Fay Costigan

Faire confiance c'est se destiner à être trompée

• Nom/Prénom ::Costigan, Fay
  
  
• Surnom :: Pupuce (mais à éviter, ce ne sont que ses parents qui l’appellent ainsi )
  
  
  
• Âge/ Jour de naissance :: 16 ans, 25 Décembre
  
  
• Maison souhaitée :: Serdaigle ou Serpentard
  
  
• Origine/Statut social et lieu d’habitation :: Fay est d’origine irlandaise, une nationalité qui supporte assez peu les anglais, et qui le leur rendent bien. La jeune fille a grandit avec les préjugés et clichés de ceux-ci, mais n’en tient absolument pas compte. Elle habite avec sa famille à Wiclow, une ville au sud de Dublin au bord de la mer d’Irlande. L’harmonie avec la nature et de prime dans la maison familiale bordant les falaises rocheuses d’Irlande. Très bucolique… Mais pas passionnant pour une petite jeune lorsqu’on ne trouve que des retraités dans cette petite bourgade.
  
  
• Sang :: Mêlé, comme beaucoup de sorciers aujourd’hui, bien que son grand-père se vante sans cesse d’avoir un aïeul sang-pur .
  
  
• Baguette :: 25,4 cm, bois de frêne - promesse de renaissance et des bienfaits de la mer - écaille de sirène.
  
  
• Année d’étude :: Sixième année
  

ι'νє нєαя∂ ωнαт тнєу ѕαу,
вυт ι'м иσт нєяє ƒσя тяσυвℓє

Description physique

Commençons par les cheveux, critère de beauté très important chez une fille. A première vue ils paraissent très bien coiffés, lisses, et renvoient de jolis reflets bruns clairs. Mais ce résultat est obtenu seulement après une séance intensive de coiffage, lavage, lissage, et application de multiples crèmes de soin. Sans ça, les cheveux de Fay sont aussi rêches que la paille. Le fait d’habiter sur la côte d’Irlande bien iodée y est sans doute pour quelque chose. La jeune fille refuse néanmoins à les couper, et préfère les garder longs malgré les longues heures passées dans la salle de bain à coiffer les mèches rebelles.

Elle a le visage fin et ovale, piqué ici et là de quelques tâches de rousseur à peine visibles et le teint très clair. Ses yeux légèrement en amande et de couleur de jais viennent durcir le visage de porcelaine de la jeune fille. Bien malgré elle, Fay fut la seule parmi les enfants Costigan à ne pas avoir les yeux bleus perçants de son père. La jeune fille passe la plupart de son temps à essayer de radoucir quelque peu son regard. Dans un contexte où règne la suspicion, mieux vaut se montrer sous son meilleur jour, quitte à porter un masque.

Le nez à présent. Fay complexe dessus depuis qu’elle est gamine. Il n’est pourtant pas proéminant, mais lorsqu’une fille fait une fixation sur quelque chose, difficile de l’en détourner.
Dans l’ensemble, la jeune fille s’inscrit dans la norme. Grande d’environ 1m62, elle compense sa « petite » taille par la magie des chaussures à talons. Seule ombre au tableau, Fay est très fine et n’a pas beaucoup de formes, elle tente donc de cacher son physique qu’elle juge ingrat grâce à des vêtements souples et amples, sans pour autant délaisser son apparence.

Bien sûr tout cela n’est que subjectif, comme beaucoup d’adolescents, Fay ne supporte pas son physique. Elle ignore complètement ce que pensent les autres d’elle à ce sujet.

Signe distinctif : Détient une tâche de naissance sur le poignet intérieur droit.




Caractère

Fay a un caractère paradoxal, dans toute sa profondeur. Il est assez difficile de la cerner, encore plus de l’apprécier à sa juste valeur, bien malgré elle. La plupart des personnes qui la connaissent ne grattent pas la surface de sa personnalité, ne voulant pas faire l’effort de comprendre le pourquoi du comment.

La douceur, fait partie intégrante de sa personnalité. Fay est une personne très sensible, de ce fait on lui suggéra très souvent de jouer d’un instrument ou de se mettre à l’art dans un terme général. C’est une jeune fille très douce donc, en premier lieu avec les personnes en qui elle a entière confiance. Elle possède une sorte d’empathie naturelle et déconcertante. La première chose qui frappe chez Fay, c’est sa capacité à saisir et comprendre les émotions et les sentiments d’une autre personne en face d’elle sans pour autant les ressentir. N’ayant pas de très bons souvenirs de ce don particulier, étant maintes fois exclue à ce titre de ses camarades moldus lorsqu’elle était toute jeune, Fay n’en parle quasiment jamais.

La froideur, pour se forger une carapace. Parce que dans ces temps de suspicions, Fay préfère ne pas se livrer au premier venu. Sans pour autant être cassante avec n’importe qui, elle a tendance à vite se montrer glaciale et cynique lorsqu’elle se sent menacée ou dominée. La jeune fille aime avoir en partie la situation en main, et savoir ce qu’elle fait. En ce sens par réflexe de défense, Fay peut se montrer exécrable, seulement pour tenter de se montrer forte. Elle pense qu’il n’y a qu’ainsi qu’elle pourra s’en sortir. Et dans ce cas, les insultes et les moqueries fusent…

La sagesse, parce que la jeune fille, mine de rien, en connaît un paquet sur diverses matières de sorcellerie. L’apparition de ses pouvoirs étant petite ayant mis du temps à venir, Fay se plongea dès l’âge de neuf ans dans tous les livres de ses parents qu’elle pouvait avoir sous la main. Elle espérait ainsi attirer la chance et voir ses pouvoirs se manifester. La vieille magie, la magie médicale, la métamorphose, les sortilèges… De ce point de vue là, Fay fut très précoce, bien qu’elle ne pouvait appliquer les sorts. Néanmoins, la jeune n’est pas une grosse tête pour autant, si elle prit de l’avance à cette époque-ci sur ses camarades sorciers, elle en est aujourd’hui au même niveau, bien qu’elle possède une large culture.

La dissipation, car il faut bien savoir s’amuser dans la vie, même par les temps qui courent. Fay n’est jamais la première à la bibliothèque, mais adore prendre de l’avance sur les autres lorsqu’il s’agit de se donner rendez-vous quelque part pour passer un après midi agréable autour d’une bièraubeurre. Elle aime, comme beaucoup d’autres adolescents, faire les quatre cents coups lorsqu’elle le peut, et est incapable de rester en place.

La joie de vivre fait aussi partie de Fay. Extérieurement parlant la jeune fille est toujours là pour trouver le bon côté des choses. Elle a horreur de se plaindre de ses malheurs, et tient à remonter le moral de ses amis lorsqu’ils ne vont guère bien . Ses parents ont d’ailleurs l’habitude de l’appeler le « rayon de soleil » -hormis le pupuce mais passons -. En effet, la jeune fille apporte de la fraîcheur… lorsqu’elle est entourée.

La tristesse se cache derrière ce masque de gaieté. Lorsqu’elle se retrouve seule, il arrive souvent à Fay de déprimer, de se persuader qu’elle ne sortira jamais vivante de Poudlard. Il est rare de la voir pleurer, néanmoins il est déjà arrivé qu’on la croise avec un visage dépité et abattu. Ceux qui la connaissent peuvent décrypter derrière son sourire triste, une once de morosité.


Ce qu’elle aime, ses passions

Le Quidditch en premier lieu, du moins le regarder, car Fay n’est pas une grande sportive. Il est d’ailleurs peu probable qu’avec son frêle physique, elle puisse tenir plus de cinq minutes sur un balai poursuivi par des cognards… Elle aime beaucoup se retrouver avec ses amis, cela la rassure et la réconforte. Se sentir entourée est ce qui lui permet de se sentir le plus à l’aise, ainsi elle ne se laisse pas aller à la morosité. Paradoxalement (tout comme son caractère) Fay aime se retrouver avec elle-même de temps en temps, histoire de se vider l’esprit.


Ce qu’elle n’aime pas, ses peurs

Fay est assez spéciale dans son genre. Entendez par là qu’elle déteste le CHOCOLAT, hait la ST VALENTIN, et prétend que le ROMANTISME poussé lui file des boutons. Elle a horreur du PUDDING, des dragées surprises de BERTIE CROCHUE, pense que les premières années devraient travailler AUX CUISINES avec les Elfes de Maison, et adore effrayer ceux-ci en leur promettant des CHAUSSETTES… C’est une MANIAQUE du rangement, et se promène toujours avec dans son sac un livre ORIGINAL intitulé « Comment torturer gentiement ses ennemis pour sorciers pressés » -juste au cas où- Et enfin, si elle avait à faire face à un épouvantard, disons que sa plus grande peur serait la mort de ses frères Stefan et Aaron.


Signe particulier
Don d'empathie si possible

ι ωιѕн ι ¢συℓ∂ ¢нσσѕє вєтωєєи
нєανєи αи∂ нєℓℓ

Histoire

Fay grandit paisiblement entourée de ses parents et de ses frères Aaron et Stefan, et eut une enfance paisible. Rien de très particulier à signaler en ce qui concerne sa tendre enfance, mis à part que Fay vit le jour un 25 Décembre… Noël et son anniversaire réunis un même jour, ce n’est pas en soit ce qu’un enfant rêverait le plus. Elle fut scolarisée dans l'école primaire la plus proche, s'intégrant très vite parmi ses camarades, grâce à sa grande sociabilité. La scolarité de Fay se faisait dans la petite école moldue du coin, telle une petite fille normale, excepté les fois où étrangement la craie s’envolait comme par enchantement des mains du professeur lorsque celui-ci avait l’audace de mettre la petite Fay au coin pour la punir d’une quelconque bêtise.
Bref, aucune ombre noire de ce point de vue là. Fay éprouvait une affection toute particulière pour Aaron, qui s'avérait être surprotecteur envers elle. Cela pouvait s'avérer être agaçant lorsqu'il refusait de jouer une petite partie de Quidditch avec elle par peur qu'elle ne se blesse.
Stefan de son côté, hautain et moins sentimental, ne noua pas de liens forts avec Fay. Ils sont d’ailleurs aujourd’hui en froid, et ne se parlent que très peu bien qu’ils se croisent tous les jours au sein de Poudlard. D’après Aaron, ce dernier serait jaloux de sa jeune sœur, qui aurait bénéficié d’une plus grande attention de la part de leur père que les autres.
Les parents de Fay ne lui cachèrent jamais qu'elle était du monde des sorciers, conscients de la maturité de leur fille et sachant pertinemment qu'elle n'irait pas ébruiter le secret. Néanmoins Fay aimait emprunter les livres de magie de son père pour les étudier théoriquement, et par peur d’être cracmol. Néanmoins, le fait d'être sorcière ne lui apportait pas que des avantages.



- Je fâne sans la coupe de tes lèvres sur les miennes.Laisse moi m’abreuver de ton amour.

Il lui donna un baiser. Le vent froid glissait sur sa peau insensible à l’air glacial qui ne lui laissait qu’une impression de pétales de roses glissant sur ses épaules. Tous les deux, dans leur bulle protectrice, ne voyaient pas le monde qui les entouraient. Rien n’importait. Et pourtant… Un moldu, une sorcière, quelle chance ? Aucune. Lorsqu’on ne peut tout dévoiler à l’être aimé, l’âme se tourmente et se ternit. En ce frais matin d’Octobre, Fay n’avait d’yeux que pour lui. John. Leur première rencontre remontait à leur petite enfance, ils avaient grandit ensemble. Bientôt, le couple dut se faire à l’idée que dix mois dans l’année, ils ne se verraient pas. Par un mensonge subtil, Fay avait confié au jeune homme qu’elle se devait d’aller en pension, très loin, quelque part en Ecosse, sous demande de ses parents. Quelque chose de perceptible dans l’air, comme si chacun savait qu’en cet instant allait se jouer leur futur. Comme si John savait. Fay s’y était préparée il y a déjà de longues semaines. Il serra ses mains dans les siennes, et lui offrit un sourire.

- Mes parents m’ont donné l’autorisation de te suivre en Ecosse. Nous ne serons plus séparés.

Elle lui sourit, touchée. Des perles salées montèrent néanmoins au coin de ses yeux de jais. La gorge serrée, Fay ne parvenait pas à sortir un mot, et se contenta de lui sourire sous les yeux interrogatifs de John. Pourquoi pleurait-elle? Elle devait se résigner. Partir maintenant, arrêter ici, ou bien ils souffriront d’autant plus. En cet instant, elle ne pouvait lui avouer son appartenance au monde des sorciers. Mais Fay ne pouvait se résigner à sortir le grand jeu. Celui qui mettrait un terme à leur idylle.

-Tu me donnes trop de choses. Ces derniers temps tu es tout ce dont j'ai besoin…

* Tiens moi, peu importe ce que cache ce matin. Tiens moi encore. Plus rien ne sera comme avant.*

La jeune fille baissa la tête, serra un peu plus les mains dans celles de son aimé pour se donner du courage. Le cœur battant, elle s’apprêtait à sacrifier leur amour pour ne pas le blesser d’avantage.

- … mais je… je pense que nous devrions arrêter là. Je ne peux aller plus loin… avec toi.

Chaque mot était supplice, chaque bouffée d’air était torture. Fay lui lâcha les mains à contrecoeur et recula, le regard baissé, cachant ses larmes par ses longs cheveux tombant sur son visage. John ne disait plus rien, abattu. Ce qui s’ensuivit ce jour là, Fay ne s’en souvient plus… Ou refuse de se le remémorer. Elle leva les yeux vers lui, et lui offrit un dernier sourire, faible. Avec son visage encré dans sa mémoire seulement, elle savait qu’elle serait heureuse.

"Je ne pense qu'aux sourires que j'ai rencontré tout au long de ma vie...
Tout va mal, dit-on. Avec l'espoir, on peut toujours voir quelque chose de joli, même si c'est inutile."
Fay

A Poudlard, Fay tenta de l'oublier, et changea littéralement, en raison de ce qui se tramait dans l’école et de cette mélancolie qui désormais ne la quitterait plus. Elle s’affina dangereusement, fondant de mois en mois sous les yeux impuissants de ses proches, du fait du stress envahissant Poudlard. Son caractère se raffermit également, toujours aux aguets, Fay ne faisait plus confiance en personne. Elle fut d’ailleurs exclue de son premier groupe d’amis, à force de tensions dans l’air.



- Pourquoi t’as le mot de passe de la salle commune ?
- Nous sommes plusieurs, Ellen, à le posséder.
- Bien sûr… Et toi tu es la pure innocente, l’amie parfaite en qui l’on peut avoir confiance. C’est étrange tout de même, que dans un claquement de doigts tu puisses faire partie des « élus »…
- Des élus ? Tu délires complètement !

Debout devant le tableau dont le regard coulait de l’une vers l’autre, tel un public regardant une partie de tennis, les deux jeunes filles commencèrent à hausser la voix. La tension était palpable dans l’air, l’atmosphère électrique. Les deux amies subissaient les affres de la suspicion et de la crainte régnante au château.

- Charlotte elle-même dis que tu fais des choses bizarres !
- Bizarres ? Demanda-t-elle interloquée
- Fais pas l’idiote Costigan, comment tu as su pour le décès de sa grand-mère? Et ne me dis pas que tu n’as rien à voir là dedans. McLister s’est réveillé les mains en sang avant-hier, et c’est toi qui l’as vu la première !
- Je comprends pas…

Son raisonnement devenait de plus en plus incohérent. Il n’y avait même plus de logique. « Le décès de sa grand-mère » Ce jour-ci le don d’empathie de Fay s’était éveillé, et avait décelé en Charlotte un flot de tristesse insupportable. Par le biais de déduction, d’analyse et d’un brin de conversation, elle avait réussi à comprendre la détresse de sa camarade…

Son amie de toujours, une jolie blonde aux cheveux longs, commençait littéralement à perdre le contrôle de son esprit. Ce qu’elle cherchait, ce que tout le monde cherchait, Ellen tentait par tous les moyens de le trouver en Fay… Un bouc émissaire… Quoi de plus naturel, l'être humain avait toujours eu besoin depuis la nuit des temps de reporter ses peurs, ses angoisses, parfois même ses erreurs sur autre chose ou quelqu'un d'autre. Pour se sentir mieux. Il fallait donc mettre un terme à la conversation au plus vite, le parfum léger de Fay précédait son geste, elle esquissa un pas afin de tourner les talons, mais Ellen l'attrapa alors fermement par le poignet, insondable.

- J’en ai parlé aux autres, tu ne fais plus partie de ceux qui détiennent le mot de passe, Costigan. Et t’approches plus de nous !

Ainsi Fay dut se défaire de ses amis de toujours, avant de s’en faire de nouveaux, mais plusieurs mois après. A la douleur s'ajoutait la honte de la douleur, le manque de confiance en elle et à son entourage allait en grandissant. L'amitié arriva néanmoins avec son appanage se soulagement. Ses nouveaux amis, qu'elle comptait sur les doigts d'une main, semblaient être moins propices à la paranoïa.



L’enfer littéralement. Plus personne ne se serrait les coudes, au grand désespoir du choixpeau. Tout le monde suspectait tout le monde, Fay elle-même incriminait intérieurement son grand frère Stefan, au comportement étrange ces temps-ci, et au regard plus noir envers elle.

ρяσтє¢т мє ƒяσм
ωнαт ι ωαит

Hors Jeu

Votre prénom? ::
Vous n’avez quel âge? :: 22 ans (bouh la vieille XD )
Où avez-vous connu le forum? :: Sur un top site
Comment trouvez-vous le forum? :: J’aime beaucoup le design sombre même si au début j’ai eu un peu de mal à accrocher au rouge, mais en fait on s’y fait vite =) Quant à l’intrigue, j’aime beaucoup, ça change complètement des autres foras HP et c’est vraiment innovant, bravo =)
Star sur votre avatar? :: Angela Schmidt
Avez-vous lu le règlement? :: Ok
Combien de mots fait votre fiche ? (sans compter les questions) :: 2725 mots

PS : j'espère que les flashback ne gênent pas dans le déroulement de l'histoire. Je souhaitais faire revivre les moments forts de Fay, mais cela ne signifie pas que j'en abuse dans les rps ^^

Merci pour le message de bienvenue ^^

Donc j'aimerai me vendre vite fait avant que mon ordi ne lâche (quelques soucis '^^) mais je tenais à préciser que cela fait déjà deux ans que je fais du rp, et que je n'ai jamais été adepte du grosbillisme. Je ne tiens pas à abuser de ce don, au contraire, je tiens surtout à faire un personnage qui peut déceler partiellement les émotions d'autrui sans pour autant lui en faire part. (à vrai dire c'est surtout pour étoffer un peu plus la partie sensible de mon perso que j'aimerai mettre en avant )

Je peux toujours vous passer un lien de rp si vous le désirez par mp afin d'éviter la pub ici ^^

Merci pour les compliments

Quant au deal, je suis complètement d'accord, à vrai dire c'était exactement ce que je voulais pour mon perso, seulement je l'ai mal exprimé et le terme de "don" est en effet un peu trop fort. Mais en bref cela me convient !

Encore merci ^___^