Impero :: The damned Souls
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 Maelys Whyte

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MessageSujet: Maelys Whyte   Maelys Whyte Icon_minitime1Jeu 11 Oct - 1:32

J'ai décidé de faire un mélange des genres. Pour les détails insignifiants et ceux que je n'ai pas réussi à mettre dans ma fiche RP, ce sera une liste, mais pour le reste, ça se retrouve dans le RP.

Nom/Prénom ::
Whyte, Maelys
Surnom :: Beuh… mon cœur, pour sa mère ? Whyte, pour les non intimes ? Et puis… essayez donc de raccourcir Maelys !^^
Prononciation :: À l'anglaise, soit Mé-liss ( le lys du mois de mai !^^)
Âge/ Jour de naissance :: 15 ans, le 9 mai
Baguette :: 23,5 cm, Bois de saule, souple, excellente pour les enchantements, avec un ventricule de cœur de dragon, pas particulièrement puissante, mais très attachante et très facile à manier.
Année d’étude :: 5e année
Style vestimentaire :: Maelys aime s'habiller en jupe et elle se donne involontairement des airs de petites filles sages, avec ses cheveux toujours bien coiffés, pas une mèche auburn de travers. Elle a dans sa malle des teintes pastelles de bleus et de violets, mais aussi du vert pomme, du noir et du blanc. Elle a quelques jeans, une ou deux salopettes, tous sans formes, de gros pulls, des blouses et des gilets plus légers toujours mal ajustés, un peu trop grand, pour cacher ses formes beaucoup trop féminines, beaucoup trop adulte. Il lui arrive aussi de porter des t-shirts aux dessins de fleurs et de papillons, de fées et de princesses de contes de fée. Elle se maquille rarement, voire pas du tout, mais elle porte toujours de discrètes boucles d'oreilles en anneau, en forme de fée, de fraises, de cerises et… de papillons ! Autour du cou, elle a des colliers achetés un après-midi de juillet au marché à ciel ouvert du coin avec sa cousine de douze ans, de petites merveilles d'artisanat. Aux pieds, elle porte des bas collants (avec des jupes), des bas noirs, violets, bleus, marines et des espadrilles de toiles ou des souliers de cuir ou de suède noirs ou bruns. Sa démarche un peu voûtée est dû à son sac mauve qu'elle a toujours sur le dos, rempli de livres et de matériaux de peinture.

Fiche en RP


« Ma puce, viens ! »

« Mais maman ! T'as vu le papillon ? Il était énorme ! Il avait de belles ailes noires et orange ! »

«Un monarque, mon amour. Allez donne-moi la main.»

« Maman, je ne veux pas y aller. Je ne veux pas te laisser toute seule ici. Et puis, qui va s'occuper de mes poissons rouges ? »

« Je ne t'abandonnerai jamais ma chérie. Je serai toujours là dans ton cœur. Je vais te dire un petit secret. Tu vois les papillons ? Eh bien ce sont des mamans qui cherchent leur enfant, car les aléas de la vie les ont éloignés l'un de l'autre. Et les chenilles, ce sont des enfants qui ont perdu leur maman et qui essaient de la retrouver. »

« Mais alors… la vie est méchante si elle m'éloigne de toi. »

« Non Maelys. La vie a ses secrets et ses desseins cachés. On ne les comprend pas toujours et on peut même les maudire parfois, mais tôt ou tard, on se rend compte que la vie avait eu raison d'agir ainsi envers nous car à chaque fois, on n'en sort que plus fort. »

« Je ne comprends pas…»

« Ce n'est pas grave. Lorsque tu seras plus vieille et que tu repenseras à ta maman papillon, tu comprendras. »

Son grand regard rappelait les marécages : un mélange de vert et de brun, semblable à celui de sa mère, mais on n'y trouvait pas ce pétillement caractéristique de l'espièglerie, - bien qu'elle en fût capable, - qui avait habité les grands yeux de Janice Whyte. C'était plutôt une sorte de mélancolie habilement cachée derrière un masque de jovialité et de bonne humeur qu'elle n'avait guère le temps de mettre si l'on croisait par inadvertance ses yeux, ce qu'elle évitait le plus possible.

Elle s'appelait Maelys Whyte. Et elle aimait les papillons. Oh non ! Pas cette passion cruelle des entomologistes qui exhibaient les insectes les plus rares tels des trophées. C'était plutôt une longue histoire d'amour qui existait depuis sa tendre enfance. Lorsque Janice avait eu son accident cérébral vasculaire, les papillons étaient devenus plus important que jamais aux yeux de la petite Maelys qui allait entamer sa première année dans une sorte d'école étrange et merveilleuse à la fois qui se nommait Poudlard. À cette époque, elle était persuadée que le monde de la magie recelait des miracles de mystères qui aideraient sûrement sa maman à guérir. Elle avait passé des mois enfermée dans l'immense bibliothèque du château, y mangeant et y passant le plus clair de son temps, bien plus encore que dans la salle commune qu'elle trouvait trop bruyante et bondée. Mais lorsque vers le mois de mai, ayant épluché la plupart des traités de médicomagie, elle s'était rendue compte que les sorciers d'ordinaire ne faisaient pas d'ACV, c'était comme si sa maman l'avait quittée une seconde fois. Elle s'était alors jurée de ne jamais pénétrer dans l'univers sombre et cruel des adultes et qu'elle resterait à jamais une enfant, comme ce Peter Pan du conte de J.M. Barrie que sa maman lui racontait lorsque Maelys n'avait que trois ans...

Et Mr Whyte dans tout ça ? Francis Whyte souffrait beaucoup du départ précipité de son amour d'enfance. Francis Whyte et Janice Smith avaient été voisins et amis depuis ce fameux jour, lorsque la petite Miss Smith était allée retrouvée le jeune Mr Whyte et qu'elle lui avait demandé de sa voix douce et innocente :
« Veux-tu jouer avec moi ? » C'était ainsi qu'avait débuté la longue et belle histoire d'amour entre Francis et Janice. Leurs parents s'amusaient à dire qu'ils étaient prédestinés de par la rime que faisait leurs deux prénoms mis bout à bout. Et, évidemment, il avait fallu nommer leur fille unique de manière à ce que son prénom rime aussi, ce qui avait beaucoup amusé les grands-parents de l'enfant. Francis, Janice et Maelys… Le trio familial d'artistes que tout le monde enviait... Mrs Whyte était peintre et elle peignait les plus beaux paysages qui soient, bien plus encore depuis son ACV, qui ne lui avait laissé que l'hémisphère droit de fonctionnel, l'hémisphère des artistes. Mr Whyte était photographe professionnel. Il travaillait dans un journal et photographiait les événements d'actualité. Mais bien plus que cela, il faisait aussi des expositions itinérantes à gauche et à droite. Avant l'accident de Janice, il lui était souvent arrivé de partir à l'étranger afin de suivre ses expositions, et il ramenait des merveilles de souvenirs de New York, Tokyo, Shanghai, Paris, Moscou, Québec… Mais maintenant, il ne pouvait plus se le permettre. Il se contentait de prendre soin de son épouse et d'accompagner quelques journalistes un peu partout dans les environs de Glasgow. Lorsqu'il s'absentait et que son père ou ses beaux-parents ne pouvaient se déplacer, il devait payer à prix d'or les services d'une infirmière qualifiée dans l'assistance aux personnes victimes d'ACV. Ces dépenses inévitables et exorbitantes grugeaient sur le revenu qui, autrement, aurait été consacré à des petites folies et à des voyages. Mais Maelys n'avait jamais souffert d'un manque quelconque d'un point de vue monétaire. Il y avait tellement de choses plus importantes dans la vie… Une mère en bonne santé, une famille aimante, les papillons. Et la peinture.

La peinture… Maelys s'amusait parfois à dire qu'elle n'avait que deux amants; les papillons et la peinture. Dans sa famille, l'on s'amusait à dire qu'elle avait commencé à peindre avec le matériel de Janice avant même de savoir marcher ou parler. À quinze ans, il suffisait qu'elle ait sous la main un papier et des pinceaux (mais une plume pouvait faire l'affaire également) pour laisser libre court à une kyrielle d'images qui consistaient l'essentiel de son jardin secret rempli de couleurs. Le monde imaginaire de celle qui refuse de vieillir, qui veut rester indéfiniment avec un cœur d'enfant.


« Vas-tu un jour te décider à devenir une adulte ? Tu as quinze ans, bon sang ! »

« Je ne veux pas. Le monde des adultes est hostile et froid. Je refuse ! »

« Et moi je refuse que ma fille gâche encore son été à rêvasser sur le bord de la fenêtre de sa chambre ou encore à peindre. Les contes de fée, ce n'est plus de ton âge. Il va falloir que tu aides ta famille. »

« Mais j'aide maman en peignant avec elle. C'est le seul moyen qu'on a pour communiquer. »

« Maelys, dès demain j'irai porter ton CV au restaurant du coin. Je veux que tu réalises que la vie ce n'est pas l'illusion que tu imagines, tu ne pourras jamais gagner ta vie convenablement avec la peinture. »

« Regardez qui parle ! Monsieur le photographe qui a épousé une peintre ! »

« Justement… regarde dans quel état est ta mère… et puis je… j'ai trouvé un emploi comme fonctionnaire à la ville. C'est plus payant que les quelques centaines de livres que je ramène avec mes photos. »

Les larmes noyèrent le marécage. Et la tornade se leva, couleur automne, grimpant quatre à quatre les marches qui séparaient la porte d'entrée du triplex de celle de l'appartement au sous-sol qu'occupaient les Whyte depuis treize ans déjà. Maelys fuyait ce qu'elle détestait tant, ces adultes qui laissaient tomber leur rêve pour quelque chose d'aussi volatile que de l'argent. Cet argent qui menait le monde et qui soulevait les passions, cet argent synonyme de pouvoir qui faisait abandonner aux uns leur rêve le plus fou, leur désir le plus profond et aux autres leur passion la plus violente, cette même passion qui les faisait vivre bien mieux que ne le feraient l'air et l'eau, pourtant si essentiels à la vie. Et voilà que son père, son héros, l'incroyable Francis Whyte succombait lui aussi à cet argent et abandonnait la photographie. (Si l'on disait de Maelys qu'elle était pratiquement née un pinceau à la main, l'on prétendait aussi que Francis avait vu le jour un appareil-photo autour du cou.) Son père incarnait désormais ce que l'adolescente haïssait du plus profond de son âme, ces adultes qui reniaient leur rêve, leur désir ou leur ambition pour une question d'argent.

Maelys s'était arrangée pour donner le minimum de disponibilité au restaurant du coin et elle passa un été horrible à laver une montagne toujours plus grosse, toujours plus énorme de vaisselle. Et elle se mit à souhaiter pour la première fois que cet été se termine enfin, qu'elle retourne à Poudlard pour la cinquième fois déjà, qu'elle puisse serrer à nouveau sa fine baguette de saule tachée de peinture et tellement attachante. À l'image de sa propriétaire qui s'entendait bien avec tout le monde, mais qui ne considérait personne comme un véritable ami, cette personne à qui, selon les ouï-dire, on n'avait aucun secret. Maelys n'avait raconté à personne que sa mère n'était plus comme avant, qu'elle était devenue muette et qu'elle communiquait désormais à l'aide d'images, qu'elle ne pouvait plus bouger le côté droit de son corps et qu'elle était désormais guidée par des émotions et non par sa raison. De toute façon, personne ne l'aurait comprise puisque les sorciers ne faisaient pas d'AVC. Aucun de ses camarades ne faisait des cauchemars parfois dans lesquels ils revoyaient sans cesse leur mère étendue sur le sol de la cuisine, inerte, le dîner à peine entamé sur le comptoir, les ambulanciers et leur regard peu confiants, le chirurgien peu convaincu qui venait dire à une enfant éprouvée que sa maman ne serait peut-être plus jamais comme avant. Aucun sorcier ne pouvait comprendre cette douleur, cette rage, cette injustice. Et Maelys ne se sentait pas le courage de leur raconter, de tenter de leur transmettre une infime partie de cette douleur qui l'envahissait dans ses moments de solitude encore aujourd'hui, quatre ans après ce fameux jour de juin. Tout ce que Maelys avait trouvé pour éviter les questions embarrassantes c'était de donner l'image rassurante de la fille enjouée, un peu distraite et toujours prête pour épauler ces gens qui la considéraient comme leur amie et à qui ils pouvaient se confier sans peine car jamais Maelys n'irait répéter ces secrets insignifiants aux autres, secrets qui lui donnaient des envies de rire. Mais la jeune artiste n'avait pas la force, pas le courage de retirer ce masque et d'affronter réellement ces autres, si semblables et si différents à la fois. Elle n'était pas prête, elle était encore trop naïve. Après tout, elle n'était encore qu'une enfant. Une enfant de quinze ans, tout simplement.



Questions Hors Jeu

Nom/Prénom :: Solène, à moins que ce ne soit le nom du personnage ? Dans ce cas, c'est Maelys Whyte.
Âge du personnage :: 15 ans
Âge hors RP :: 17 ans, et toutes mes dents bien droites grâce à la magie de l'orthodontie.
Où avez-vous connu le forum ? :: Par Fenrir aka Etiolana aka Luke aka Kimberley (c'est bien ça ?), indirectement.
Comment trouvez-vous le forum ? :: Très sombre, très gore… J'aime ça !^^
Star sur votre avatar ? :: Si la tendance se maintient, Alyson Hannigan
Avez-vous lu le règlement ? :: What a Face Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven !^^ Mais je me demandais… pourquoi juste des stars ? Pourquoi pas de dessins ?
Combien de mots fait votre fiche ? :: 2049
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Marine de Valois
As de ♥ - A d m i n
Marine de Valois


Féminin Nombre de messages : 95
Age : 34
Année et âge du perso : 6ème année-16 ans
Maison : Serdaigle
Coeur ? : Libre
Date d'inscription : 23/07/2007

Feuille de personnage
Citation - dicton:
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Dons:

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MessageSujet: Re: Maelys Whyte   Maelys Whyte Icon_minitime1Jeu 11 Oct - 8:58

Bonjour et Bienvenue sur Impero !!

Alors, ton personnage est original, rêveuse et enfantine, ca change de la plupart qui ont une maturité trop développée, donc j'aime ce point.

Ta fiche est mignonne, bien écrite, adorable, et c'est avec plaisir que j'accueille un personnage qui ramènera un peu de douceur dans ce morbide Poudlard.

J'avais alors pensé à Poufsouffle, pour ta légèreté, ta douceur, et le fait que tu t'entendes bien avec tout le monde. Attend l'avis d'un Admin qui te confirmeras !! Very Happy
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Eliane M
Invité




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MessageSujet: Re: Maelys Whyte   Maelys Whyte Icon_minitime1Jeu 11 Oct - 11:36

Bienvenue sur Impero!

J'avoue que le fait que tu es fait un troisième style de fiche me gêne un peu. Après nous nous sommes décarcassés pour que vous ayez 2 types de modèles ce n'ets pas pour que vous en utilisiez un troisième. Mais bon, je passerai pour cette fois. Mais si quelqu'un d'autre à l'audace de le faire... ça ne passera pas.

Sinon comme la dit Marine la fiche est le caractère de Maelys est agréable simple et rafraîchissant. Je ne vois aucune nécessité de déléguer plus longtemps ta validation. Et tout comme Marine, encore une fois, je pense que ton caractère correspond à une Poufasouffle. Donc, bienvenue chez les jaunes et noirs. ^^

Au passage nous obligeons à prendre des célébrité pour être sur que vous possédez des avatars photos. Nous sommes totalement contre les dessins. Un avatar dessins ne faisant pas réaliste. Or nous primons le réalisme.

Je te conseille aussi de faire une demande dans la partie graphisme car cet avatar est un petit peu trop flou.
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MessageSujet: Re: Maelys Whyte   Maelys Whyte Icon_minitime1

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