elle habitait le quartier des affaires, la City. Pour être plus proche de son travail leur avait-elle dit. Mais Harold savait, et sentait que l’air de sa demeure familiale empestait les responsabilités et le stress de faire mourir le nom Hidwings. Alors qu’il se dirigeait vers la machine à café, afin de se resservir un énième gobelet de ce breuvage infect qui l’empêchait malgré tout de dormir, Harold Hidwings fut emporté dans un tourbillon blanc. Une jeune infirmière, le prit par la main comme un petit enfant et l’emmena devant sa femme, qui bien que fatiguée et en sueur, rayonnait d’un bonheur qui ne tarda pas à prendre le père dans ses bras. Un garçon, c’était un petit garçon. Peter, le descendant de la famille Hidwings…



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Pique « mort, hypocrisie, jeu de carte »

Peter Hidwings, dernier d’une fratrie de sept enfants, six ans, dans une bibliothèque sombre à vingt-trois heures trente. Qu’est-ce qu’un petit garçon peut-il bien faire dans une bibliothèque si tard ? Il bulle, feuillette des livres et prend conscience des choses qui l’entourent. Ses yeux gris sont contractés par la colère, ses lèvres serrées pour s’empêcher de pleurer. Le petit homme vient de prendre conscience de son malheur. Si bien caché par cette enfance joyeuse et insouciante dans le luxe et l’amour. Mais ce soir, il a compris que tout n’était qu’apparence et du haut de ses trois pommes engage sa guerre contre son père et la « haute » de Londres. Dans le salon, les gens parlent, ils semblent compatissant, un drame, laissant seule une famille nombreuse, que de responsabilité pour le nouveau patriarche. Peter n’en a cure, ces gens qui peuvent paraître tristes sont bien content, son père le premier, de l’argent de plus dans les caisse familiale…un héritage et un titre. En effet, Lord Arthur Hidwings est mort. Terrible glas qui a résonné à ses oreilles ce matin même. Un mort, le petit garçon n’a tout d’abord pas saisi le petit sourire qu’a eu son père, et puis quand Hannah, sa sœur, lui à tout dit, il s’est révolté. Comment un homme si loyal et pieux que son père pouvait il ressentir un moindre contentement à la mort du grand père de Peter, qui était aussi le père de son père ?! C’est l’apprentissage de la vie. Sur une étagère, il y a une forme rectangulaire. Une boite ? Le petit homme s’avance, et la saisie. Il l’ouvre, un tas de carte en tombe et se répand sur le tapis. Peter en ramasse une et va l’examiner à la lueur de la lune. *Roi de pique*, ça c’était son père, il piocha une autre carte *dame de cœur* sa mère et enfin une dernière *cavalier de pique* lui l’héritier de son père. Non, en aucun cas, il ne serait cavalier de pique. Alors le petit homme, ne sachant encore ce qu’il allait être ramasse le jeu de carte en vitesse. Des pas se font entendre dans l’escalier, c’est l’heure pour les petits garçons de se coucher, et en vitesse. Sa mère ouvre la porte et le prend par la main.
Demain sera un autre jour…


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Dernière édition par Peter Hidwings le Dim 2 Mar - 10:52, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Sam 1 Mar - 19:03

carreau « étude, bizarreries, mélancolie »

*excellent élève, cependant trop discret*
Le nouveau Lord parcourt, le regard joyeux, le bulletin de son héritier. Décidément, Peter est un garçon sérieux et responsable. Meilleures notes de sa classe, il reste pourtant loin des autres, plongé dans son monde, parfois ses pupilles grises se contractent en un accès de colère intérieur. Mais le plus souvent ces dernières restent froides et déconnectées du monde qui les entoure. Il fait ses exercices avec soin, trouvant que le cour n’avance pas assez vite. Il n’est pas surdoué, le jeune homme a juste bannis tout sentiment pouvant le distraire et n’aillant que les exercices à faire, il avance plus vite que les autres. Face au garçon, qui a, à présent, dix ans, Lord Harold Hidwings hoche la tête d’un air entendu. Il félicite son fils, les compliments glissent sur Peter comme de l’eau, sans l’atteindre. Celui-ci reste droit, les mains derrière le dos. Ces mains s’agitent, faisant tourner et retourner une carte, roi de pique, malheur. Bien entendu, Harold est persuadé que son fils l’écoute avec attention, le Lord est en train de dresser le plan de ses futures études. Peter sera avocat, dans son cabinet au début, puis il prendra son indépendance, voyagera, aura une femme, des enfants…un autre héritier !
Peter Hidwings ne l’entant pas comme ça, il sera médecin, en Afrique peut être ? Aider les pauvre, bannir l’hypocrisie dont fait preuve son père. Le garçon range sa carte dans la poche arrière de son pantalon. Il attrape le bulletin que lui tend son père, et monte les escaliers. Aller chercher refuge dans sa chambre, c’est son seul échappatoire. Une chambre austère, dans les tonds bleus sombres, pas de décoration, un lit, un bureau, une armoire. Le voila qu’il se met au travail, sort les cahiers de son sac, se plonger de nouveau dans les études pour oublier toutes les pensées qui s’acharnent à le torturer." Est ce que c'est mal de vouloir frapper son père? Oui, bien entendu..." Mais soudain la porte s’ouvre à la volée. Elisabeth, alias Beth, onze ans, bientôt douze, furie de son état, déboule en trombe dans la chambre de son petit frère. Lorsqu’elle le voit à son bureau, la petite mes ses mains sur les hanches et fonce les sourcils.

« -Monsieur Peter, mon frère, vous allez me faire le plaisir de vous aérer en vous promenant avec moi-même Beth votre sœur préférée qui en a plus que marre de faire ses devoirs ! Monsieur mon frère doit savoir qu’aujourd’hui est le début des vacances de printemps et qu’il ne s’avère pas indispensable que les devoirs soit faits ! »

La petite imitait formidablement la voix de leur mère. Et d’un geste vif, attrapa la main de son frère adoré pour le traîner dehors.
Le jeune homme se débattu, mais rien à faire, sa sœur avait le dessus. Pourquoi lui empêchait on de travailler tout son saoul, il aimait travailler, forcer son cerveau à penser à autre chose qu’à la réception de se soir. Mais Beth en avait décidé autrement, aujourd’hui ils iraient se balader, un point c’est tout. Les yeux de Peter lançaient des éclaires, et d’une réaction enfantine il poussa légèrement sa sœur. Alors que Beth aurait juste du reculer d’un pas elle fit un vol plané de l’autre coté du couloir. Le jeune homme ne s’expliquait pas cette réaction et courut au chevet de sa soeurette qui se releva pimpante. Lorsqu’elle vit la figure ennuyée du petit homme, elle le rassura en disant qu’elle avait bien besoin qu’on la remette à sa place de temps en temps. Laissant alors Peter à ses études, Elisabeth s’éloigna.
De retour dans sa chambre, le jeune homme songea que se soir il ne devrait absolument pas répondre de manière si enfantine, après tout il avait dix ans, presque onze…ce n’était pas rien, son père avait organisé une grand fête. Ce serait le défilé familial. Toutes les têtes du jeu de carte qu’était sa vie. Sur le rebord de la fenêtre il construisait un château de carte, quand celui-ci fut assez haut à son goût il souffla dessus, faisant voleter quelques cartes. Un jour sa vie ferait pareil, elle s’effondrerait pour revenir à zéros. Pour l’instant il fallait étudier, lorsque son père l’appellerait il irait mettre son costume, mais pas avant.

Pique « Hypocrisie, fête, lettre »

Il était enfin descendu, Peter Hidwings, onze ans. Les invités remplissaient la salle, discutant dans des costumes impeccables. Toutes les têtes étaient présentes comme l’avait prédit le jeune homme. Sur un buffet, au centre de la pièce, il y avait un monticule de cadeau, et à coté une pile de lettres. Le garçon serra les dents et descendit l’escalier. Il y eu des « ho » et des « ha » sur son passage, c’était donc lui l’héritier tant attendu, le jeune homme brillant de la famille Hidwings. Il y eu des embrassades, des commentaires, des sourires forcés, des deux cotés, qu’est ce qu’il détestait les réunions mondaines. Il y eu des présentations, des jeunes filles à venir lui tourner autour, que Peter dédaigna pour aller voir Beth. Il y eu les rires de ses sœurs, qui lui frottèrent fraternellement la tête, et puis Elisabeth qui l’entraîna plus loin. Les adultes n’avaient pas besoin d’eux. La petite fille, quoique plus grande que Peter, le poussa dans un placard, et alluma la lumière.
« -Si tu me dis l’avenir avec tes cartes magiques, je te dis quelque chose que tu as envie de savoir »
Ah, les cartes de Peter, oui, car depuis ce jour là, ou du haut de ces six ans, le garçonnet avait ramassé le vieux jeu de tarot du vieil Arthur, les cartes étaient une passion. Il s’amusait à dire la bonne aventure à ses sœurs, leur racontant l’arrivé d’un prince charmant. Beth était familière des prédictions qui, quelques fois s’avéraient justes. Si la petite aimait tellement entendre Peter lui prédire l’avenir, c’était que les histoires ne se répétaient jamais. Alors dans ce cagibi, le soir de son onzième anniversaire, le petit Peter, lu l’avenir dans ses vieilles cartes.
Six de carreaux, une note moyenne au prochain contrôle, sa sœur gronda (elle avait toujours des notes moyennes), valet de cœur, un nouveau petit ami, qui durera au moins trois mois, la jeune fille voulu en savoir plus. Roi de pique, papa ne sera pas d’accord, silence. Dame de cœur, maman sera contente, sourire de Beth. Cavalier de carreaux, les sœurs s’en mêleront, ça Beth le savait déjà, leurs grandes sœurs se mêlaient toujours de tout.
Peter allait tirer une autre carte quand sa sœur l’en empêcha. Elle avait visiblement très envie de lui dire le truc qu’il devait lui-m^me avoir envie de savoir (celon elle). Le jeune homme reposa alors sa carte et suivi sa sœur hors de l’armoire. Celle-ci le guidait vers la pile de lettres. Des lettres de vœux hypocrites que Peter avait envie de mettre au feu. Pourtant, il y en avait une qui n’était pas comme les autre. Une écrit sur un manuscrit anciens, et que Beth retira du lot. Cette lettre l’intriguait maintenant au plus haut point et le jeune homme s’en empara. Il la décacheta, tout en observant le joli P enluminé en haut à droit de l’enveloppe. Tout en lisant, ses yeux s’agrandissaient. Une école de sorcellerie ? Rien que ça ! Le jeune homme espérait de toute force que ce ne soit pas un canular. Lui un sorcier ? Cela expliquerait des chose, mais c’était à peine croyable, et puis, les sorciers n’existaient pas, tout le monde le savait. Pourtant la lettre avait l’air vraie, il tourna la tête vers Beth, elle seule pouvait lui expliquer ça.
« -Comment tu savais pour la lettre ?
-Eh bien, le hibou qui l’a apporté a du se tromper de fenêtre, c’est moi qui l’ai reçue, je ne l’ai pas lu je te le jure ! Mais, j’ai su que ce n’était pas une lettre de vœux…personne n’utiliserait un sceau pour une carte d’anniversaire. Alors tu partiras là-bas ?»

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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Sam 1 Mar - 19:05

Trèfle « chance, départ, château »
Quatre mois plus tard, Septembre.

Peter poussait ses valise dans la gare de Londres. Il n’arrivait pas à croire ce qu’il lui arrivait. En quatre mois, trois monsieur s’étaient succédés auprès de son père pour le convaincre ce c’était dans l’intérêt de leur famille que Peter aille dans cette école…Poudlard. Perce que Peter était un sorcier, que s’il restait dans ce monde des catastrophes due a la magie qui sommeillait en lui allaient se produire. L’accident de la matinée n’était pas le premier et ne serait pas le dernier…. En effet ce matin même, Peter avait fait léviter une ancienne théière et quand le garçon s'était aperçu de ce fait, il avait paniqué et par la même occasion laissa tomber la téhière qui se fracassa sur le sol. En quatre mois, ce dernier avait eu la confirmation que ce n’était ni un rêve, ni une farce, en quatre mois il avait eu le temps de réaliser que finalement il allait pouvoir partir loin de cette famille qui l’empoisonnait. C’était donc ça son nouveau départ, l’effondrement de son château de carte. Le garçon passa la barrière, et se retrouva face à une magnifique locomotive avec écrit sur le coté "Poudlard express" plus de doute, c'était bien ici. Prenant garde à ne pas laisser ses émotion transparaître il s’installa. Rangea ses bagage et attendit le départ. Il était en avance par rapport à l’horaire, mais le jeune homme avait tenue à partir le plus vite possible, coupant cour a la cérémonie d’adieu qui lui était du. Sa famille en faisait toujours trop, vêtu de ce costume trois pièce il allait passer pour un bourge, mais il était parti tellement rapidement de la fête qu’il n’avait pas eu le temps de l’enlever. Le train se mit en route, Peter passa une bonne partie du voyage à somnoler.
Le château, le château, ces murmures se répandait tout le long du train, et le petit homme ne pu s’empêcher de coller son nez à la vitre. Une fois qu’il eut bien admiré il enfila sa robe de sorcier et se tint prêt. Il était tout proche de ce nouveau départ, il le sentait. Et lorsqu’il entra dans la grande salle pour la première fois, le jeune homme sut qu’il venait de trouver sa nouvelle maison. Seule Beth allait lui manquer, et sa mère peut-être.

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Pique, cœur, trèfle, carreaux « disparition, bonheur, chance, études »
Six ans plus tard

Les semaines avaient passées, les années aussi. Peter avait trouvé un deuxième chez lui, tout était pour le mieux. Mais depuis quelques temps quelques temps certaine choses le rendait mal à l’aise, lui qui était si distant, ne pouvait pas fermer les yeux plus longtemps. Le château se vidait de ses élève, c’était un fait. Des disparitions qui faisaient frissonner tout le monde. Il aurait du avoir peur, mais le bonheur qu’il avait à se trouver là, et la chance qu’il possédait d’étudier toutes ces choses si intéressantes, tellement plus que les cours Moldus…suffisait à éclipser cette minuscule tache sombre. Toujours armé de son jeu de cartes, il n’était désormais pas rare de le voir faire des château à la bibliothèque, ou sur le rebord d’une fenêtre, songeant à Beth, qui à Londres grandissait et s’embellissait à vue d’œil. A ses mimiques déçue quand il lui disait qu’il n’avait pas de copine, alors qu’elle collectionnait les petits amis. Mais Peter se rattrapait bien vite en parlant de toutes les bizarreries du collège. Oui, vraiment la vie était parfaite.


Hors Jeu
Votre prénom? :: Tifenn
Vous n’avez quel âge? :: 14 ans
Où avez-vous connu le forum? :: Bouche à oreille ^^
Comment trouvez-vous le forum? :: Super !
Star sur votre avatar? :: Gaspard Ulliel
Avez-vous lu le règlement? :: Oui… Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven What a Face c’est ça naon ?
Combien de mots fait votre fiche ? (Sans compter les questions) ::


Dernière édition par Peter Hidwings le Dim 2 Mar - 11:03, édité 2 fois
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Sherkane L. Aberkane
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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Sam 1 Mar - 19:41

Je me permets juste une petite intervention rapide (je supprimerai mon message par la suite si cela gêne nos admins).

Pour être franche, je n'ai pas lu toute ta fiche, peut-être l'explication se situe-t-elle plus tard mais dès les premières lignes, j'ai cru déceler une incohérence, au niveau de la baguette.

Il me semble qu'en Grande-Bretagne, dans l'univers d'Harry Potter, seuls trois éléments sont utilisés pour les baguettes: crin de licorne, nerf de coeur de dragon ou plume de phénix. Je me trompe peut-être mais je n'ai jamais ouïe parler d'un autre oiseau employé dans les baguettes. Que quelqu'un me corrige si je me suis trompée, mais je pense qu'il faudrait modifier cela =/

A part cela, ta fiche a l'air très prometteuse tongue
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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Sam 1 Mar - 20:09

Okidou, je ne savais pas qu'il y avais des éléments exclusifs, je m'empresse de corriger ça...
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Marine de Valois
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Marine de Valois


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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Dim 2 Mar - 12:48

Coucou et Bienvenue sur Impero ! cheers

Merci à Sherkane qui avait tout à fait raison pour les éléments qui composent la Baguette Magique.

Sincèrement, j'ai trouvé ton personnage très attachant, vraiment, il me plaît beaucoup et je suis d'autant plus impressionnée que ton niveau d'écriture soit si bon pour quelqu'un de 14 ans. Tu n'es pas la première de ton âge à écrire vraiment bien, mais cela m'épate toujours autant. :coeur:

Pour en venir au fait, j'ai beaucoup hésité entre deux maisons pour ton perso. Son coeur de glace, sa capacité à dissimuler ses sentiments et cette distance qu'il a avec les autres me faisaient penser à Serpentard.

Mais d'un côté, on peut voir dans ta fiche une fragilité, un mépris de l'hypocrisie et un amour des études qui font de toi, selon moi, un


SERDAIGLE !


Bon jeu !

PS : Je laisse le sujet ouvert si un autre Admin veut donner son avis sur ta fiche, mais je ne voulais pas te faire trop attendre donc je te répartis. Wink
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Nathaniel Duncan
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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1Dim 2 Mar - 19:43

Euh bon allez je viens à la rescousse de notre ami Smile

Et qu'est ce qu'on fait des baguettes avec des cheveux de vélanes, des nerfs de coeur de dragon ?

Je pensais justement clarifier ça au cours d'un sondage ou quelque chose du genre.

Parce que si on doit s'amuser à faire des variantes avec trois éléments on n'est pas couchés.
Je pensais qu'on pourrait accorder les baguettes qui proposent des éléments magiques logiques. Pas de nerf de sombral quoi, mais tant que cela reste raisonnable je pense qu'on pourrait l'accorder nan ?
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MessageSujet: Re: Peter Hidwings   Peter Hidwings Icon_minitime1

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